| 1785 - 394 pages
...Alors je foupais en ville, & les perfonnes , dites comme il faut , m'ouvraient poliment leur maifon , en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter. Je commençais à m'appercevoir que , pour réuffir , le favoir- faire valait mieux que le favoir : mais comme tout... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1785 - 300 pages
...bonnes gens ! je foupe en ville , & les perfonncs dites comme il faut , m'ouvrent poliment leur maifon , en retenant pour elles les trois quarts du profit....commençais même à comprendre que pour gagner du bien t le favoir- faire vaut mieux que le favoir : mais comme chacun pillait autour de moi , en exigeant... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1785 - 318 pages
...gens l je foupe en •ville, & les perfonnes dites, comme il faut, m'ouvrent poliment leur maifon , en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter j .je commençais même à comprendre que poui gagner du bien , le favoir-faire vaut mieux que le favoir.... | |
| Le Texier - 1785 - 378 pages
...malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danfeur qui l'obtint. Il ne me reftait plus qu'à voler ; je me fais Banquier de Pharaon : alors, bonnes gens ! je foupe .en villcj & les perfonnes dites, comme il faut, m'ouvrcnt poliment leur maifon, en retenant... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1785 - 330 pages
...malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur , ce iut un danfeur qui l'obtint. Il ne me reftait plus qu'à voler; je me fais Banquier de Pharaon: alors, bonnes gens ! je foupe en ville, &: les perfonnes dites, comme il faut, m'ouvrent . poliment leur maifon , en retenant... | |
| Le Texier (M., A. A.) - 1785 - 506 pages
...j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danfeur qui l'ob« tint. Il ne me reftait plus qu'à voler ; je me fais Banquier de Pharaon : alors, bonnes gens ! je foupe en ville, & les perfonnes dites, comme il faut, m'ouvrent poliment leur maifon, en retenant pour... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1809 - 656 pages
...mais par malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce lut uu danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler ; je me fais banquier...commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir faire vaut mieux que fre savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi , en exigeant que je... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1809 - 686 pages
...mais par malheur j'y étais propre i il f.illait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler ; je me fais banquier...maison, en retenant pour elles les trois quarts du proGt. J'aurais bien pu me remonter ; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le... | |
| 1810 - 874 pages
...malheur j'y étois propre : il falloit un calculateur, ce lut un danseur qui l'obtint. Il ne me restoit plus qu'à voler; je me fais banquier de Pharaon :...en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurois bien pu me remonter; je commençois même à comprendre que, pour gagner du bien, le savoir-faire,... | |
| 1810 - 432 pages
...malheur j'y étois propre : il falloit un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. 11 ne me restoit plus qu'à voler; je me fais banquier de Pharaon :...en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurois bien pu me remonter; je commençois même à comprendre que , pour gagner du bien, le savoir-faire,... | |
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