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CH. IV. Quelques avantages du peuple conquis,

281

283

284

286

CH. V. Gélon, roi de Syracufe, CH. VI. D'une république qui conquiert, CH. VII. Continuation du même fujet, CH. VIII. Continuation du même fujer, 287 CH. IX. D'une monarchie qui conquiert autour d'elle, 288

CH. X. D'une monarchie qui conquiert une autre

monarchie,

CH. XI. Des mœurs du peuple vaincu,

CH. XII. D'une loi de Cyrus,

CH. XIII. CHARLES XII,

CH. XIV. ALEXANDRE,

290

ibid.

291

292

295

CH. XV. Nouveaux moyens de conferver la con

quête,

CH. XVI. D'un état defpotique qui conquiert,

302

303

CH. XVII. Continuation du même sujet

304

LIVRE XI.

Des loix qui forment la liberté politique dans fon rapport avec la conf

titution.

CHAP. I. IDÉE générale de ce livre,

306

CH. II. Diverfes fignifications données au mot de liberté,

CH. III. Ce que c'eft que la liberté,

CH. IV. Continuation du même fujer,

CH. V. De l'objet des états divers,

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CH. VI. De La conftitution d'Angleterre, 311

CH. VII. Des monarchies

que

nous connoissons

335

CH. VIII. Pourquoi les anciens n'avoient pas une idée bien claire de la monarchie, 336 CH. IX. Manière de penfer d'Ariftote, 338 CH. X. Manière de penfer des autres politiques,

339

342

CH. XI. Des rois des temps héroïques chez les Grecs, 340 CH. XII. Du gouvernement des rois de Rome & comment les trois pouvoirs y furent diftribués, CH. XIII. Réflexions générales sur l'état de Rome, après l'expulfion des rois CH. XIV. Comment la diftribution de trois pouvoirs commença à changer, après l'expulfion des rois, CH. XV. Comment, dans l'état floriffant de la république, Rome perdit tout-à-coup fa liberté,

346

349

353

CH. XVI. De la puissance législative, dans la

CH. XVII. De la puissance exécutrice,

CH. XVIII. De la puissance de juger,

république Romaine

même républiqme,

gouvernement de Rome,

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355

dans la

358

dans le

361

CH. XIX. Du gouvernement des provinces Ro

373

378

LIVRE XII.

Des loix qui forment la liberté politique, dans fon rapport avec le ci

toyen.

CHAP. I. IDEE de ce livre,

CH. II. De la liberté du citoyen,

CH. III. Continuation du même fujer,

379

380

382

383

CH. IV. Que la liberté eft favorisée par la nature des peines, & leur proportion,

CH. V. De certaines accusations qui ont particulièrement befoin de modération & prudence,

CH. VI. Du crime contre nature,

CH. VII. Du crime de lèse-majesté,

288

391

393

CH. VIII. De la mauvaife application du nom de crime de facrilège & de lefe-majesté, 394

CH. IX. Continuation du même sujet,

CH. X. Continuation du même fujet,

CH. XI. Des pensées,

CH. XIII. Des écrits ,

397

399

400

CH. XII. Des paroles indifcrettes,

ibid.

403

CH. XIV. Violation de la pudeur dans la puni

tion des crimes

405

té,

CH. XV. De l'affranchiffement de l'efclave, pour accufer le maitre,

CH. XVI. Calomnie dans le crime de lèfe-majef

CH. XVII. De la révélation des confpirations,

ibid.

CH. XVIII. Combien il eft dangereux, dans les républiques, de trop punir le crime de lèfe

407

408

majefté,

410

CH. XIX. Comment on fufpend l'usage de la liberté dans la république,

413 CH. XX. Des loix favorables à la liberté du citoyen dans la république,

414 CH. XXI. De la cruauté des loix envers les débiteurs, dans la république,

415 CH. XXII. Des chofes qui attaquent la liberté dans la monarchie, CH. XXIII. Des espions dans la monarchie,

anonymes,

419

420

42 I

CH. XXIV. Des lettres CH. XXV. De la manière de gouverner dans la monarchie, CH. XXVI. Que, dans la monarchie, le prince doit être accessible,

CH. XXVII. Des mœurs du monarque,

423

424

ibid.

CH. XXVIII. Des égards que les monarques doivent à leurs fujets,

426

CH. XXIX. des loix civiles propres à mettre un peu de liberté dans le gouvernement defpotique,

427

CH. XXX, Continuation du même fujet, 429

Fin de la Table du Tome premier,

ŒUVRES

ELOGE

DE

M. LE PRÉSIDENT

DE MONTESQUIEU, Mis à la tête du cinquième volume de L'ENCYCLOPÉDIE, par M. d'ALEM

BERT,

L'INTÉRÊT que les bons citoyens prennent à l'ENCYCLOPÉDIE, & le grand nombre de gens de lettres qui lui confacrent leurs travaux, femblent nous permettre de la regarder comme un des monumens les plus propres à être dépofitaires des fentimens de la patrie, & des hommages qu'elle doit aux hommés célèbres qui l'ont honorée. Perfuadés néanmoins que M. de Montefquieu étoit en droit d'attendre d'autres panégyriftes que nous, & que la dou-. leur publique eût mérité des interprè

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