Petite bibliothèque des théatres, contenant un recueil des meilleures pieces du théatre françois, tragique, comique, lyrique & bouffon, depuis Porigine des spectacles en France, jusqu'à nos jours, Volume 36Au Bureau de la Petite bibliotheque des théatres, 1786 |
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... reste confondu , Moi , qui n'achete rien où ma dent ne soit sûre D'imprimer son coup , sa morsure , Hier je l'achetai , ce Poëme attendu .... Il est beau ! ... Juge donc c'est de l'argent perdu ! Mais j'ai mal lu , peut - être , & cela ...
... reste confondu , Moi , qui n'achete rien où ma dent ne soit sûre D'imprimer son coup , sa morsure , Hier je l'achetai , ce Poëme attendu .... Il est beau ! ... Juge donc c'est de l'argent perdu ! Mais j'ai mal lu , peut - être , & cela ...
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... reste en cage . Ça n'se fait pas comm ' ça cheux nous ! Je ne nous gobargcons qu'avec not ' minagere ; Aussi de p'tits marmots j'ons une pépignere , Qui nous ressembleront tretous . Quand j'ons baisé tout ça , drès l'matin , c'est si ...
... reste en cage . Ça n'se fait pas comm ' ça cheux nous ! Je ne nous gobargcons qu'avec not ' minagere ; Aussi de p'tits marmots j'ons une pépignere , Qui nous ressembleront tretous . Quand j'ons baisé tout ça , drès l'matin , c'est si ...
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... , cruelle ! retire - toi .... ( Lui tendant les bras . ) Pardon , Madame , pardon ! .... Je suis au désespoir ! .... J'ai tout perdu .... j'ai tout perdu ! Madame DE SAINT - FAR . Il te reste mon 44 LE DANGER DES LIAISONS ,
... , cruelle ! retire - toi .... ( Lui tendant les bras . ) Pardon , Madame , pardon ! .... Je suis au désespoir ! .... J'ai tout perdu .... j'ai tout perdu ! Madame DE SAINT - FAR . Il te reste mon 44 LE DANGER DES LIAISONS ,
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Madame DE SAINT - FAR . Il te reste mon coeur ; il te reste une amie ! Et Cécile ? .... MERCOURT . Madame DE SAINT - FAR . Oubliez - la . MERCOURT , avec l'accent de la douleur . Cécile ! ... Madame DE SAINT - FAR . Comme elle nous a ...
Madame DE SAINT - FAR . Il te reste mon coeur ; il te reste une amie ! Et Cécile ? .... MERCOURT . Madame DE SAINT - FAR . Oubliez - la . MERCOURT , avec l'accent de la douleur . Cécile ! ... Madame DE SAINT - FAR . Comme elle nous a ...
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... reste ici .... Il faudra que Mercourt vienne m'en auracher .... C'est alors que je tomberai à ses pieds , que j'expirerai de douleur , si son cœur est fermé à mes larmes . Te ne puis vivre sans mon époux ... ( A part . ) Ah ! Mercourt ...
... reste ici .... Il faudra que Mercourt vienne m'en auracher .... C'est alors que je tomberai à ses pieds , que j'expirerai de douleur , si son cœur est fermé à mes larmes . Te ne puis vivre sans mon époux ... ( A part . ) Ah ! Mercourt ...
Expressions et termes fréquents
Adieu AGATHE aime allez amant AMBROISE AMINTE amour ANNETTE AUGUSTE avez avoit BARON BASILE Beaunoir Belmont Bibliotheque des Théatres bonheur Bossu CÉCILE cher cheux cinq actes CLAUDE BAGNOLET CLAUDINE CŒUR D'AMOUR Coeur-d'Amour connoissez connoître d'Annette D'HERVILLE déja desirer É SOPE enfans épouse époux ESOPE êtes étoit EUPHEMIE femme fille Foire frere grace heureux HYPOLITE j'ai j'en jamais jeune Jugemens et Anecdotes L'AUTEUR L'ENTHOUSIASTE l'interrompant L'Orchestre joue l'air Léonore LINDOR long-tems LUCAS m'aime m'en Madame de Saint Madame DE SAINT-FAR Madame de Saint-Hilaire Madame THOMAS Mademoiselle DE BLAINVILLE maman Mamselle Thérese Mamzelle MERCOURT Monsieur le Magister oncle Opéra-Comique ORPHISE papa paroît PASQUIN PAYSAN pere PETIT-MAITRE petite Comédie PETITE-MAITRESSE PICARD Piece PIERRE BAGNOLET plaisir précédée du Sujet prose PROTECTEUR rien RUSE D'AMOUR SCENE VII seroit seul soir SOPE sort suivie d'airs gravés sur-tout tems THERESE Tragédie en cinq v'là vais veux voilà
Fréquemment cités
Page 32 - On est bien forte quand on est jolie et qu'on n'a rien à se reprocher. Votre cause est celle de toutes les femmes ; et les hommes eux-mêmes , les hommes qui savent vivre , se rangeront de votre parti. » Hortence objecta l'exemple de sa cousine , que Lusane avait rendue heureuse. On...
