Précis sur les établissements français formés à Madagascar ...Impr. royale, 1836 - 76 pages |
Expressions et termes fréquents
15 octobre 19 septembre 20 janvier Albrand Anglais Antsiraka Souniranes MASOVOAR août avaient baie d'Antongil baron de Mackau baron Portal Betsiminsaracs Blevec capitaine cents hommes Cheffontaines chefs colonisation commandant particulier commerce commission comte d'Argout conseil d'amirauté conseil privé corvette côte orientale culture décembre département Dépêche ministérielle dépenses Diego-Suarez DIRECTION DES COLONIES DUPERRÉ Duval-Dailly établissement maritime ÉTABLISSEMENTS FRANCAIS FORMÉS explorateurs Fandrarazana Farquhar FORMÉS A MADAGASCAR Fort-Dauphin Foulpointe frégate Freycinet garnison Gourbeyre gouvernement gouverneur de Bourbon IMPRIMÉ PAR ORDRE janvier Jean René juillet juin l'administration de Bourbon L'AMIRAL DUPERRÉ l'établissement l'expédition l'hivernage l'île Sainte-Marie lettre du gouverneur malgache marine mars militaires Milius MINISTRE SECRÉTAIRE D'ÉTAT Nièvre novembre octobre orientale de Madagascar paix pièces y annexées Pointe-à-Larrée port de Tintingue possession de Sainte-Marie prince Coroller privé de Bourbon Radama Ranavalona Rapport au ministre reine des Ovas reine Ranavalona reprise de possession Sainte-Marie septembre 1822 serait soldats Sylvain Roux Tamatave Tintingue Tourette troupes ovas
Fréquemment cités
Page 5 - Madagascar que comme une puissance indépendante, actuellement unie avec le roi d'Angleterre par des traités d'alliance et d'amitié, et sur le territoire de laquelle aucune nation n'avait de droits de propriété, hors ceux que cette puissance serait disposée à admettre...
Page 28 - Ovas par une députation qui se rendrait immédiatement auprès d'elle et lui offrirait des présents ainsi qu'à ses principaux officiers; « 3° Que la notification porterait que l'intention du Roi de France était : « De faire occuper de nouveau par ses troupes le port de Tintingue, d'exiger la reconnaissance de ses droits sur le...
Page 24 - Madagascar, public par le ministre de la marine, page 45. dagascar, les forces à y consacrer ne devaient pas être moindres de deux frégates, de deux bricks de guerre, de deux corvettes de charge avec leurs équipages complets sur le pied de guerre; plus un bataillon d'infanterie, une compagnie d'artillerie, une demi-compagnie d'ouvriers, deux cents hommes de troupes noires, et enfin un matériel de guerre proportionné , avec deux mille fusils pour armer les peuplades indigènes qui nous étaient...
Page 44 - Sur l'avis du conseil d'amirauté il fut décidé (27 octobre 1830) : 1° que l'on rappellerait immédiatement en France les quatre bâtiments de guerre affectés à l'expédition, et tout ce qui, en infanterie et en artillerie, excéderait l'effectif des garnisons ordinaires de Bourbon et de Sainte-Marie; 2° que le gouverneur de Bourbon serait chargé de négocier avec la reine des Hovas un traité où l'on s'abstiendrait, au besoin, de discuter la question de souveraineté, et qui aurait pour...
Page 33 - ... soixante-quinze tués et de cinquante blessés, tandis que le nombre de nos morts ne s'éleva pas à plus de onze et celui de nos blessés à plus de quinze. Dans l'espoir d'effacer le souvenir de cette journée, M. Gourbeyre conduisit, le 3 novembre, sa division à la Pointe-à-Larrée, où les Hovas avaient établi un poste militaire qui menaçait à la fois nos établissements de Tintingue et de Sainte-Marie. La victoire ici fut complète. Le feu ayant commencé le 4 au matin, nos boulets...
Page 9 - Foulepointe dans le mois de juillet 182S; et, vers la fin de ce mois, des troupes hovas se rendirent à la Pointe-à-Larrée, qui est située vis-à-vis de Sainte-Marie , incendièrent les villages de Fondaraze et de Tintingue, pillèrent tout sur leur passage, et enlevèrent même un troupeau de bœufs que l'administration de Sainte-Marie avait laissé en dépôt à la Pointe-à-Larrée. M. Elevee jugea qu'il ne pouvait passer de telles déprédations sous silence. Voici, in extenso, la protestation...
Page 14 - Cette prétention ayant été repoussée, il fut convenu entre les deux chefs qu'aucun acte d'hostilité n'aurait lieu pendant deux mois, afin de laisser à l'officier français le temps de recevoir des ordres du gouverneur de Bourbon. Mais, au mépris de cette convention, les Hovas, profitant des facilités que leur donnait l'armistice, se portèrent, le 14 mars 1825, sur le fort et y entrèrent de vice force.
Page 4 - Bonne-Espérance, lors de sa relâche dans cette colonie ; que, du reste, il ne se croyait point obligé de faire connaître les lieux de la côte où il pourrait lui convenir d'établir ses postes ; que toute l'île appartenait à la France, et qu'il protestait d'avance contre toute atteinte qui serait portée à son droit de propriété. Cet événement donna lieu à quelques explications entre le gouverneur de Bourbon et le gouverneur de Maurice.