233 LXXXV. A M. de Rance. Sur les obstacles à son voyage de la Trappe, et la prochaine assemblée du Clergé. Page 232 LXXXVI. Bref d'Innocent XI à M. de Condom. Il lui déclare qu'il lui a remis les droits pour l'expédition de ses bulles pour l'évêché de Meaux. LXXXVII. Au pape Innocent XI. Il lui témoigne sa reconnoissance et les sentimens de son respect et de son attachement. 234 LXXXVIII. De M. de Castorie à M. de Condom. Sur les fruits du livre de l'Exposition, les mauvais effets de celui du P. Crasset, et les plaintes des Calvinistes transfuges de France contre les Catholiques. 235 LXXXIX. A M. Dirois. Sur la Régale, l'assemblée du Clergé, là nomination du prélat Ricci au cardinalat, et quelques autres objets. 239 XC. De M. de Castorie à M. de Condom. Sur l'Apologie pour les Catholiques, composée par M. Arnauld, et le Discours sur l'His toire universelle. 241 XCI. Au cardinal d'Estrées. Il lui parle des difficultés proposées sur quelques endroits de son sermon, prêché à l'ouverture de l'assemblée de 1681, lui rend compte des motifs qui l'ont dirigé dans la composition de ce discours. 242 249 -uns de ses ou 254 XCII. A M. Dirois. Sur les différens objets qui devoient se traiter dans l'assemblée actuelle du Clergé. XCIII. Au même : Sur la distribution de quelques – vrages. XCIV. Au même. Sur l'origine et les fondemens de la Régale. 255 XCV. Au même. Sur la lettre et le procès-verbal de l'assemblée, touchant la Régale, et la manière dont on se proposuit de traiter les points de morale. 260 258 XCVI. A M. de Rancé. Il parle d'un ouvrage de cet abbé, et déplore la corruption du siècle. XCVII. A M. Dirois. Sur le projet de Censure et le Corps de Doctrine, qu'il avoit été chargé de dresser par l'Assemblée, et sur la manière dont on devoit procéder à l'égard des différentes propositions qui méritoient d'être censurées. 262 XCVIII. Au même. Sur les funestes conséquences de la décision que Rome méditoit en faveur de l'infaillibilité des Papes : la nécessité de condamner sans réserve toutes les propositions que l'Assemblée devoit censurer: en quoi consiste la véritable grandeur du saint Siége. 266. XCIX. A M. de Rance. Sur l'ouvrage de cet abbé, deux Orai sons funèbres du prélat, et les fàcheuses dispositions du Pape. Page 274 C. Au même. Il tâche de le détourner du dessein qu'il avoit de se démettre. 275 CI. A M. le comte d'Avaux, ambassadeur de France à la Haye. Sur différens ouvrages contre les Protestans, que le prélat avoit reçus de Hollande. 276 CII. A M. de Rancé. Sur la conférence qu'il avoit eue avec M. l'archevêque de Paris, au sujet du livre de cet abbé. 277 CHI. Au même. Il lui apprend les heureux fruits de son livre, et en fait de grands éloges. 280 CIV. De M. de Castorie. Sur plusieurs écrits de M. de Meaux, dont l'Eglise de Hollande retiroit de grands avantages. 281 CV. A M. de Castorie. Estime qu'il fait de son livre de l'Amour pénitent; éloges qu'il donne aux ouvrages de M. Arnauld contre le P. Malebranche. 282 CVI. De M. de Castorie. Sur le sort qu'a eu en différens lieux le livre de l'Amour pénitent, et la disposition où étoit M. Arnauld d'entreprendre la réfutation du systême du P. Malebranche sur la grâce. 284 CVII. A M. de Castorie. Il lui demande des éclaircissemens sur le 288 Traité des Billets. CVIII. De M. de Castorie. Il donne des détails sur la pratique des négocians de Hollande touchant le prêt. 289 CIX. A M. Dirois. Sur une affaire qu'un ecclésiastique avoit à la Pénitencerie. 291 CX. A M. de Rance. Sur la mort de trois des principaux amis du prélat. 