De l'esprit des loix, Volume 1Nourse, 1769 |
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... père de Charles de Se- condat , auteur de l'Efprit des Loix . Ces détails paroîtront peut - être dépla cés à la tête de l'éloge d'un philofo- phe , dont le nom a fi peu befoin d'an- cêtres mais n'envions point à leur mémoire l'éclat que ...
... père de Charles de Se- condat , auteur de l'Efprit des Loix . Ces détails paroîtront peut - être dépla cés à la tête de l'éloge d'un philofo- phe , dont le nom a fi peu befoin d'an- cêtres mais n'envions point à leur mémoire l'éclat que ...
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... père . Ceux qui aiment la vérité & la patrie ne feront pas fâchés de trouver ici quel- ques - unes de fes maximes : il penfoit , Que chaque portion de l'état doit être également foumife aux loix ; mais que les privilèges de chaque ...
... père . Ceux qui aiment la vérité & la patrie ne feront pas fâchés de trouver ici quel- ques - unes de fes maximes : il penfoit , Que chaque portion de l'état doit être également foumife aux loix ; mais que les privilèges de chaque ...
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... père avec la fille , eft fondée fur les mêmes motifs : cepen- dant à ne parler que civilement ) elle n'eft pas fi indifpenfablement nécessaire que l'autre à l'objet de la population puifque la vertu d'engendrer finit beau . coup plus ...
... père avec la fille , eft fondée fur les mêmes motifs : cepen- dant à ne parler que civilement ) elle n'eft pas fi indifpenfablement nécessaire que l'autre à l'objet de la population puifque la vertu d'engendrer finit beau . coup plus ...
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... pére a du rapport au gouvernement d'un feul , après la mort du père , le pou- voir des frères , ou , après la mort des frères , celui des coufins - germains , ont du rapport au gouvernement de plu- fieurs . La puiffance politique ...
... pére a du rapport au gouvernement d'un feul , après la mort du père , le pou- voir des frères , ou , après la mort des frères , celui des coufins - germains , ont du rapport au gouvernement de plu- fieurs . La puiffance politique ...
Page 55
... père , la tendreffe pour fes enfans & fes fem- mes , les loix de l'honneur , l'état de fa - Civ LIV . III , CHAP . X. 55 Différence de l'obéiffance dans les gou- vernemens modérés & dans les gouvernemens defpotiques, 55.
... père , la tendreffe pour fes enfans & fes fem- mes , les loix de l'honneur , l'état de fa - Civ LIV . III , CHAP . X. 55 Différence de l'obéiffance dans les gou- vernemens modérés & dans les gouvernemens defpotiques, 55.
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De l'esprit des loix [sic], Volume 1 Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1805 |
Expressions et termes fréquents
accufé affez Athènes auffi auroit avoient avoit befoin c'eft c'eſt caufes ceffe CHAPITRE chofes citoyen civiles conféquent conferver confidérables conftitution confuls connoître corps crime defpotifme démocratie doit efclaves efprit enfans eſpèce eſt établi états defpotiques étoient étoit fage fance fans fecond fénat fénateurs fent feroient feroit fervir fervitude feul fimples fociété foibleffe foient foit font fous fouvent fouverain fujet fur-tout fureté galité gens gouver gouvernemens gouvernement hommes jufte juftice jugemens juger l'ariftocratie l'efprit des loix l'état l'hiftoire Lacédémone laiffe liberté lorfque luxe magiftrats magiftrature ment mœurs monarchie monarque Montefquieu n'avoit n'eft n'étoit nation nature néceffaire peine penfer perfonne peuple plufieurs Plutarque poffible politique pourroit pouvoir prefque préteurs prince principe puiffance exécutrice puiffance légiflative puiffe punir raifon reffort refpect refte religion république rois Romains Rome s'eft Servius Tullius temple de Gnide tion Tite Live toyen tyrannie ufage vertu
Fréquemment cités
Page 13 - ... à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur ; au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs ; elles doivent se rapporter au degré de liberté que la constitution peut souffrir ; à la religion des habitants, à leurs inclinations, à leurs richesses, à leur nombre, à leur commerce, à leurs mœurs, à leurs manières.
Page 200 - Les richesses particulières n'ont augmenté que parce qu'elles ont ôté à une partie des citoyens le nécessaire physique; il faut donc qu'il leur soit rendu.
Page 10 - Chaque société particulière vient à sentir sa force; ce qui produit un état de guerre de nation à nation. Les particuliers, dans chaque société, commencent à sentir leur force: ils cherchent à tourner en leur faveur les principaux avantages de cette société; ce qui fait entre eux un état de guerre. Ces deux sortes d'état de guerre font établir les lois parmi les hommes.
Page 304 - Enfin, comme dans les démocraties le peuple paroît à peu près faire ce qu'il veut, on a mis la liberté dans ces sortes de gouvernements, et on a confondu le pouvoir du peuple avec la liberté du peuple.
Page 41 - Les politiques grecs qui vivaient dans le gouvernement populaire ne reconnaissaient d'autre force qui pût le soutenir que celle de la vertu. Ceux d'aujourd'hui ne nous parlent que de manufactures, de commerce, de finances, de richesses, et de luxe même.
Page 167 - Les lois civiles y corrigeront donc plus aisément, et n'auront pas besoin de tant de force. Dans ces états , un bon législateur s'attachera moins à punir les crimes qu'à les prévenir ; il s'appliquera plus à donner des mœurs qu'à infliger des supplices.
Page 308 - Tout serait perdu si le même homme, ou le même corps des principaux , ou des nobles , ou du peuple, exerçaient ces trois pouvoirs : celui de faire des lois, celui d'exécuter les résolutions publiques, et celui de juger les crimes ou les différends des particuliers.
Page 6 - J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 98 - Il ya beaucoup à gagner, en fait de mœurs , à garder les coutumes anciennes. Comme les peuples corrompus font rarement de grandes choses , qu'ils n'ont guère établi de sociétés, fondé de villes , donné de lois , et qu'au contraire ceux qui avoient des mœurs simples et austères ont fait la plupart des établissements , rappeler les hommes aux maximes anciennes, c'est ordinairement les ramener à la vertu.
Page xxxviii - Lorsque dans la même personne ou dans le même corps de magistrature la puissance législative est réunie à la puissance exécutrice, il n'ya point de liberté, parce qu'on peut craindre que le même monarque ou le même Sénat ne fasse des lois tyranniques pour les exécuter tyranniquement.