 | M. de Beaunoir - 1798 - 60 pages
...l'un pour l'autre de l'amour le plus tendre ', enivres de notre bonheur , nous sommas venus ;dan*: cette campagne , pour le goûter sans être distraits....depuis huit jours : je n'ai pas encore eu le moindre desir de retourn-nr à Paris. Cécile m'a sofiî ; mais je ne suffis plus seul à Cécile. Je vois... | |
 | 1822 - 384 pages
...dois mon expérience qu'à mes erreurs ? Epris l'un pour l'autre de l'amour le plus tendre , enivrés de notre bonheur, nous sommes venus dans cette campagne...Je vois que la campagne commence à l'ennuyer; que la vie que nous y menons lui paraît trop monotone , trop unie. Elle n'ose me le dire ; mais son cœur... | |
 | Pierre Marie Michael Lepeintre Desroches - 1822 - 794 pages
...dois mon expérience quVi mes erreurs ? Épris l'un pour l'autre de l'amour le plus tendre , enivrés de notre bonheur , nous sommes venus dans cette campagne...moindre désir de retourner à Paris. Cécile m'a sufli ; mais je ne suffis plus seul à Cécile. Je vois que la campagne commence à l'ennuyer; que... | |
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... bruyans. Comme moi, elle n'en a pas connu le vide. Son cœur encore neuf s'y livre avec ardeur et. sans méfiance , faute de les bien connaître. Pourrais-je lui en faire un reproche , moi , qui ne dois mon expérience qu'à mes erreurs ? Epris l'un... 