...sain de tout l'ouvrage. / On peut, ce me semble, d'après ces réflexions , répondre en de'ux mote à la question souvent agitée , si le sentiment est...joignent à la finesse et à la promptitude du tact , la net.teté et la justesse de l'esprit, le second juge ne fera pour l'ordinaire que confirmer les arrêts...

...en état, par cette analyse , de porter un jugement sain de tout l'ouvrage. On peut , ce me semble, d'après ces réflexions , répondre en deux mots...l'est du second. Dans les personnes qui joignent à la fïnesoe et à la promptitude du tact , la netteté et la justesse de l'esprit , le se* cond juge ne...

...met en état par cette analyse de porter un jugement sain de tout l'ouvrage. On peut, ce me semble , d'après ces réflexions répondre en deux mots à...joignent à la finesse et à la promptitude du tact , la netteté et la justesse de l'esprit , le second juge ne fera pour l'ordinaire que confirmer les arrêts...

...met en état par cette analyse de porter un jugement sain de tout l'ouvrage. On peut , ce me semble , d'après ces réflexions répondre en deux mots à...préférable à la discussion pour juger un ouvrage de goitt. L'impression est le juge naturel du premier moment, la discussion lest du second. Dans les personnes...

...m-ntinmnl eut fin':Jt!ral>U: à la diiicuti.iiini jiour jiifjar un ouvrit^'' fin (,'odl. //impression est le juge naturel du premier moment, la discussion l'est du second. Dan» les personne» qui joignent ù la finesse et :i la promptitude du tact , la netteté et la justesse...

...Goût se compose de plusieurs sens ; cependant tout se réduit au sentiment et à la connaissance. L'impression est le juge naturel du premier moment, la discussion l'est du second. Ce qui prouve que le goût n'est jamais , pour lui, un pur sentiment, c'est qu'il démontre qu'on n'y...

...deux manières de juger, laquelle est préférable? Au milieu du xvme siècle Dalembnrt écrivait : « L'impression est le juge naturel « du premier moment,...les personnes qui joignent à la finesse et à la prompti« tude du tact la netteté et la justesse de l'esprit , le se<i cond juge ne fera pour l'ordinaire...

...une fois expliqués, D'Alembert répond aux nombreux adversaires de sa doctrine qui alléguaient que le sentiment est préférable à la discussion pour juger un ouvrage de l'art. Quelle triste occupation, s'écriait-on, de chicaner ainsi avec son propre plaisir! Quelle obligation...

...rendre compte du sentiment, et une discussion réfléchie conduira à la connaissance des règles. L'impression est le juge naturel du premier moment, la discussion l'est du second. C'est ainsi que d'Alemberl résout la fameuse question : si le sentiment est préférable à la discussion...

...éléments du goût. En revanche, il répond à la question, explicitée à la fin du texte, de savoir « si le sentiment est préférable à la discussion pour juger un ouvrage de goût ». Le texte de d' Alembert est en fait une réponse aux objections de Diderot et de Julie de Lespinasse...