Correspondance littéraire, philosophique et critique: adressée a un souverain d'Allemagne, depuis 1770 jusqu'en 1782, Partie 2,Volume 3 |
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Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée a ..., Volume 3 Friedrich Melchior Freiherr von Grimm Affichage du livre entier - 1812 |
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Correspondance Litteraire Philosophique Et Critique Adressee a Un ..., Volume 5 Grimm-F Aucun aperçu disponible - 2015 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 416 - Majesté, d'un pot de chambre et d'une lampe que je renverse ordinairement sur mes habits, cela est trop grotesque.
Page 115 - Corneille, il est absurdement envieux; s'il a jugé le siècle de Corneille, et le degré de l'état de l'art dramatique d'alors, il le peut, et notre siècle a droit d'examiner le goût des siècles précédents. Je n'ai jamais lu les notes de Voltaire sur Corneille, ni voulu les lire, malgré qu'elles me crevassent les yeux sur toutes les cheminées de Paris, lorsqu'elles parurent. Mais il m'a fallu ouvrir le livre deux ou trois fois au 1.
Page 397 - Emilie n'est qu'un prestige: elle a tant travaillé à paraître ce qu'elle n'était pas qu'on ne sait plus ce qu'elle est en effet. Ses défauts mêmes ne lui sont peutêtre pas naturels, ils pourraient tenir à ses prétentions ; son impolitesse...
Page 44 - Ces jours derniers, il a envoyé la question suivante à la Faculté de médecine : « Messieurs de la Faculté sont priés de donner en bonne forme leur avis sur toutes les suites possibles de l'ennui sur le corps humain , et jusqu'à quel point la santé peut en être altérée.
Page 387 - Vous avez dit dans une épître dédicatoire qu'il faut toujours finir par adorer Pubnyrc et par suivre la nature. Cela tend au spinosisme; cela réduit les lecteurs à rejeter toute autre loi que la loi de la nature ; « 2° Vous avez avancé qu'il était impossible à l'homme d'avoir des idées claires sur l'essence de Dieu, et qu'il fallait se contenter de l'adorer en silence; « 3° Vous avez distingué un certain culte de l'homme du culte du citoyen ; « 4° Vous avez dit (dans un Essai sur...
Page 80 - JeanJacques est devenu le plus zélé partisan du nouveau système; il a déclaré avec ce renoncement à soi-même si peu connu de nos sages, qu'il s'était trompé jusqu'à présent ; que l'opéra de M. Gluck renversait toutes ses idées, et qu'il était aujourd'hui très-convaincu que la langue française pouvait être aussi susceptible qu'une autre d'une musique forte , touchante et sensible.
Page 244 - Son enthousiasme pour le roi de Prusse allait jusqu'à la passion... Il couchait au-dessous de son appartement, et ne sortait de sa chambre que pour souper. Le roi composait en haut des ouvrages de philosophie, d'histoire et de poésie, et son favori cultivait en bas les mêmes arts et les mêmes talents. Ils s'envoyaient l'un à l'autre leurs ouvrages...
Page 396 - ... tête, le visage aigu, le nez pointu, deux petits yeux vert-de-mer, le teint noir, rouge, échauffé, la bouche plate, les dents clair-semées et extrêmement gâtées. Voilà la figure de la belle Emilie...
Page 397 - Certain ouvrage donné au public sous son nom, et revendiqué par un cuistre, a semé quelques soupçons ; on est venu à dire qu'elle étudiait la géométrie pour parvenir à entendre son livre. Sa science est un problème difficile à résoudre. Elle n'en parle que comme Sganarelle parlait latin, devant ceux qui ne le savaient pas. Belle, magnifique, savante, il ne lui manquait plus que...
Page 18 - Nous avons éprouvé toutes les jouissances, et même celle d'obliger ses semblables ; nous pouvons nous les procurer encore, mais tous les plaisirs ont un terme, et ce terme en est le poison. Nous sommes dégoûtés de la scène universelle; la toile est baissée pour nous, et nous laissons nos rôles à ceux qui sont assez faibles pour vouloir les jouer encore quelques heures ; quelques grains de poudre...