293 CXI. A M. Dirois. Sur l'affaire portée à la Pénitencerie, et sur un traité imprimé en Espagne contre les quatre Articles du clergé de France. CXII. A M. de Rance. Sur la permission accordée par les supérieurs de la congrégation de Saint-Maur, à dom Muguet, de prendre des engagemens à la Trappe. 294 296 295 CXIII. De M. de Castorie. Sur un libelle qu'un imposteur menaçoit d'attribuer à M. de Meaux. CXIV. A M. de Rance. Sur les difficultés qui s'opposoient au dessein de dom Muguet de se fixer à la Trappe. 298 CXV. Réponse de Bossuet à la question envoyée par M. l'évêque d'Angers, sur les expressions de la profession de foi de Pie IV, qui concernent l'invocation des Saints. 299 CXVI. A M. Dirois. Sur l'affaire portée à la Pénitencerie; sur un projet de défense de la Déclaration du Clergé; et sur les lettres du cardinal Ubaldini, opposées aux sentimens de Bellarmin. Page 303 CXVII. A dom Mahillon. Sur l'affaire de Molinos, l'ordination des Anglais, et le rétablissement de la coupe en Angleterre et en Allemagne. 306 CXVIII. De dom Mabillon. Sur le rétablissement de la coupe, et quelques faits historiques. 308 CXIX. A un de ses Diocésains, réfugié en Hollande. Il l'exhorte à revenir à l'Eglise. 310 DÉCLARATION donnée à M. de Bordes, sur plusieurs points relatifs à son changement de croyance. CXX. De milord Perth. Sur sa conversion. 313 315 CXXI. Du même. Sur les suites de sa conversion, et le mérite des Ecrits de M. l'Evêque de Meaux. 318 CXXII. Du même. Sur les fruits qu'il a retirés des ouvrages de M. de Meaux; sa fermeté dans la foi, et les mauvaises couleurs qu'on vouloit donner à sa conversion. CXXIII. Du même à Bossuet. Il lui témoigne l'estime qu'il faisoit de son mérite, sa reconnoissance, et la sincérité de sa conversion. 319 320 CXXIV. De Bossuet à milord Perth. Il relève les circonstances admirables de sa conversion, lui marque combien il est touché de l'aveuglement de l'Angleterre, et le désir qu'il a d'y voir refleurir la foi. 324 CXXV. De milord Perth. Grands sentimens de ce néophyte; espérance qu'il a de la conversion des Anglais; son respect pour les Pères de l'Eglise, le Clergé de France, et Bossuet. 327 CXXVI. A un Juif retiré en Angleterre. Il le sollicite de rentrer dans le sein de l'Eglise, qu'il avoit quittée après sa conversion. 333 CXXVII. A un Réfugié. Il lui montre le tort qu'il a de regarder comme une raison légitime de son changement, la persécution qu'il prétend que l'Eglise fait souffrir aux Protestans; répond à ses difficultés sur l'Eucharistie, et lui prouve le besoin que les chrétiens ont d'une autorité vivante et parlante qui termine leurs contestations. 334 CXXVIII. A M. Hermant, docteur de Sorbonne. Sur quelques recherches d'érudition ce que docteur avoit faites pour le prélat. 338 CXXIX. A dom Ruinart, Bénédictin. Il le prie de faire des re cherches sur une leçon de saint Ambroise. CXXX. Réponse de dom Ruinart. Page 339 340 343 CXXXI. De milord Perth. Sur l'état des affaires de la religion dans les trois royaumes, et particulièrement en Ecosse. CXXXII. A M. de Rance. Sur la promotion de M. le Camus, évêque de Grenoble, au cardinalat. CXXXIII. A M. l'abbé Nicaise. Il lui parle de quelques auteurs et de différens ouvrages. 352 354 360 CXXXIV. De milord Perth. Sur son fils qui venoit en France. 