Page 11 - ... MERCOURT. Très-sérieusement. M°" DE SAINT-FAR. Voilà donc jusqu'où va votre courage ? Cécile au bout de huit jours soupire après les plaisirs de la ville , et vous n'osez braver un soupir? MERCOURT. Je veux la rendre heureuse. M°" DE SAINT-FAR. Sauvez-la donc d'elle-même; sauvez-la des dangers qui entourent une jeune femme ; de tous les droits de la société , vous le savez , Mercourt, ceux d'un époux sont les plus méconnus. Votre ami même , votre meilleur ami , ne croira pas offenser...
Page 43 - Moi, moi! qui viens enfin, pour bâtir un hôtel. D'acheter un marais. ESOPE. Voilà de la richeffe Le pouvoir & l'abus cruel! En pierres transformant des végétaux utiles , Elle appauvrit nos champs pour agrandir nos villes.
Page 7 - Cela viendra, mon ami. Comme elle, j'ai été jeune. Avec quelle fureur, quel aveuglement je me suis livré à ces plaisirs si faux, si trompeurs, et qui sont aujourd'hui l'objet de mon indifference et de mes mépris ! On ne voit pas à vingt ans , comme à quarante. Cécile ne peut m'en croire sur ma parole. Je n'aigrirai jamais ce cœur si tendre et si sensible, par aucune résistance déraisonnable. Je veux toujours être son amant, son époux, mais surtout son guide, son ami.
Page 7 - ... bruyans. Comme moi, elle n'en a pas connu le vide. Son cœur encore neuf s'y livre avec ardeur et. sans méfiance , faute de les bien connaître. Pourrais-je lui en faire un reproche , moi , qui ne dois mon expérience qu'à mes erreurs ? Epris l'un pour l'autre de l'amour le plus tendre , enivrés de notre bonheur, nous sommes venus dans cette campagne , pour le goûter sans être distraits. Nous y sommes depuis huit jours : je n'ai pas encore eu le moindre désir de retourner à Paris. Cécile...
Page v - Des gens honnêtes, instruits et sages, voilà les guides qu'il faut au peuple, ainsi que des ouvrages faits pour réformer le vice de son éducation et la fausseté de ses principes (1).
Page 41 - ... parler d'un ton absolu; mais c'est ma tendresse pour vous qui m'en donne le courage; un ami doit savoir au besoin déplaire à son ami. Soyez donc bien sûre que tant que je vous aimerai, j'aurai la force de vous résister, et malheur à vous si je vous abandonne. — Malheur à moi! vous m'estimez bien peu, si vous me croyez perdue dès que vous cesserez de me tenir à l'attache ! Allez, monsieur, j'ai su me conduire, et Valsain, qui me rendait justice, n'a jamais eu à se repentir d'avoir daigné...
Page 40 - Je vous deviens odieux, lui dit-il ; cependant quel est mon crime ? de sauver votre jeunesse des gers qui l'enrironnaient ; de vous détacher de ce qui peut porter atteinte , je ne dis pas à votre innocence , mais à votre réputation ; de vouloir vous faire aimer de bonne heure ce qu'il faut que vous aimiez toujours. — Oui , monsieur, vos intentions sont bonnes ; mais vous vous y prenez mal. Vous voulez me faire aimer mes devoirs , et vous m'en faites une servitude ! Il peut y avoir dans mes...
Page 40 - ... de vous détacher de ce qui peut porter atteinte , je ne dis pas à votre innocence , mais à votre réputation ; de vouloir vous faire aimer de bonne heure ce qu'il faut que vous aimiez toujours. — Oui , monsieur, vos intentions sont bonnes ; mais vous vous y prenez mal. Vous voulez me faire aimer mes devoirs , et vous m'en faites une servitude ! Il peut y avoir dans mes liaisons des conséquences à prévoir; mais il fallait dénouer au lieu de rompre , et me détacher insensiblement des...
Page 1 - Thalie, comédie en un acte et en vers libres, représentée pour la première fois sur le Nouveau Théâtre du Faubourg Saint-Germain, le 12 avril 1782.