Vie polémique de Voltaire; ou, Histoire de ses proscriptions, avec les pièces justificatives, Volume 9Dentu, 1802 - 442 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 61
Page 14
... J'ai été si mal- heureux avec l'autre , écrivait - il à la fille de ma- dame Dunoyer , qué je voux voir si celui - ci m'apportera du bonheur . » simula pourtant ; mais son amour- propre était trop sensible 14 POLÉMIQUE VIE.
... J'ai été si mal- heureux avec l'autre , écrivait - il à la fille de ma- dame Dunoyer , qué je voux voir si celui - ci m'apportera du bonheur . » simula pourtant ; mais son amour- propre était trop sensible 14 POLÉMIQUE VIE.
Page 17
... j'ai su une partie des malheurs de ce poêle fougueux , dont un seul aurait dû suffire pour le corriger , s'il était susceptible de correction .... A par pitié tiré de la misère , Et qui 2 DE VOLTAIRE . médisans et les calomniateurs, et ...
... j'ai su une partie des malheurs de ce poêle fougueux , dont un seul aurait dû suffire pour le corriger , s'il était susceptible de correction .... A par pitié tiré de la misère , Et qui 2 DE VOLTAIRE . médisans et les calomniateurs, et ...
Page 18
... j'ai manqué à mon bienfaiteur , pen- dant que son amitié et ma reconnaissance sont un fait avéré publiquement dans mes ouvrages mêmes , dont un des plus considérables est l'épître que je lui ai adressée . A Enghein , ce 22 mai 1736 ...
... j'ai manqué à mon bienfaiteur , pen- dant que son amitié et ma reconnaissance sont un fait avéré publiquement dans mes ouvrages mêmes , dont un des plus considérables est l'épître que je lui ai adressée . A Enghein , ce 22 mai 1736 ...
Page 23
... J'ai parlé de ce scélérat comme un hon- nête homme doit parler d'un monstre . >> C'est bien là le cas de dire que les lettres humaines sont devenues très - inhumaines . sur le fondement de la vérité , sans la- quelle DE VOLTAIR E 23.
... J'ai parlé de ce scélérat comme un hon- nête homme doit parler d'un monstre . >> C'est bien là le cas de dire que les lettres humaines sont devenues très - inhumaines . sur le fondement de la vérité , sans la- quelle DE VOLTAIR E 23.
Page 28
... j'ai pris la saison du printems ; Car les zéphirs de leurs chaudes baleines , Ont fondu l'écorce , des eaux ( 2 ) . " Plus il parlait ce langage , moins la porte du Temple du Goût s'ouvrait . Quoi ! l'on me prend donc , dit - il ...
... j'ai pris la saison du printems ; Car les zéphirs de leurs chaudes baleines , Ont fondu l'écorce , des eaux ( 2 ) . " Plus il parlait ce langage , moins la porte du Temple du Goût s'ouvrait . Quoi ! l'on me prend donc , dit - il ...
