Revue de ParisLouis Désiré Véron Bureau de la Revue de Paris., 1837 |
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Page 48
... Marie était la consolation des affligés , la tour d'ivoire du faible , le flambeau de l'aveugle , l'étoile du pèlerin , la rose mystique des cœurs purs . Ceux qui l'invoquaient dans leurs prières reportèrent sur tous les êtres de son ...
... Marie était la consolation des affligés , la tour d'ivoire du faible , le flambeau de l'aveugle , l'étoile du pèlerin , la rose mystique des cœurs purs . Ceux qui l'invoquaient dans leurs prières reportèrent sur tous les êtres de son ...
Page 71
... Marie . D'intéressantes reprises ont été préparées . On a même joué déjà les Horaces . L'indisposition de Joanny , doublé à l'improviste par Colson , a fait que cette première tentative n'a pas été heureuse . Une pièce nouvelle , de MM ...
... Marie . D'intéressantes reprises ont été préparées . On a même joué déjà les Horaces . L'indisposition de Joanny , doublé à l'improviste par Colson , a fait que cette première tentative n'a pas été heureuse . Une pièce nouvelle , de MM ...
Page 180
... marie à Florizel ; remerciemens à la dame d'honneur dont toute cette joie est l'ouvrage . C'est , comme vous le voyez , un de ces libretti sans façon , sur lesquels le poète de l'Avon savait jeter une si large et si joyeuse musique . Or ...
... marie à Florizel ; remerciemens à la dame d'honneur dont toute cette joie est l'ouvrage . C'est , comme vous le voyez , un de ces libretti sans façon , sur lesquels le poète de l'Avon savait jeter une si large et si joyeuse musique . Or ...
Page 265
... mariée au diable , et pour ce , surnommée la Diablesse ; un assez curieux équilibre de la vierge Marie , qu'en pensez - vous ? Beaucoup de gens ne manqueront pas d'attribuer à un instinct phi- losophique cette singulière superfétation ...
... mariée au diable , et pour ce , surnommée la Diablesse ; un assez curieux équilibre de la vierge Marie , qu'en pensez - vous ? Beaucoup de gens ne manqueront pas d'attribuer à un instinct phi- losophique cette singulière superfétation ...
Page 292
... Marie Tudor . Il y a dans les drames de M. Dumas une qualité qui ne s'use pas : c'est la vie et la chaleur ; ses personnages par- lent tous de même , il est vrai , et pour faire tenir un langage semblable à Charles VII et à Henri VIII d ...
... Marie Tudor . Il y a dans les drames de M. Dumas une qualité qui ne s'use pas : c'est la vie et la chaleur ; ses personnages par- lent tous de même , il est vrai , et pour faire tenir un langage semblable à Charles VII et à Henri VIII d ...
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Expressions et termes fréquents
15 avril 22 février aime Alonzo Cano AMBROISE amour Arthur assez aurait avaient Barrot Bas-Bleu Bascara beau belle Benito Romero Boutraix bras Brus c'était Cano chambre chant charme château cheval chose ciel cœur Coleridge comte de Peñaparda Concoret Coventry cria d'Arlincourt dame demande devant Dieu dire doctrinaires don Pablo Duprez Ecelino enfans espagnol eût femme fille George Sand Ghismondo gitana grace Guizot heures homme Inès j'ai jamais jeune jour l'amnistie l'amour l'Escurial laisser long-temps MADAME MOREL MADAME PIGAL mademoiselle Marie main malheureux ment monde monsieur Montellano mort Murano Murillo n'avait nuit Padouans Palomita parler paroles passé passions pauvre peintre pensée PÈRE RAIMBAUT personne peut-être pieds Pipping poète politique porte qu'un raison regard reine reste rien s'était s'il saint sais scène seigneur semble sentiment sera Sergy seul Sierras Sordello sorte tête Thiers tion Trévise triste trouver venait Venise visage voilà voix yeux Zingarelli Zurbaran
Fréquemment cités
Page 218 - Divina Elisa, pues agora el cielo con inmortales pies pisas y mides, y su mudanza ves, estando queda, ¿por qué de mí te olvidas y no pides que se apresure el tiempo en que este velo rompa del cuerpo, y verme libre pueda, y en la tercera rueda contigo mano a mano busquemos otro llano, busquemos otros montes y otros ríos, otros valles floridos y sombríos, donde descanse y siempre pueda verte ante los ojos míos, sin miedo y sobresalto de perderte?
Page 17 - Eh! bien, monsieur, humainement je pourrais me plaindre de vous. Vous m'avez accusé, vous me faites mourir ; mais Dieu sait combien je vous aime ; mourons, monsieur, mourons courageusement et gagnons le paradis.
Page 31 - Telle fut la fin de ces deux personnes, qui certes devaient laisser à la postérité une autre mémoire que celle de leur mort. Je laisse à chacun d'en faire tel jugement qu'il lui plaira, et me contente de dire que ce nous est grande leçon de l'inconstance de la fortune.
Page 24 - Cinq-Mars s'il ne craignait point la mort. — Point du tout, mon père, répondit-il; et c'est ce qui me donne de l'appréhension de voir que je n'en ai point. Hélas! je ne crains rien que mes péchés. — Cette crainte l'avait fortement touché depuis sa confession générale.
Page 23 - Quoi ! on nous mène en carrosse! va-t-on comme cela en paradis? Je m'attendais bien d'être lié et traîné sur un tombereau; ces messieurs nous traitent avec grande civilité, de ne nous point lier et de nous mener en carrosse.
Page 23 - ... des larmes des yeux d'un chacun : lui seul demeura ferme sans s'émouvoir, et garda cette fermeté d'esprit tout le long du chemin; jusque-là que voyant son confesseur surpris d'un sentiment de tendresse à la vue des larmes de quelques personnes : — Qu'est-ce à dire ceci, mon pèreP lui dit-il ; vous êtes plus sensible à mes intérêts que moi.
Page 22 - Au milieu de cet espace fut dressé un échafaud de sept pieds de haut et environ neuf pieds en quarré, au milieu duquel, un peu plus sur le devant, s'élevoit un poteau de la hauteur de trois pieds ou environ , devant lequel on coucha un bloc de la hauteur d'un demi-pied, si...
Page 21 - Dis à ma sœur que je la prie de continuer en ses dévotions, comme elle a fait jusqu'à présent; que je connais maintenant mieux que jamais que ce monde n'est que mensonge et que vanité, et que je meurs content et en bon chrétien...
Page 28 - Ah ! qui fut étouffé dans le sang ; il leva les genoux de dessus le bloc, comme pour se lever, et retomba en la même assiette qu'il était.
Page 42 - La plaine qu'on appelle en breton Concoret,* et dans les romans du moyen-âge le Val-des-Fées, est un immense amphithéâtre couronné de bois sombres, jadis nommés Broc'hallean,t aujourd'hui par corruption Brécilien. A l'une de ses extrémités, coule une fontaine près de laquelle on voit deux pierres couvertes de mousse que domine une vieille croix de bois vermoulue ; c'est la fontaine de Barandon et le tombeau de Merlin ; là dort, dit-on, le vieux druide, au murmure des eaux et du vent qui...