Journal de pharmacie et de chimieLibrairie de Louis Colas, 1885 |
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Expressions et termes fréquents
acétique acétones acide alcaline alcaloïdes alcoolique azotique bain-marie benzine bouillant carbonate cellules centimètres cubes chauffe chaux Chim chimique chlore chlorhydrate chloroforme chlorure chlorure de méthyle cocaïne concentré corps cristallisé cristaux d'ammoniaque d'eau décomposition diastase dissolution dissout distillée dosage dose Doundaké Eau distillée eaux écorce employé évaporation expériences farines ferment feuilles filtre flacon forme glucose gluten gouttes graines grammes heures incolore injections insoluble jaune l'acide l'acide phosphorique l'acide sulfurique l'action l'alcool l'amidon l'antipyrine l'auteur l'azote l'écorce l'éther l'iodure l'oxyde liqueur liquide litre médecine mélange ment mercure méthyle observations obtenu obtient organes oxygénée perchlorure perchlorure de fer petite quantité Pharm pharmacie pharmacien poids potasse potassium poudre précipité préparation présente procédé produit proportion propriétés protoxyde d'azote quinine réactif réaction refroidissement renferme résidu résultats rouge salicylique série Société de pharmacie sodium soluble dans l'eau solution aqueuse soude substance sucre sulfate sulfo-carbol sulfure de carbone température tion toxique tube vésicant zinc
Fréquemment cités
Page 327 - Il s'agît seulement de réaliser une combustion complète, sans trace d'oxyde de carbone ou de carbure d'hydrogène. Nous avons trouvé qu'on y parvient en effet, en opérant dans l'oxygène comprimé à 7 atmosphères environ, et avec un poids de combustible tel, que la proportion d'oxygène consommé ne surpasse pas 3o à 4° centièmes de sa quantité initiale.
Page 353 - Je ne sais si les déductions impératives de la raison scientifique réaliseront un jour cette prescience divine, qui a soulevé autrefois tant de discussions et que l'on n'a jamais réussi à concilier avec le sentiment non moins impératif de la liberté humaine. En tout cas l'univers matériel entier est revendiqué par la science , et personne n'ose plus résister en face à cette revendication. La notion du miracle et du surnaturel s'est évanouie comme un vain mirage, un préjugé suranné....
Page 88 - Dans la pratique ordinaire, il est inutile de chercher à tuer les microbes ou leurs germes; il suffit d'empocher leur reproduction. C'est ainsi qu'il faut expliquer les bons résultats obtenus de nos jours par les divers pansements antiseptiques, acide phénique, alcool, chlorure de zinc, thymol, bichlorure de mercure, etc., pansements dans lesquels les solutions antiseptiques ne sont pas suffisantes pour tuer les germes, mais suffisantes pour prévenir le développement des organismes. On voit...
Page 328 - ... de chaleur. 3° Le charbon, obtenu par une action de la chaleur plus lente et plus régulière — comme il arrive pour les parties centrales de la moelle de sureau carbonisée dans la branche même — avait perdu au contraire, dans l'échantillon étudié par nous, son excès d'énergie et même au delà; circonstance fort intéressante et qui montre que l'énergie apportée à la poudre par les charbons qui la constituent (' ) ne peut pas être évaluée d'après la seule connaissance de leur...
Page 257 - J'ai entrepris, au mois de novembre dernier, de rechercher l'existence de ces alcaloïdes dans les organes de deux cholériques que M. Hayem a bien voulu mettre à ma disposition. Ces deux cholériques, âgés tous deux de 63 ans, sont morts à l'hôpital Saint-Antoine...
Page 87 - ... culture a été faite dans les tubes de Pasteur en U à deux branches, dont l'une contenait du bouillon avec de l'antiseptique, et l'autre, comme témoin, sans antiseptique. Après avoir fait le vide dans les tubes, je les ai exposés à la température de 34 degrés ; au bout de dix-huit à vingt-quatre heures, le bouillon sans antiseptique a été troublé, tandis que les autres, suivant les doses additionnées, ont été retardés dans leur culture ou bien sont restés stériles pendant tout...
Page 619 - ... 1 partie de chaux grasse, récemment éteinte et finement tamisée : on emploie ce mélange comme le plâtre ordinaire ; une fois qu'il est bien desséché, on imbibe l'objet confectionné avec une solution d'un sulfate quelconque à base précipitable par la chaux et à précipité insoluble : le sulfate de fer et le sulfate de zinc sont, à tous les points de vue, les sulfates qui conviennent le mieux. La théorie du procédé est facile à faire : la chaux contenue dans les pores de plâtre...
Page 81 - Rharnnus européens. Il a été désigné sous le nom de Rhamnus purshiana, en mémoire du botaniste allemand Frederick Pursh, qui l'a décrit le premier, en 1814. Cette écorce, à peu près de la dimension des grosses écorces de quinquina gris, est assez foncée à sa surface extérieure et d'un jaune rougeâtre à sa surface interne. Les deux côtés sont généralement lisses, surtout à l'intérieur, car la face externe est parfois légèrement rugueuse et couverte de lichens blanchâtres....
Page 258 - L'acide picrique précipite les solutions en jaune. Le chlorure d'or en blanc jaunâtre. Le tannin, le bichlorure de mercure précipitent en blanc les solutions concentrées. Le chlorure de platine, le bichromate de potasse n'ont pas produit de précipité. Le...
Page 327 - ... ordinaire. L'inflammation peut être produite au moyen d'un fil métallique rougi par l'électricité; une fois commencée, elle s'accomplit en quelques secondes, parfois même avec un bruit spécial analogue à celui qui résulte d'une explosion en vase clos. Aussi la mesure calorimétrique proprement dite ne dure-t-elle pas plus de 3 à 4 minutes, au lieu des 15 à 25 minutes exigées par les méthodes anciennes . La combustion est d'ailleurs totale, comme nous l'avons vérifié, en recueillant...