Œuvres de Molière, Volume 4Hachette et cie., 1878 |
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... . Oui . SGANARElle . Ma foi , je ne sais ; mais je me porte bien . GERONIMO . Quoi ? vous ne savez pas à peu près votre àge ? SGANARElle . Non est - ce qu'on songe à cela ? : GERONIMO . Hé ! dites - moi un peu , SCÈNE I. 19.
... . Oui . SGANARElle . Ma foi , je ne sais ; mais je me porte bien . GERONIMO . Quoi ? vous ne savez pas à peu près votre àge ? SGANARElle . Non est - ce qu'on songe à cela ? : GERONIMO . Hé ! dites - moi un peu , SCÈNE I. 19.
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... sais combien que j'enrage du peu de liberté qu'il me donne , et j'ai cent fois souhaité qu'il me mariát , pour sortir promptement de la contrainte où j'étois avec lui , et me voir en état de faire ce que je voudrai . Dieu merci , vous ...
... sais combien que j'enrage du peu de liberté qu'il me donne , et j'ai cent fois souhaité qu'il me mariát , pour sortir promptement de la contrainte où j'étois avec lui , et me voir en état de faire ce que je voudrai . Dieu merci , vous ...
Page 31
... sais pas seu- lement les éléments de la raison . SGANARELLE . La colère l'empêche de me voir . Seigneur PANCRACE . 9 C'est une proposition condamnable dans toutes les terres de la philosophie . Philidor , 1697 , 1710 , 30 , 33 , 34 ...
... sais pas seu- lement les éléments de la raison . SGANARELLE . La colère l'empêche de me voir . Seigneur PANCRACE . 9 C'est une proposition condamnable dans toutes les terres de la philosophie . Philidor , 1697 , 1710 , 30 , 33 , 34 ...
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... Sais - tu bien ce que tu as fait ? Un syllogisme in balordo * . I. SGANARELLE , à part . Il faut qu'on l'ait fort irrité . ( A Pancrace . ) Je .... PANCRACE , de même , sans voir Sganarelle . Toto cœlo .... ( 1734. ) 2. Ces deux ...
... Sais - tu bien ce que tu as fait ? Un syllogisme in balordo * . I. SGANARELLE , à part . Il faut qu'on l'ait fort irrité . ( A Pancrace . ) Je .... PANCRACE , de même , sans voir Sganarelle . Toto cœlo .... ( 1734. ) 2. Ces deux ...
Page 47
... sais - tu , puisque nos sens nous trompent ? » Si j'avais seule- ment trois ou quatre camarades d'esclavage qui pensassent comme moi , je force- rais un pareil homme à se pendre ou bien à changer d'avis . Mais ils se mo- quent de nous ...
... sais - tu , puisque nos sens nous trompent ? » Si j'avais seule- ment trois ou quatre camarades d'esclavage qui pensassent comme moi , je force- rais un pareil homme à se pendre ou bien à changer d'avis . Mais ils se mo- quent de nous ...
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Œuvres de Molière: Le mariage forcé, comédie. Les plaisirs de l'île ... Molière Affichage du livre entier - 1878 |
Expressions et termes fréquents
acte AGLANTE ALCANTOR ALCIDAS ALCINE amour ARBATE assez Auger auroit avoit ballet Brossette chante chose Ciel CLÉANTE cœur comédie de l'Imposteur comédie-ballet comédiens d'Alcine DAMIS danse debout Dépit amoureux dessein dévotion dire divertissements Dom Juan donner DORIMÈNE DORINE doute éditions Égyptiennes ELMIRE entrée entrées de ballet étoient étoit EURYALE femme fêtes fille frère gens GERONIMO Grange homme Ibidem intermède j'ai jouer l'édition de 1734 l'édition originale l'hypocrisie l'Ile enchantée Lettre livret Louis XIV Lully Lyciscas MADAME PERNELLE MAGICIEN Majesté manuscrit Philidor Mariage forcé MARIANE MARPHURIUS Messène Mlle Molière monde MONSIEUR LOYAL MORON musique Note d'Auger Notice ORGON PANCRACE Panulphe parler paroître PHILIS pièce placet plaisir Plaisirs de l'Ile poëte Port-Royal premier prince d'Ithaque Princesse d'Élide raison Reine représentation ridicule rien rôle Satyre scène Seigneur semble seroit seul SGANARELLE sieur sorte suivant Tartuffe théâtre Thorillière Tircis trouve VALÈRE Versailles veux voyez ci-après Voyez ci-dessus
Fréquemment cités
Page 520 - Monsieur, d'une alarme si chaude. Nous vivons sous un prince ennemi de la fraude, Un prince dont les yeux se font jour dans les cœurs, Et que ne peut tromper tout l'art des imposteurs.
Page 418 - Ces gens, qui par une âme à l'intérêt soumise, Font de dévotion métier et marchandise, Et veulent acheter crédit et dignités, A prix de faux clins d'yeux, et...
Page 417 - Hé quoi? vous ne ferez nulle distinction Entre l'hypocrisie et la dévotion? Vous les voulez traiter d'un semblable langage...
Page 469 - Oui, mon frère, je suis un méchant, un coupable, Un malheureux pécheur, tout plein d'iniquité, Le plus grand scélérat qui jamais ait été. Chaque instant de ma vie est chargé de souillures...
Page 505 - C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu.
Page 409 - II passa dans sa chambre au sortir de la table; Et dans son lit bien chaud il se mit tout soudain, Où, sans trouble, il dormit jusques au lendemain.
Page 456 - Couvrez ce sein que je ne saurais voir. Par de pareils objets les âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées.
Page 290 - Font d'abord le procès à quiconque ose rire : Ce sont eux que l'on voit, d'un discours insensé, Publier dans Paris que tout est renversé, Au moindre bruit qui court qu'un auteur les menace De jouer des bigots la trompeuse grimace. Pour eux un tel ouvrage est un monstre odieux, C'est offenser les lois, c'est s'attaquer aux cieux. Mais bien que d'un faux zèle ils...
Page 413 - II m'enseigne à n'avoir affection pour rien, De toutes amitiés il détache mon âme, Et je verrais mourir frère, enfants, mère et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela.
Page 418 - Aussi ne vois-je rien qui soit plus odieux Que le dehors plâtré d'un zèle spécieux, Que ces francs charlatans, que ces dévots de place, De qui la sacrilège et trompeuse grimace Abuse impunément et se joue à leur gré...