| Jean François de La Harpe - 1786 - 636 pages
...ce défaut, il ya peu de ces lèvres épaïffes fi communes dans les Iflcs de l'Océan Pacifique* * On reconnoît moins les femmes à leurs traits, qu'à...forme générale de leur corps, qui n'offre , .,, pas ordinairement l embonpoint nerveux de celui ... B „ , - , , . Juillet, des hommes. La phyfionomie... | |
| Jacques Joseph Moreau - 1803 - 402 pages
...Marquises, on trouve une semblable exception (a). Aux îles des Amis, Cook remarque qu'on reconnaît moins les femmes à leurs traits qu'à la forme générale de leur corps, qui est beaucoup (i) Relation des Missionn., Biblioth, t. XVI, p. 36a. (a) Voy. Raynal , tom. II, p. 94.... | |
| Jacques Louis Moreau de la Sarthe - 1803 - 402 pages
...Marquises, on trouve une semblable exception (a). Aux îles des Amis, Cook remarque qu'on reconnaît moins les femmes à leurs traits qu'à la forme générale de leur corps, qui est beaucoup (1) Relation des Missionn., Diblioth. t. XYI, p. 3Ga. (2) Voy. Raynal, tom. II, p. 94.... | |
| Jean-François de La Harpe - 1820 - 384 pages
...ces lèvres épaisses, si communes chez les autres insulaires de cette mer. « On reconnaît inoins les femmes à leurs traits qu'à la forme générale de leur corps, qui n'oflVe pas la force ni l'embonpoint de celui des hommes * DES VOYAGES. 3a5 Cependant quelques femmes... | |
| Albert Montémont - 1833 - 478 pages
...il ya peu de ces lèvres épaisses si communes dans les îles de l'océan Pacifique. On reconnaît moins les femmes à leurs traits qu'à la forme générale de leur corps, qui n'offre pas ordinairement l'embonpoint nerveux de celui des hommes. La physionomie de quelques-unes est si délicate... | |
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