| Charles Paul Landon - 1817 - 252 pages
...rempli de differens poissons demeurés à sec sut le sable.... La cendre commençait à tomber sur nousy quoique en petite quantité. Je tourne la tête ,...suivait en se répandant sur la terre comme un torrent. Les ténèbres augmentèrent de telle sorte qu'on eût cru être non pas dans une de ces nuits noires... | |
| 1835 - 524 pages
...qu'avec elle ; je lui prends la main, et je l'oblige à doubler le pas : elle le fait aven peine , et se reproche de me retarder. La cendre commençait à tomber sur nous, quoiqu'en petite quantité. Je tourne la tête, et j'anerçois derrière nous une épaisse fumée qui... | |
| Jean Reboul - 1839 - 356 pages
...moi qu'avec elle ; je lui prends la main et je la force de m'accompagner : elle le fait avec peine et se reproche de me retarder. La cendre commençait à tomber sur nous, quoiqu'en petite quantité. Je tourne la tète , et j'aperçois derrière nous une épaisse fumée... | |
| Jean Reboul - 1842 - 436 pages
...pour moi qu'avec elle; je lui prends la main et je la force de m'accompagner: elle le fait avec peine et se reproche de me retarder. La cendre commençait à tomber sur nous, qubiqu'en petite quantité. Je tourne la tête, et j'aperçois derrière nous une épaisse fumée qui... | |
| Stanislao D'Aloe - 1851 - 202 pages
...avec peine , et se reproche de » me retarder. La cendre commençait à tom» ber sur nous, quoiqu'on petite quantité. Je » tourne la tête, et j'aperçois...derrière nous une » épaisse fumée qui nous suivait , et se ré» pandait sur la terre comme un torrent. Pen•» danl que nous voyons encore, quittons... | |
| 1853 - 410 pages
...je la force à m'accompagner ; elle cède, malgré elle, en se reprochant de me retarder. « Déjà la cendre commençait à tomber sur nous , quoique en petite quantité ; je tourne la tête, et je vois derrière moi une fumée épaisse qui nous poursuit , eu se répandant comme un torrent sur... | |
| 1856 - 400 pages
...beaucoup plus grandes... La cendre commençait à tomber sur nous, quoique en petite quantilé. Je lourne la tête et j'aperçois derrière nous une épaisse...suivait, en se répandant sur la terre comme un torrent, a Pendant que « nous y voyons encore, quittons le grand chemin, dis-je « à ma mère, de peur qu'en... | |
| Stanislas d' Aloe - 1856 - 630 pages
...qu'avec elle; je lui » prends la main , et je la force de m'accompa» gner: elle le fait avec peine, et se reproche de » me retarder. La cendre commençait...nous, quoique en petite quantité. Je tourne » la tète , et j'aperçois derrière nous une épais» se fumée qui nous suivait, et se répandait sut... | |
| Delphine de Girardin, Mme Emile de Girardin - 1857 - 452 pages
...moi qu'avec elle, je lui prends la main, et je la force de m'accompagner. Elle le fait avec peine, et se reproche de me retarder. La cendre commençait...nous, quoique en petite quantité. Je tourne la tête, el j'aperçois derrière nous une épaisse fumée qui nous suivait, en se répandant snr la lerre comme... | |
| Delphine de Girardin, Mme Emile de Girardin - 1857 - 372 pages
...moi qu'avec elle, je lui prends la main, et je la force de m'accompagner. Elle le fait avec peine, et se reproche de me retarder. La cendre commençait à tomber sur nous, quoique en petite quantilé. Je tourne la tête, eï j'aperçois derrière nous une épaisse fumée qui nons suivait,... | |
| |