355 CXXXV. Du même. Il rend au prélat de grandes actions de grâces, pour la réception qu'il a faite à son fils. Il lui marque combien il est difficile de lui procurer des mémoires authentiques sur 356 l'origine et les progrès de l'héresie en Angleterre. CXXXVI. Du même. Sur la manière dont le livre de l'Exposition lui est parvenu, sur l'état des catholiques d'Ecosse, et les moyens d'étendre la foi. CXXXVII. A M. l'évêque de Saintes. Il répond à différentes questions sur les Protestans qui ne reviennent pas sincèrement à l'E367 glise. CXXXVIII. A M. de Rancé. Sur le chantre de l'église de Meaux, qui vouloit se retirer à la Trappe. CXXXIX. A un disciple du P. Malebranche. Sur les funestes conséquences du livre de la Nature et de la Gráce. CXL. De milord Perth. Sur l'opposition de certains religieux à l'exécution du projet d'établir un évêque en Ecosse. CXLI. A M. de Rance. Sur le Commentaire du P. Mege, contraire à plusieurs des sentimens de cet abbé. CXLII. Au même. Il l'instruit de la publication du Commentaire du P. Mege, et de ce qu'il convenoit de faire dans cette circon stance. 371 372 381 385 390 387 CXLIII. Au même. Il lui témoigne qu'il trouve à propos que le Commentaire de cet abbé sur la Règle de saint Benoit, paroisse avec les approbations ordinaires, plutôt qu'avec la sienne. 388 AVERTISSEMENT sur les Pièces suivantes. PROPOSITION: Qu'on peut dire que la satisfaction que Jésus-Christ fait par ses souffrances, à la justice divine, supplée à la satisfaction que les damnés lui font pour leurs péchés. OBSERVATIONS de M. l'Evêque de Meaux sur cette Proposition. Ibid. RÉPONSE de l'auteur de la Proposition. (D. Lami, Bénédictin). 393 391 CXLIV. De Bossuet à dom Lami. Sur sa Démonstration de la Pro position susdite. CXLV. Au même. Sur le même sujet. Page 404 405 CXLVI. De dom Lami. Sur le même sujet, et sur une Refutation de Spinosa. CXLVII. A dom Lami. Sur le même sujet. Ibid. 407 408 CXLVIII. De dom Lami. Il envoie à Bossuet de nouveaux éclaircissemens sur sa Démonstration. SENTIMENT DE M. L'EVÊQUE DE MEAUX sur la Démonstration au sujet de la satisfaction de Jésus-Christ, avec les REMARQUES de dom Lami. LETTRES de diverses personnes sur le même sujet: 411 438 CXLIX. A M. Lefevre d'Ormesson. Sur la source du mérite des bonnes œuvres, et la manière dont la charité opère. 443 CL. A dom Mabillon. Il lui demande des éclaircissemens sur l'étendue de la persécution dans l'Occident. 446 CLI. A M. de Rancé. Sur le retard de la publication du Commen taire de cet abbé, et l'armement du prince d'Orange. 448 CLII. A dom Mabillon. Sur une lettre du cardinal Colloredo, et les menaces qu'on faisoit contre l'Eglise catholique et contre la France. 449 CLIII. A M. l'abbé Renaudot. Il lui témoigne le désir de le voir admis dans l'Académie française. 450 CLIV. De M. l'abbé Renaudot. Sur la lettre suivante. CLV. De milord Perth. Ses dispositions au milieu des souffrances que sa fidélité pour son Roi lui attiroit. CLVI. A milord Perth. Bossuet le félicite du bonheur qu'il a de souffrir pour la foj et pour son prince, lui témoigne le désir qu'il a de travailler au salut de l'Angleterre. Ibid: 451 455 CLVII. A M. de Rancé. Sur son Commentaire de la Règle de saint Benoit 460 CLVIII. Au même. Sur les égaremens du ministre Jurieu, l'exemp tion de Jouarre, et un nouveau Commentaire de la Règle de saint Benott, par un Bénédictin. CLIX. A dom de Montfaucon, Bénédictin. Sur son livre concernant l'Histoire de Judith. 461 462 CLX. A M. Santeul, chanoine régulier de Saint-Victor. Il loue la pièce de vers que ce poète avoit composée pour s'excuser des reproches qui lui avoient été faits, lui parle de ses hymnes de saint Bruno, et d'un poème fait contre sa Pomone. 463 |