...détournée d'un pas pour d'humbles soucis étrangers à la passion du vrai, la seule qui les touchât. Tel n'est pas M. Cousin. Si l'on entend par philosophe...de philosophie. Son nom réveille plutôt l'idée de l'éloquence que l'idée d'un genre de spéculation déterminé. La nature l'avait doué de trop...

...vraie dans son ensemble, quoique certaines parties laissent désirer plus de précision scientiûque." „Si l'on entend par philosophe un savant d'un genre...de philosophie. Son nom réveille plutôt l'idée de l'éloquence que l'idée d'un genre de spéculation détenniné. La nature l'avait doué de trop...

...mais de donner une forme éloquente et en un sens populaire aux grandes vérités de l'ordre moral M. Cousin appartient encore plus à la littérature...pour qu'il pût ne demander la gloire qu'à un seul Toutes les doctrines ne sont pas également éloquentes, et je crois bien que plus d'une fois M. Cousin...

...générale, trop vague, prête le flanc à des attaques très-justes. Voici comment l'a jugé M. Renan : « M. Cousin appartient encore plus à la littérature...orateur, un critique, qui s'est occupé de philosophie. » Les obscurités de M. Cousin tiennent un peu aux influences de la philosophie allemande ; il se...

...497. 3. « M. Cousin eût réussi en tout ce qu'il eût voulu entreprendre. La nature l'avait doué de trop de dons pour qu'il pût ne demander la gloire...qu'il joignit à celles du philosophe, une seule eût suffi pour le bannir de cette sévère phalange des chefs de la pensée abstraite, où chacun est marqué...

...497. ') « M. Cousin eût réussi en tout ce qu'il eût voulu entreprendre. La nature l'avait doué de trop de dons pour qu'il pût ne demander la gloire...qu'il joignit à celles du philosophe, une seule eût suffi pour le bannir de cette sévère phalange des chefs de la pensée abstraite, où chacun est marqué...