Revue de Bretagne et de Vendée

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1858
 

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Fréquemment cités

Page 145 - Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur ; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même : Un songe , un rien , tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Page 122 - Jésus dit à ses disciples : en vérité, je vous le dis, il est difficile à un riche d'entrer dans le royaume des cieux.
Page 253 - Monte enrichir les champs où nous passons! Nous n'avons rien; arbres, fleurs, ni moissons. Est-ce pour nous que le soleil se lève ! Et vers le ciel se frayant un chemin, Ils sont partis en se donnant la main. Pauvres enfants! calomnier la vie! C'est par dépit que les vieillards le font. Est-il de coupe où votre âme ravie, En la vidant, n'ait vu l'amour au fond? Ils répondaient : C'est le rêve d'un ange. L'amour! en vain notre voix l'a chanté.
Page 99 - La multitude des souvenirs, l'abondance des sentiments vous oppressent; votre âme est bouleversée à l'aspect de cette Rome qui a recueilli deux fois la succession du monde , comme héritière de Saturne et de Jacob 2.
Page 146 - Je dirai seulement» sinon comme défense, au moins comme excuse, que ces chansons, folles inspirations de la jeunesse et de ses retours, ont été des compagnes fort utiles, données aux graves refrains et aux couplets politiques. Sans leur assistance, je suis tenté de croire que ceux-ci auraient bien pu n'aller ni aussi loin, ni aussi bas, ni même aussi haut, ce dernier mot dût-il scandaliser les vertus de salon.
Page 135 - ... rarement vrai et ne l'était certes pas alors plus qu'aujourd'hui. Plusieurs de ces messieurs me remerciaient du secours que je tâchais de leur prêter; je répondais : « Ne me remerciez pas des chansons faites contre nos adversaires; remerciez-moi de celles que je ne fais pas contre vous.
Page 92 - M"* de Malcrais. Quant aux vers de Rousseau mis sous ce portrait, les voici : Si, sous un nom d'emprunt autrefois si charmant, Maillard brilla sur le Parnasse, Aujourd'hui, sous le sien, encor plus dignement II sait y conserver sa place. La correspondance de...
Page 86 - Je m'empresse de répondre à la lettre que ' vous m'avez fait l'honneur de m'adresser au sujet des ta
Page 241 - II voit au loin passer un bataillon. Le sang remonte à son front qui grisonne ; Le vieux coursier a senti l'aiguillon. Hélas! soudain, tristement il s'écrie: "C'est un drapeau que je ne connais pas. Ah ! si jamais vous vengez la patrie, Dieu, mes enfants, vous donne un beau trépas!
Page 501 - ... relevant ses lunettes sur son front, on pouvait croire qu'il n'avait plus rien à dire; mais, après avoir promené ses regards sur tous les points de la salle, il rabaissait ses lunettes sur ses yeux, puis ajoutait quelques phrases aux périodes déjà si allongées lorsqu'il les avait suspendues. De ce qu'il dit je ne compris rien , sinon qu'il ya dans les partis politiques comme dans les sectes religieuses un mysticisme qui, pour ceux qui y sont étrangers , échappe à l'intelligence; et,...

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