 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1812 - 462 pages
...soi-même si peu connu de nos sages, qu'il s'était trompé jusqu'à présent ; que l'opéra de M. Gluck renversait toutes ses idées , et qu'il était...Italie le coup de pied du cheval. Il trouve que les motifs de ses airs sont presque tous ou communs ou bizarres , et que les plus agréables manquent leur... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1830 - 698 pages
...soi-même si peu connu de nos sages, qu'il s'était trompé jusqu'à présent ; que l'opéra de M. Gluck renversait toutes ses idées, et qu'il était...Italie le coup de pied du cheval. Il trouve que les motifs de ses airs sont presque tous ou communs ou bizarres, et que les plus agréables manquent leur... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1879 - 546 pages
...à soi-même si peu connu de nos sages, qu'il s'était trompé jusqu'à présent; que l'opéra de M. Gluck renversait toutes ses idées, et qu'il était...qu'on appelle en Italie le coup de pied du cheval. H trouve que les motifs de ses airs sont presque tous ou communs ou bizarres, et que les plus agréables... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1879 - 562 pages
...à soi-même si peu connu de n6s sages, qu'il s'était trompé jusqu'à présent; que l'opéra de M. Gluck renversait toutes ses idées, et qu'il était...Italie le coup de pied du cheval. Il trouve que les motifs de ses airs sont presque tous ou communs ou bizarres, et que les plus agréables manquent leur... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1879 - 552 pages
...a soi-même si peu connu de nos sages, qu'il s'était trompé jusqu'à présent; que l'opéra de M. Gluck renversait toutes ses idées, et qu'il était...autre d'une musique forte, touchante et sensible. trouve que les motifs de ses airs sont presque tous ou communs ou bizarres, et que les plus agréables... | |
 | Eugen Hirschberg - 1903 - 174 pages
...soi-même si peu connu de nos sages, qu'il s'était 'trompé jusqu'à présent; que l'opéra de M. Gluck renversait toutes ses idées et qu'il était...autre, d'une musique forte, touchante et sensible . . . .» Die Anhänger der italienischen Musik können ihm (»notre nouvel Orphée«) die Kenntnis... | |
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JeanJacques est devenu le plus zélé partisan du nouveau système; il a déclaré avec ce renoncement à soi-même si peu connu de nos sages, qu'il s'était trompé jusqu'à présent ; que l'opéra de M. Gluck renversait toutes ses idées, et qu'il était... 