Histoire littéraire de la France: ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres de l'Institut (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres)., Volume 29

Couverture
Imprimerie nationale, 1885
 

Pages sélectionnées

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page xxxv - Dernières amours d'Ovide, poème français du quatorzième siècle. Traduit du latin de Richard de Fournival par Jean Lefèvre , publié pour la première fois et précédé de Recherches sur l'auteur de Vetula , par Hippolyte Cocheris.
Page xl - Les lapidaires français du moyen âge desxn", xin* et xiv siècles, réunis, classés et publiés, accompagnés de préfaces, de tables et d'un glossaire par L. Pannier, avec une notice préliminaire par G. Paris. 10 fr. 53* et 54* fasc.
Page 226 - Qui considérera que le visage du prince fait toute la félicité du courtisan , qu'il s'occupe et se remplit pendant toute sa vie de le voir et d'en être vu , comprendra un peu comment voir Dieu peut faire toute la gloire et tout le bonheur des saints.
Page 525 - Destiné uniquement à l'édification des béguines, il fut tout d'abord écrit en langue vulgaire (lingua laica), et n'exista jamais en latin. Le dialecte est celui de Marseille. L'original paraît avoir été écrit dans une orthographe très régulière. Le livre, peu après sa composition, était lu, dans les réunions des béguines, comme livre d'édification. M. Paul Meyer avait émis l'opinion que la Vie fut écrite peu de temps après la mort de la sainte, c'est-à-dire dans le dernier quart...
Page 190 - Au commencement était le Verbe ; • Et le Verbe était auprès de Dieu ;• • . • . '• • . • Et le Verbe était Dieu.
Page 19 - Art, comment, dans l'incarna'.ion du Fils de Dieu, par la participation, c'està-dire l'union du Créateur et de la créature dans la personne du Christ, la première et suprême cause concorde avec son effet, et comment même cela se manifeste surtout et très noblement dans la Passion du Fils de Dieu, qu'il souffrit, du côté de son humanité, en daignant volontairement et très miséricordieusement nous racheter, nous pécheurs, du péché et de la corruption du premier parent et nous ramener...
Page 574 - propositum perfice " dixit "opus." 40 Ad mea, decepti iuvenes, praecepta venite, Quos suus ex omni parte fefellit amor. Discite sanari, per quem didicistis amare : Una manus vobis vulnus opemque feret. Terra salutares herbas, eademque nocentes...
Page xxxvii - FRANKLIN. — La Sorbonne, ses origines, sa bibliothèque, les débuts de l'imprimerie à Paris et la succession de Richelieu, d'après des documents inédits, par Alfred Franklin, bibliothécaire de la bibliothèque Mazarine. 2 ° édition corrigée et augmentée. In-8° de xiv-279 p.
Page 229 - Aussi pense-je que cette conquête ne se doit faire que comme tu l'as faite, Seigneur, avec tes apôtres, c'est-à-dire par l'amour, les oraisons et l'effusion des larmes. Donc, que de saints chevaliers religieux se mettent en chemin, qu'ils se munissent du signe de la croix, qu'ils se remplissent de la grâce du Saint-Esprit, qu'ils aillent prêcher aux infidèles la vérité de...
Page 470 - ... dame qui déclare aimer son mari et vouloir lui garder sa foi : l'amant lui répond que si elle aime son mari , c'est qu'elle ne connaît pas d'autre homme, et que ce mari d'ailleurs ne lui est pas aussi fidèle qu'elle se l'imagine. Une autre craint de perdre sa réputation : on lui montre qu'il ya moyen de bien cacher un secret. La troisième ne se fie pas aux paroles des amants, si souvent trompeurs : on la rassure par des protestations. A une quatrième, qui regarde comme une offense qu'on...

Informations bibliographiques