Oeuvres de J. Racine, Volume 1Chez le Clerc, 1770 |
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affez AGRIPPINE Ainfi ALBINE Alexandre allarmes Allez amour ANDROMA Andromaque ANTIGONE ATTALE auffi avoit AXIANE BRITANNICUS Burrhus C'eft C'eſt Céfar ceffe CÉPHISE CHICANE CHICANEAU chofe Ciel CLEOFILE CLÉONE COMTESSE confeils courroux Créon crime cruel d'Hector DANDIN deffein déja Dieux difcours Eft-ce ennemis Epire eſt ÉTÉOCLE étoit fang fans doute feconde fecrets femble feroit fervir feul fœur foins foit fon cœur fon fils fonge font fouffrir fouhaite foupirs fous frère fuis fuivi fujet funefte gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai JOCASTE jufte JUNIE l'amour L'INTIMÉ laiffe LEANDRE long-tems m'en Madame malheur Monfieur mort n'eft Narciffe NARCISSE Néron OLYMPE Orefte ORESTE paffer père perfonne PETIT JEAN peuple PHENIX plaifir pleurs Polinice Porus preffe Prince Princeffe puiffe PYLADE Pyrrhus refte Rois s'eft SCENE PREMIERE Seigneur ſes ſon Taxile tems Thèbes Tragédie trépas trifte trône vainqueur veux vois yeux
Fréquemment cités
Page 280 - C'est là que, solitaire, De son image en vain j'ai voulu me distraire. Trop présente à mes yeux je croyais lui parler. J'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler.
Page 262 - Voici celle de mes tragédies que je puis dire que j'ai le plus travaillée. Cependant j'avoue que le succès ne répondit pas d'abord à mes espérances : à peine elle parut sur le théâtre, qu'il s'éleva quantité de critiques qui semblaient la devoir détruire.
Page 179 - L'auteur veut dans cette fcène imiter ces beaux vers d' Andromaque: Je percerai ce cœur que je n'ai pu toucher, Et mes fanglantes mains contre mon fein tournées , AiiUiiôt , malgré lui, joindront nos deftinées ; Et tout ingrat qu'il eft , il me fera plus doux De mourir avec lui que de vivre avec vous. Thomas Corneille imite...
Page 144 - Non , vous n'efpérez plus de nous revoir encor , Sacrés murs , que n'a pu conferver mon Heûor ! A de moindres faveurs des malheureux prétendent ; Seigneur , c'eft un exil que mes pleurs vous demandent.
Page 174 - Autant que tu pourras, conduis-le fur leur trace : Dis-lui par quels exploits leurs noms ont éclaté , Plutôt ce qu'ils ont fait que ce qu'ils ont été ; Qu'il ait de fes aïeux un fouvenir modefte ; Il...
Page 142 - Puifqu'une fois le jour vous fouffrez que je voie Le feul bien qui me refte & d'Heâor 8Î de Troie , J'allois , Seigneur , pleurer un momenr avec lui. Je ne l'ai poinr encore embralle d'aujourd'hui. P v,«.
Page 170 - J'ignore quel fuccès le fort garde à mes armes ; Je te laifle mon fils pour gage de ma foi ; S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. Si d'un heureux hymen la mémoire t'eft chère , Montre au fils à quel point tu chériflois le père.
Page 181 - ... d'ailleurs fur le théâtre. Les ufages mis à part, comme chofes très-différentes dans les divers temps , on conviendra que dans I'ANDROMAQUE , Pyrrhus apporte de plus méchantes raifons à Hermione * , quand il lui dit fans détour : Je voulu...
Page 49 - Un .-.niant me retient , une mère m'appelle. Dans la nuit du tombeau je la vois qui m'attend : Ce que veut la raifon , l'amour me le défend, Et m'en ôte l'envie. Que je vois de fujets d'abandonner le jour! Mais , hélas , qu'on tient à la vie Quand on tient fi fort à l'amour! Hémon , vois le pouvoir que l'amour a fur moi.
Page 21 - Le fang nous met au trône , 8c non pas fon caprice. Ce que le fang lui donne il le doit accepter, Et s'il n'aime fon prince, il le doit refpcftcr.