Théâtre de P. Corneille, avec les commentaires de Voltaire |
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Théâtre de P. Corneille, avec les commentaires de Voltaire, Volume 6 Pierre Corneille Affichage du livre entier - 1795 |
Théâtre de P. Corneille, avec les commentaires de Voltaire, Volume 9 Pierre Corneille Affichage du livre entier - 1795 |
Théâtre de P. Corneille, avec les commentaires de Voltaire, Volume 6 Pierre Corneille Affichage du livre entier - 1796 |
Expressions et termes fréquents
acte Adieu aime amant amour ANTIOCHU assez ATTILA aura belle Bérénice changer charme cher cherche choisir choix chose ciel coeur Corneille cour croire cruel demander dernier destin devoir digne dire doit DOMITIAN Domitie donner douleur doute doux empereur enfin fais fera flâme force frère garder gloire grace haine haut Hélas heureux homme HONOR hymen j'ai jaloux jour juste JUSTIN l'aime l'ame l'amour l'autre l'empire l'un laisse Léon m'aime m'en madame main maître malheureux mettre mieux mort n'ai n'en ordre parler peine pense père peut-être pleurs porte pouvoir première prêt prince princesse puisse PULCH Pulchérie qu'à qu'en qu'un quitter Racine raison rang refus regards régner reine rendre respect reste rien rival rois Romains Rome s'en s'il sais sang SCENE seigneur sénat sentiment sera servir seul soins sort souffrir soupirs tems Titus traite trône trouble trouver veut veux vient voeux vois voyez vrai yeux
Fréquemment cités
Page 134 - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Page 101 - La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. Mais toutes ces règles sont d'un long détail, dont je ne leur conseille pas de s'embarrasser : ils ont des occupations plus importantes. Qu'ils se reposent sur nous de la fatigue d'éclaircir les difficultés de la poétique d'Aristote ; qu'ils se réservent le plaisir de pleurer et d'être attendris...
Page 137 - N'at-il que des états qu'il me puisse donner? Depuis quand croyez- vous que ma grandeur me touche? Un soupir, un regard, un mot de votre bouche, Voilà l'ambition d'un cœur comme le mien : Voyez-moi plus souvent, et ne me donnez rien': Tous vos moments sont-ils dévoués à l'empire?
Page 128 - Elle a mille vertus ; mais, seigneur, elle est reine. Rome, par une loi qui ne se peut changer, N'admet avec son sang aucun sang étranger Et ne reconnaît point les fruits illégitimes Qui naissent d'un hymen contraire à ses maximes.
Page 122 - Et ces lauriers encor témoins de sa victoire; Tous ces yeux qu'on voyoit venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence.... Ciel!
Page 133 - Bérénice me plut. Que ne fait point un cœur Pour plaire à ce qu'il aime , et gagner son vainqueur? Je prodiguai mon sang : tout fit place à mes armes : Je revins triomphant. Mais le sang et les larmes Ne me suffisaient pas pour mériter ses vœux : J'entrepris le bonheur de mille malheureux. On vit de toutes parts mes bontés se répandre ; Heureux , et plus...
Page 167 - Ah, seigneur ! songez-vous en vous-même Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous , Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ; Que le jour recommence, et que le jour finisse, Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que, de tout le jour, je puisse voir Titus...
Page 184 - L'empire incompatible avec votre hyménée ; Me dit qu'après l'éclat et les pas que j'ai faits , Je dois vous épouser encor moins que jamais. Oui , madame , et je dois moins encore vous dire Que je suis prêt pour vous d'abandonner l'empire ; De vous suivre , et d'aller , trop content de mes fers, Spupirer avec vous au bout de l'univers.
Page 292 - Quoi ! des plus chères mains craignant les trahisons, J'ai pris soin de m'armer contre tous les poisons, J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie.
Page 182 - Ah cruel ! par pitié montrez-moi moins d'amour. Ne me rappelez point une trop chère idée , Et laissez-moi du moins partir persuadée Que déjà de votre ame exilée en secret, J'abandonne un ingrat qui me perd sans regret.