J'étais hors de moi. Je l'atteignis près du vieux puisard en ruine; je la pris par la ceinture, du droit de victoire, et je la fis asseoir sur un banc de gazon; elle ne résista pas. Elle était essoufflée et riait. Moi, j'étais sérieux, et je regardais... Histoire de la littérature dramatique - Page 143de Jules Janin - 1854Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1833 - 598 pages
...tr'avers ses cils noirs. ' — Asseyez-vous la, me dit-elle. II fait encore grand jour, lisons qnelque chose. Avez-vous un livre ? ' J'avais sur moi le tome second des Voyages de Spallanzani. J'ouvris an hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuy a son epanle ;i mon epaule, et nous nous mimes a lire... | |
| 1833 - 598 pages
...je regardais ses prunelles noires a travers ses cils noire. ' — Asseyez-vous la, me dit-elle. II fait encore grand jour, lisons quelque chose. Avez-vous...le tome second des Voyages de Spallanzani. J'ouvris auhasard, je merapprochai d'elle, elle appuya son epaule a mon epaule, et nous nous mimes a lire chacun... | |
| Victor Hugo - 1835 - 284 pages
...pas. Elle était essoufflée , et riait. Moi , j'étais aériens , et je regardai ses prunelles noir» à travers ses cils noirs. — Asseyez-vous là, me...dit-elle. Il fait encore grand jour, lisons quelque chose. Aveivous un livre ? J'avais sur moi le tome second des Voyages de Spallanzani. J'ouvris au hasard,... | |
| Victor Hugo - 1843 - 686 pages
...résista pas. Elle était essoufflée, et riait. Moi, j'étais sérieux, et je regardais ses prunelles noires à travers ses cils noirs. — Asseyez-vous...des Voyages de Spallanzani. J'ouvris au hasard , je nie rapprochai d'elle, elle appuya «on épaule à mon épaule, et nous nous mîmes à lire chacun... | |
| Victor Hugo - 1853 - 556 pages
...résista pas. Elle était css'iiiflléc et riait. Moi, j'étais sérieux, et je regardais ses prunelles noires à travers ses cils noirs. — Asseyez-vous...livre? J'avais sur moi le tome second des Voyages de Spllanzani. J'ouvris au hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son épaule à mon épaule, et... | |
| Victor Hugo - 1877 - 420 pages
...résista pas. Elle était essoufflée et riait. Moi, j'étais sérieux, et je regardais ses prunelles noires à travers ses cils noirs. » Asseyez-vous...côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le feuillet, elle était toujours obligée de m'attendre. Mon esprit allait moins vite que le sien. Cependant... | |
| Victor Hugo - 1881 - 564 pages
...résista pas. Elle était essoufflée et riait. .Moi, j'étais sérieux, et je regardais ses prunelles noires à travers ses cils noirs. — Asseyez-vous...elle appuya son épaule à mon épaule, et nous nous mimes à lire chacun de notre côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le feuillet, elle était... | |
| Thomas Frederick Crane - 1886 - 430 pages
...résista pas. Elle était essoufflée et riait. Moi, j'étais sérieux, et je regardais ses prunelles a ° noires à travers ses cils noirs. —Asseyez-vous...côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le 5 feuillet, elle était toujours obligée de m'attendre. Mon esprit allait moins vite que le sien.... | |
| Thomas Frederick Crane - 1886 - 438 pages
...pas. Elle était essoufflée et riait. Moi, j'étais sérieux, et je regardais ses prunelles •° noires à travers ses cils noirs. —Asseyez-vous...côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le 5 feuillet, elle était toujours obligée de m'attendre. Mon esprit allait moins vite que le sien.... | |
| Thomas Frederick Crane - 1886 - 430 pages
...résista pas. Elle était essoufflée et riait. Moi, j'étais sérieux, et je regardais ses prunelles 20 noires à travers ses cils noirs. —Asseyez-vous...côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le 5 feuillet, elle était toujours obligée de m'attendre. Mon esprit allait moins vite que le sien.... | |
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