Discours à lire au Conseil, en présence du Roi, par un ministre patriote, sur le projet d'accorder l'Etat Civil aux Protestants, Partie 1éditeur non identifié, 1787 - 56 pages |
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affez affurer ainfi auffi augufte auront avoient avoit Béarn befoin c'eft c'eſt c'étoit Calvin Calviniftes Calviniſme caufe Charles IX chofes civile Clergé confcience Confeil conféquence confidérables confignés crife culte public Déclaration devoit Dieu difcours effentielle efprit Eglifes enfants eſt Etats étoient étoit Evêques exifte fageffe faifant faint falut fang fe font fe trouve feconde fecours fecret fein fentiment feroient feront feul fiecle foient foit fommes fous fouvent fuivant fujet fyftême Gouvernement Henri Henri IV Hubert Languet Huguenots jufqu'à juftice l'Affemblée l'autorité l'édit de Nantes l'efprit l'Eglife l'Etat l'Evêque l'héréfie laiffer lefdits Loix Louis XIV Majefté mariages matiere ment Minif Miniftres Monarchie Monarque n'eft Nantes néceffaire néceffité Nîmes obferver paffé Pafteurs Paroiffes penfer perfonnes peuple Philofophes plufieurs politique Prédicants préfent prefque premiere Prince principes Proteftans Proteftants Provinces puiffance puiffe raifon refpectable religieufe Religion Catholique Religionnaires Rois Royaume Sectaires Secte SIRE Souverain Sujets tion tolérance Trône Turgot
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Page xlv - LOUIS, par la grace de Dieu, Roi de France & de Navarre : A nos ames & féaux Confeillers , les Gens tenans...
Page xxxii - Louis, par la grâce de Dieu , Roi de France & de Navarre , à tous ceux qui ces préfentes Lettres verront ; SALUT.
Page xlv - Enjoint auxfubflituts dit procureur général du Roi d'y tenir la main & d'en certifier la cour dans un mois , Jùi-
Page 312 - ... comme l'ont fait les plus grands princes de tous les temps , prêter son épée à la religion , non pas pour la propager , ce ne fut jamais l'esprit du christianisme, mais pour réprimer et châtier les méchans qui entreprennent de la détruire.
Page v - Mais, dans la supposition, bien fausse as» surement, *que l'on ait eu tort de faire ce que l'on fit, » je maintiens que l'on auroit un bien plus grand tort » aujourd'hui de le défaire. Ce sercit se ruiner à démolir » une forteresse , parce qu'on se seroit épuisé à l'élever.
Page lxxi - Il ne se passe presque pas de jour que je n'apprenne à mon réveil quelque malheur arrivé la nuit. Ma chambre est souvent pleine de gens qu'on a ruinés, de pauvres femmes dont on vient de tuer les maris, de curés fugitifs qui viennent représenter les misères de leurs...
Page xxxiv - ... de les dénoncer aux officiers des lieux, le tout à peine, en cas de contravention, contre les hommes des galères à perpétuité, et contre les femmes d'être rasées et enfermées pour le reste de leurs jours dans les lieux que nos juges...
Page 311 - ... ces ligues avec l'étranger, ces refus de payer les tailles, » ces pillages des deniers publics, ces menaces séditieuses, » ces conjurations ouvertes, ces guerres opiniâtres, ces » sacs de villes , ces incendies , ces massacres réfléchis , » ces attentats contre les rois, ces...
Page xliii - Voulons à cet effet qu'avant que de paffer outre au contrat & célébration de leur mariage, il foit fait devant le Juge Royal des lieux où ils ont leur domicile , en préfence de notre Procureur , & s'il n'ya point de Juge Royal, devant le Juge ordinaire defdits lieux...
Page xlii - ... fait mention dans les lettres qui leur seront expédiées, même dans la sentence des juges, à l'égard de ceux qui doivent prêter serment devant eux, le tout à peine de nullité.
Informations bibliographiques
| Titre | Discours à lire au Conseil, en présence du Roi, par un ministre patriote, sur le projet d'accorder l'Etat Civil aux Protestants, Partie 1 |
| Auteurs | Jacques-Julien Bonnaud, Alexandre Charles Anne LENFANT, Liévin-Bonaventure Proyart |
| Éditeur | éditeur non identifié, 1787 |
| Original provenant de | Bibliotheque cant. et univ. Lausanne |
| Numérisé | 22 nov. 2007 |
| Longueur | 56 pages |
| Exporter la citation | BiBTeX EndNote RefMan |