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Conseil du Journal: Me LACOIN, avocat à la Cour impériale de Paris.

Le JOURNAL DE CHIMIE MÉDICALE, DE PHARMACIE ET DE TOXICOLOGIE paraît une fois par mois, par cahiers de quatre feuilles d'impression, de manière à former par an un volume de près de 800 pages. On y joint des planches toutes les fois que le sujet l'exige. Le prix de l'abonnement est fixé, pour l'année, à 12 fr. 50 c. pour toute la France, et pour l'étranger suivant les conventions postales.

Toute demande d'abonnement doit être accompagnée d'un mandat sur la poste, au nom de M. P. ASSELIN, éditeur du Journal.

On peut également, et sans augmentation de prix, s'abonner : 4o par l'intermédiaire de tous les libraires de France et de l'étranger, qui en transmettent l'ordre à leur correspondant de Paris; 2o par l'intermédiaire des droguistes; 3° dans toutes les villes, aux bureaux des Chemins de Fer et des Messageries.

Nota.

Le prix de la collection du JOURNAL DE CHIMIE MÉDICALE est ainsi fixé depuis le 1er juillet 1860:

1re série, 1825 à 1834, 10 forts volumes in-8°.... 30 fr.

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On peut acheter séparément les années 1825 à 1840, 1842 à 1857, au prix de 3 fr. 50 c. chacune; 1858, 1859, 1860 1861, 1862 et 1863, à 10 fr., et l'année 1841 ne se vend qu'avec la 2e série complète.

On est prié d'affranchir les lettres et l'argent, ainsi que les Mémoires et notes destinés à être insérés dans le Journal. Les Mémoires doivent être adressés, francs de port, à M. CHEVALLIER, chimiste, membre du Conseil de salubrité, rue du Faubourg-Saint-Denis, n° 188.

DE

CHIMIE MÉDICALE,

DE PHARMACIE, DE TOXICOLOGIE,

ET

REVUE

DES

NOUVELLES SCIENTIFIQUES

NATIONALES ET ÉTRANGÈRES

REVUE INDUSTRIELLE;

PUBLIÉ

SOUS LA DIRECTION DE

M. A. CHEVALLIER,

Pharmacien-Chimiste, Membre de l'Académie impériale de médecine, du Conseil
de salubrité, Professeur à l'École de pharmacie!

TOME X.-4me SÉRIE.

PARIS

P. ASSELIN, GENDRE ET SUCCESSeur de LABÉ,

LIBRAIRE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE,

PLACE DE L'ÉCOLE DE MÉdecine.

1864

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L'alcool mis en contact avec des corps gras en dissout toujours quelques parties, et le procédé employé ordinairement pour débarrasser l'alcool de ces matières est la distillation. Mais si l'alcool a été employé pour dissoudre des corps volatils altérables par la chaleur, ce moyen n'est plus convenable, et c'est le cas ordinaire dans les opérations de la parfumerie, où l'on se sert de graisses ou d'huiles pour recueillir le parfum des fleurs, par enfleurage ou par infusion.

Ces graisses ou huiles parfumées sont mises en contact avec de l'alcool auquel elles cèdent leur parfum et qui les dissout en petite quantité. Il est utile de débarrasser l'alcool de ces corps gras, car ils nuisent à la fraîcheur du parfum en donnant une odeur de graisse qui prend facilement le rance. Pour arriver à ce but, voici le procédé que j'emploie : Je plonge pendant quelques heures l'alcoolat dans un mélange réfrigérant à — 18 degrés environ, et lorsque la graisse ou l'huile dissoute s'est séparée du liquide, je l'enlève par décantation ou filtration. Dans mes essais, j'ai fait usage d'un mélange de glace pilée et de sel,

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