Autres éditions - Tout afficher
Vie polémique de Voltaire, ou: Histoire de ses proscriptions, avec les ... Antoine Sabatier de Castres Affichage du livre entier - 1802 |
Vie polémique de Voltaire; ou Histoire de ses proscriptions, avec les pièces ... Antoine SABATIER (de Castres.),Julien Louis GEOFFREY Affichage du livre entier - 1802 |
Vie polémique de Voltaire ou histoire de ses proscriptions avec les pièces ... Antoine Sabatier de Castres Affichage du livre entier - 1802 |
Expressions et termes fréquents
auteur Beaumelle Bélisaire Bicêtre calomnies Cantorbéry CHAPITRE choses cœur Coger collége Mazarin Corneille critique d'avoir déclaration Desfontaines Dieu digne dire écrit écrivains écrivit ennemi esprit eût évêque fanatisme Ferney Fréron Genève gens de lettres gloire goût Henriade homme honnête imprimer infame injures insulte intitulé j'ai jamais Jean-George Jean-Jacques Jean-Jacques Rousseau jésuite juger justice Koenig l'abbé Nonote l'Académie l'archevêque de Cantorbéry l'auteur l'esprit l'Histoire lecteur libelle libraire littéraire livre long-tems Louis XIV lui-même Maupertuis ment Mérope monsieur Montesquieu oncle ouvrage Palissot pardon parler pays de Gex pensées personne philosophe de Ferney plaisanterie poëte Pompignan prétend Princesse de Babylone Prusse public qu'un raison religion répondit respect ridicule rien Rousseau sage Saint-Hyacinthe sait satire savait sentimens sera Siècle de Louis sieur style sujet sur-tout taire talens tems teur tion traits trouve vait vérité Vernet Voici Voltaire Voltaire n'a vrage vrai Warburton сс ככ
Fréquemment cités
Page 291 - On n'a jamais employé tant d'esprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quatre pattes, quand on lit votre ouvrage.
Page 93 - Qu'on parcoure l'histoire ancienne et moderne, on ne trouvera point d'exemple de prince qui ait donné sept mille écus de pension à un homme de lettres à titre d'homme de lettres. Il ya eu de plus grands...
Page 85 - Australes, et que mon cerveau est si petit, que la découverte de ses fibres ne vous donnera aucune notion de l'âme. De plus, si vous me tuez, ayez la bonté de vous souvenir que M. de La Beaumelle m'a promis de me poursuivre jusqu'aux enfers...
Page 318 - C'est de Rousseau le digne et noir palais. Là se tapit ce sombre énergumène, Cet ennemi de la nature humaine. Pétri d'orgueil et dévoré de fiel ; Il fuit le monde, et craint de voir le ciel...
Page 76 - Il n'était pas nécessaire que- vous prissiez le prétexte du besoin que vous me dites avoir des eaux de Plombières, pour me demander votre congé. Vous pouvez quitter mon service quand vous voudrez; mais, avant de partir, faites-moi remettre le contrat de votre engagement, la clef, la croix, et le volume de poésies que je vous ai confié. Je souhaiterais que mes ouvrages eussent été seuls exposés à vos traits et à ceux de Kœnig.
Page 75 - Je ne vous chasse point , lui a dit le roi, parce que je vous ai appelé; je ne vous ôte point votre pension , parce que je vous l'ai donnée ; mais je vous défends de paraître jamais devant moi.
Page 86 - Ayez encore la bonté de faire une petite attention : pour peu que vous vouliez exalter votre âme pour voir clairement l'avenir, vous verrez que si vous venez m'assassiner à Leipsick, où vous n'êtes pas plus aimé qu'ailleurs, et où votre lettre est déposée, vous...
Page 77 - Je les sacrifie de bon cœur à ceux qui croient augmenter leur réputation en diminuant celle des autres. Je n'ai ni la folie ni la vanité de certains auteurs. Les cabales des gens de lettres me paraissent l'opprobre de la littérature. Je n'en estime cependant pas moins les honnêtes gens qui les cultivent. Les chefs de cabales sont seuls avilis à mes yeux.
Page 63 - Ce globe mal connu, qu'il a su mesurer, Devient un monument où sa gloire se fonde; Son sort est de fixer la figure du monde, De lui plaire, et de l'éclairer.
Page 193 - QU'AS-TU, petit bourgeois d'une petite ville ? Quel accident étrange, en allumant ta bile, A sur ton large front répandu la rougeur ? D'où vient que tes 'gros yeux pétillent de fureur ? Réponds donc. — L'univers doit venger mes injures ; L'univers me contemple, et les races futures Contre mes ennemis déposeront pour moi. — L'univers, mon ami, ne pense point à toi, L'avenir encor moins : conduis bien ton ménage, Divertis-toi, bois, dors, sois tranquille, sois sage.