A cette pensée, je m'appuyai contre un noyer sous lequel, depuis ce jour, je me repose toutes les fois que je reviens dans ma chère vallée. Sous cet arbre confident de mes pensées, je m'interroge sur les changements que j'ai subis pendant le temps... Revue de Paris - Page 220publié par - 1835Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1835 - 334 pages
...lieu , le voici ! • A cette pensée , je m'appuyai contre un noyer sous lequel , depuis ce jonr, je me repose toutes les fois que je reviens dans ma...pétiller les ardoises de son toit et les vitres de sa fenêtre. Sa robe de percale produisait le point blanc que je remarquai dans ses vignes sous un... | |
| Honoré de Balzac - 1844 - 582 pages
...dans ma chère vallée. Sous cet arbre confident de mes pensées, je m'interroge sur les changements que j'ai subis pendant le temps qui s'est écoulé depuis le dernier jour où j'en suis parti. H!r demeurait Ih , mon cœur ne me trompait point : le premier castcl que je vis au penchant d'une... | |
| Alphonse de Lamartine - 1866 - 312 pages
...Sous cet arbre, confident dômes pensées, je m'interroge sur les changements que j'ai subis pondant le temps qui s'est écoulé depuis le dernier jour...demeurait là, mon cœur ne me trompait point : le premier castol que je vis au penchant d'une lande etait son habitation. Quand je m'assis sous mon noyer, le... | |
| Honoré de Balzac - 1869 - 822 pages
...dans ma chère vallée. Sous cet arbre confident de mes pensées, je m'interroge sur les changements que j'ai subis pendant le temps qui s'est écoulé...m'assis sous mon noyer, le soleil de midi faisait petiller les ardoises de son toit et les vitres de ses fenêtres. Sa robe de percale produisait le... | |
| Honoré de Balzac - 1869 - 806 pages
...mes pensées, je m'interroge sur les changements que j'ai subis pendant le temps qui s'est ecoulé depuis le dernier jour où j'en suis parti. Elle demeurait...m'assis sous mon noyer, le soleil de midi faisait peliller les ardoises de son toit et les vitres de ses fenêtres. Sa robe de percale produisait le... | |
| Honoré de Balzac - 1869 - 844 pages
...dans ma chère vallée. Sous cet arbre confident de mes pensées, je m'interroge sur les changements que j'ai subis pendant le temps qui s'est écoulé...le dernier jour où j'en suis parti. Elle demeurait fà, mon cœur ne me trompait point : le premier castel que je vis au penchant d'une lande était son... | |
| Honoré de Balzac - 1870 - 528 pages
...dans ma chère vallée. Sous cet arbre con-fident de mes pensées, je m'interroge sur les changements que j'ai subis pendant le temps qui s'est écoulé...demeurait là, mon cœur ne me trompait point : le premier caslel que je vis au penchant d'une lande était son habitation. Quand je m'assis sous mon noyer, le... | |
| Honoré de Balzac - 1875 - 806 pages
...dans ma chère vallée. Sous cet arbre confident de mes pensées, je' m'interroge sur les changements que j'ai subis pendant le temps qui s'est écoulé...m'assis sous mon noyer, le soleil de midi faisait petiller les ardoises de son toit et les vitres de ses fenêtres. Sa robe de percale produisait le... | |
| Honoré de Balzac - 1876 - 808 pages
...dans ma chère vallée. Sous cet arbre confident de mes pensées, je m'interroge sur les changements que j'ai subis pendant le temps qui s'est écoulé...m'assis sous mon noyer, le soleil de midi faisait petiller les ardoises de son toit et les vitres de ses fenêtres. Sa robe de percale produisait le... | |
| Honoré de Balzac - 1878 - 386 pages
...dans ma chère vallée. Sous cet arbre confident de mes pensées, je m'interroge sur les changements que j'ai subis pendant le temps qui s'est écoulé...m'assis sous mon noyer, le soleil de midi faisait petiller les ardoises de son toit et les vitres de ses fenêtres. Sa robe de percale produisait le... | |
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