Théâtres français. Oeuvres de MolièreMartial Ardant, 1840 |
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... montrer , v'là argent sur jeu , ce m'a - il fait . Moi , je n'ai point été ni fou ni étourdi , j'ai bravement bouté à tarre quatre pièces tapées , et cinq sous en doubles , jer- niguienne ! aussi hardiment que si j'avais avalé un varre ...
... montrer , v'là argent sur jeu , ce m'a - il fait . Moi , je n'ai point été ni fou ni étourdi , j'ai bravement bouté à tarre quatre pièces tapées , et cinq sous en doubles , jer- niguienne ! aussi hardiment que si j'avais avalé un varre ...
Page 109
... montrer à von : avec les ornements qui les accompagnent chez le roi vous les verriez dans un état beaucou plus supportable ; et les airs et les symphonies → l'incomparable M. Lulli , mêlés à la beauté des voix et à l'adresse , des ...
... montrer à von : avec les ornements qui les accompagnent chez le roi vous les verriez dans un état beaucou plus supportable ; et les airs et les symphonies → l'incomparable M. Lulli , mêlés à la beauté des voix et à l'adresse , des ...
Page 116
... tu souhaiterois quelque cabinet de la foire Saint - Laurent ? Ce n'est pas cela . Aurois - tu envie d'apprendre quelque chose ? veux - tu que je te donne un maître pour te montrer à jouer du clavecin ? Nenni . Aimerois - 216 L'AMOUR ...
... tu souhaiterois quelque cabinet de la foire Saint - Laurent ? Ce n'est pas cela . Aurois - tu envie d'apprendre quelque chose ? veux - tu que je te donne un maître pour te montrer à jouer du clavecin ? Nenni . Aimerois - 216 L'AMOUR ...
Page 117
Molière. montrer à jouer du clavecin ? Nenni . Aimerois - tu quelqu'un , et souhaiterois tu d'être mariée ( Lucinde fait signe qu'oui . ) SCENE III . SGANARELLE , LUCINDE , LISETTE . LISETTE . HÉ BIEN ! monsieur , vous venez d'entretenir ...
Molière. montrer à jouer du clavecin ? Nenni . Aimerois - tu quelqu'un , et souhaiterois tu d'être mariée ( Lucinde fait signe qu'oui . ) SCENE III . SGANARELLE , LUCINDE , LISETTE . LISETTE . HÉ BIEN ! monsieur , vous venez d'entretenir ...
Page 132
... montrer leur béjaune . M. TOMÈS . Un homme mort n'est qu'un homme mort , et ne fait point de conséquence ; mais une formalité négligée porte un notable préjudice à tout le corps des médecins . pa de ve ed tr SCÈNE II . M. TOMÈS 132 L ...
... montrer leur béjaune . M. TOMÈS . Un homme mort n'est qu'un homme mort , et ne fait point de conséquence ; mais une formalité négligée porte un notable préjudice à tout le corps des médecins . pa de ve ed tr SCÈNE II . M. TOMÈS 132 L ...
Expressions et termes fréquents
ACASTE affaire aime ALCESTE Allez Allons ALONSE amant amour apothicaire ARSINOÉ assez auroit avez avoit BASQUE beau belle bian c'ai-je CARLOS CÉLIMÈNE CHARLOTTE cheux chose ciel CLITANDRE cœur commandeur courroux decin DESFONANDRÈS dessein diable DIMANCHE dire dis-je don Juan DONE ELVIRE doux DUBOIS ÉLIANTE ELVIRE esprit Est-ce êtes étoit fasse femme fille gens GÉRONTE grace GUSMAN Hippocrate homme honnête j'ai j'aurois j'avois j'en j'étois JACQUELINE l'amour l'honneur là-dessus Laissez-moi LÉANDRE LISETTE LUCAS LUCINDE m'en vais madame main malade MARTINE MATHURINE méchants médecin médecin du monde mérite messieurs Molière monde monsieur moquez Morbleu n'ai n'êtes nourrice ORONTE Parbleu parler paroître pensée père Peste PHILINTE PIERROT pourroit prendre Qu'est-ce qu'un queuque RAGOTIN raison remède rian rien ROBERT s'il vous plaît sais SCENE VII seroit SGANARELLE soins sorte souffrir statue tendresse TOMÈS trouve v'là VALERE veut veux veux-tu viens voilà vois voudrois voulez voulez-vous vrai yeux yous
Fréquemment cités
Page 223 - II court parmi le monde un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamnable, Un livre à mériter la dernière rigueur, Dont le fourbe a le front de me faire l'auteur!
Page 82 - Ainsi vous descendez en vain des aïeux dont vous êtes né ; ils vous désavouent pour leur sang, et tout ce qu'ils ont fait d'illustre ne vous donne aucun avantage ; au contraire, l'éclat n'en rejaillit sur vous qu'à votre déshonneur, et leur gloire est un flambeau qui éclaire aux yeux d'un chacun la honte de vos actions.
Page 176 - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 97 - ... dans le panneau des grimaciers, et appuient aveuglément les singes de leurs actions. Combien crois-tu que j'en connaisse qui, par ce stratagème, ont rhabillé adroitement les désordres de leur jeunesse, qui se sont fait un bouclier du manteau de la religion, et, sous cet habit respecté, ont la permission d'être les plus méchants hommes du monde? On a. beau...
Page 165 - La parfaite raison fuit toute extrémité, Et veut que l'on soit sage avec sobriété. Cette grande roideur des vertus des vieux âges Heurte trop notre siècle et les communs usages; Elle veut aux mortels trop de perfection; II faut fléchir au temps sans obstination; Et c'est une folie à nulle autre seconde, De vouloir se mêler de corriger le monde.
Page 10 - Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui...
Page 189 - L'honneur de contredire a pour lui tant de charmes, Qu'il prend contre lui-même assez souvent les armes ; Et ses vrais sentiments sont combattus par lui, Aussitôt qu'il les voit dans la bouche d'autrui.
Page 185 - C'est un parleur étrange , et qui trouve toujours L'art de ne vous rien dire avec de grands discours : Dans les propos qu'il tient on ne voit jamais goutte, Et ce n'est que du bruit que tout ce qu'on écoute.
Page 83 - Hé! mourez le plus tôt que vous pourrez, c'est le mieux que vous puissiez faire. Il faut que chacun ait son tour, et j'enrage de voir des pères qui vivent autant que leurs fils.
Page 236 - Où le vice du temps porte votre jeunesse, Pourvu que votre cœur veuille donner les mains Au dessein que j'ai fait de fuir tous les humains, Et que dans mon désert, où j'ai fait vœu de vivre, Vous soyez, sans tarder, résolue à me suivre. C'est par là seulement que, dans tous les esprits, Vous pouvez réparer le mal de vos écrits, Et qu'après cet éclat qu'un noble cœur abhorre, II peut m'être permis de vous aimer encore.