Mémoires concernant l'histoire, les sciences, les arts, les mœurs, les usages, &c. des chinois:, Volume 4 |
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Expressions et termes fréquents
affez aimer ainfi ancêtres anciens années attention auffi avant avoit avons befoin c'eft c'eſt cent change charge Chine Chinois chofes cœur commerce conferver corps Cour demande deuil devant devoirs différentes dire doctrine doit donne Empereurs enfans eſt eté etoient etoit exemple fages famille fang fans felon fera feroit fes parens feul fiecles fils foins foit fon pere fond font force fort forte fous freres fuite fujet général gens gloire gouvernement haut hommes jour jufqu'à l'amour l'argent l'autre l'Empereur l'Empire l'Etat l'intérêt Lettrés lieu livres loix malade Mandarins maniere ment meres mieux mœurs mort n'eft n'en n'eſt n'ont nature néceffaire nombre ordres paffer parens parler pauvres pays peine perfonne petite peuple Piété Filiale plufieurs porte premier premiere Prince Provinces public publique qu'à qu'un raifon rang refpect regarde rendre rien s'en s'il ſes terre Tien tirer trait trouve Vérole vertu vrai yeux
Fréquemment cités
Page 347 - ... plus par rapport au nombre des habitants. « La population de l'Empire est telle aujourd'hui, que l'intérêt pressant des besoins communs demande qu'on tire de la fertilité de la terre et de l'industrie de l'homme tout ce qu'on peut en tirer. Pour y réussir, il faut cultiver dans chaque endroit ce qui y vient le mieux, et travailler les matériaux où on les trouve. Le surabondant des consommations locales devient un secours pour les autres endroits , et c'est au commerce à l'y porter.
Page 354 - génie du commerce est un génie à part , comme « celui des lettres, du gouvernement, de la guerre « et des arts ; peut-être même pourrait-on dire qu'il » embrasse, à certains égards, toutes les espèces de
Page 329 - L'argent qui entre par le commerce n'enrichit un royaume qu'autant qu'il en sort par le commerce. Il n'ya de commerce longtemps avantageux que celui des échanges nécessaires ou utiles.
Page 316 - ... faifant fortir une certaine quantité du magafin dans la proportion néceflaire pour le mettre au taux qu'il veut ; le gouvernement ne fouffre jamais que le cuivre foit à un aflez bas prix pour qu'on puifle gagner à faire de faufle monnoie , ni aflez cher pour qu'on gagne beaucoup à fondre la monnoie pour la mettre en œuvre. Revenons maintenant fur la feconde chofe que fe propofe le gouvernement , favoir, la circulation continuelle de toute la monnoie & de tout l'argent qui eft dans l'Empire....
Page 350 - ... et les mœurs générales le font aussi pour les autres, jusqu'à un certain point : cela ne suffit pas. Le haut intérêt de l'argent y supplée, en assurant des profits qui amorcent et séduisent la cupidité. S'il en...
Page 355 - Quoique le commerce soit infiniment nécessaire à l'Etat, l'administration, qui fait tant de dépenses pour faciliter les études et former par là des sujets propres aux affaires, ne fait rien pour ceux qui ont le génie du commerce, pour les aider à le déployer : le haut intérêt de l'argent supplée à cette espèce d'oubli; quelque pauvre que soit un jeune homme, s'il a de la...
Page 329 - Or, le luxe, qui est l'abondance du superflu chez «certains citoyens, suppose le manque du nécessaire chez «beaucoup d'autres. Plus les riches mettent de chevaux à «leurs chars, plus il ya de gens qui vont à pied; plus leurs « maisons sont vastes et magnifiques , plus celles des pauvres « sont petites et misérables ; plus leur table est couverte de « mets , plus il ya de gens qui sont réduits uniquement à
Page 316 - IJ ya fept ordres de citoyens en Chine : i°. les Mandarins ; 2°. les gens de Guerre; 3°. les Lettrés; 4°. les Bonzes; 5°. les Laboureurs ; 6°, les Ouvriers ; 7°. les Marchands. Il eft evident par la la conftitution la plus intime de l'Etat , par la conduite du gouvernement, par la prodigieufe population de toutes les Provinces, par le partage des biens entre les enfans, &c. il...
Page 10 - Le meurtrier de votre père ne doit pas rester sous le ciel avec vous ; il ne faut pas mettre les armes bas, tandis que celui de votre frère vit encore, et vous ne pouvez pas habiter un même royaume avec celui de votre ami.
Informations bibliographiques
| Titre | Mémoires concernant l'histoire, les sciences, les arts, les mœurs, les usages, &c. des chinois:, Volume 4 Mémoires concernant l'histoire, les sciences, les arts, les mœurs, les usages, &c. des chinois:, M. de Bréquigny (Louis-Georges-Oudard Feudrix) |
| Collaborateurs | Joseph Marie Amiot, François Bourgeois, Pierre Martial Cibot, Aloys Kao, Aloys de Poirot, Charles Batteux, M. de Bréquigny (Louis-Georges-Oudard Feudrix), Antoine Isaac Silvestre de Sacy |
| Éditeur | Chez Nyon, Libraire, 1779 |
| Original provenant de | la New York Public Library |
| Numérisé | 12 oct. 2007 |
| Longueur | 510 pages |
| Exporter la citation | BiBTeX EndNote RefMan |