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Arrêté aux cris de l'infirmier, après avoir vainement tenté de prendre la fuite, cet individu, qui a déclaré se nommer Joseph-Elie, a été envoyé au dépôt de la préfecture.

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Le 2 janvier, jour anniversaire' de la mort de la princesse Marie, la reine est allée à Dreux avec les ducs d'Aumale et de Montpensier, la princesse Clémentine et le duc de Wurtemberg. A midi a eu lieu un service funèbre auquel toute la famille royale a assisté Après le service, elle est descendue dans le caveau où sont les restes de la princesse. La reine est repartie ensuite pour Paris, après avoir laissé 1,200 fr. pour les divers éta

bien important, et les ames pieuses soit, pour faire sauter la serrure du qui, il y a quelques jours, offroient tronc des pauvres, un individu redes prières si ferventes pour le réta-vêtu du costume particulier aux gens blissement du vénérable archevêque, des cuisines. sentiront sans doute que le choix du successeur n'est pas moins digne de leur sollicitude. Ce choix n'intéresse pas seulement le diocèse de Paris, il intéresse toute l'Eglise de France, il intéresse au plus haut point le gouvernement. Un choix foible, un choix de faveur pourroient avoir de très-fàcheux résultats. La nomination d'un | prélat vertueux, sage et éclairé, honorera, le pouvoir. Qu'il consulte l'opinion publique, non pas celle des hommes étrangers à la religion ou indifférens pour elle, et qui n'ont pas de titre pour émettre un vou à cet égard, mais l'opinion générale du clergé, des hommes religieux, des chrétiens sincères. Or, cette opinion s'est déjà prononcée; elle ap-blissemens de charité de Dreux. La pelle sur le siége de Paris le mérite reconnu qui s'est déjà signalé par le talent de l'administration, par une conduite, mêlée de prudence et de charité, par des refus honorables, par une parfaite intelligence des intérêts de la religion dans les circonstances actuelles. Nous n'avons pas besoin de nominer les prélats qui réunissent ces titres et ces qualités ; leurs noms, se présenteront d'eux-mêmes à l'esprit de quiconque connoît un peu le clergé de France. Səsima apoi

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Un infirmier du Val-de-Grâce étoit agenouillé le 2 janvier au matin devant l'autel de l'église de ce vaste établissement, lorsque son attention fut attirée par un bruit singulier, paroissant provenir du bris de quelqu'un des meubles garnissant les parois des chapelles latérales. De l'endroit où il se trouvoit pour accomplir ses devoirs de piété, il pouvoit voir partout sans être vu, et sa surprise fut extrême lorsqu'il reconnut que le bruit qui avoit attiré son attention avoit pour cause les efforts que fai

reine des Belges a fait célébrer le même jour un service dans l'église de Saint Jacques de Caudemberg, à Bruxelles; la princesse y a assisté en deuil.

cardinal de Latil, archevêque de Le service et l'inhumation de M. le Reims, ont eu lieu le mardi. MM. les évêques de Châlons et de Soissons, suffragans de Reinis, avoient été invités à la cérémonie, et se sont rendus en effet à Reims. M. l'abbé Herblot, un des grands-vicaires capitulaires, a prononcé l'oraison funebre du cardinal, et a rappelé en même temps la mort de M. le, coadjuteur qui a précédé de si peu M. le cardinal dans la tombe..

pertes se succèdent dans l'é piscopat français, Depuis quelque temps la santé de M. l'évêque de Metz donnoit de graves inquiétudes, Un accident survenu dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier a annoncé un danger imminent. Le prélat a reçu le soir le yiatique et l'ex

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soin de les éclairer des lumières de la foi. Mais ¡ ་

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A qui, dit-il, sera confiée cetle sainte mission? Est-ce à la philosophie sceptique et voluptueuse des temps mo dernes? Qu'elle parte: qu'elle traverse les mers, et qu'elle aille s'asseoir dans la ca

lui débitera quelques pompeuses maximes qui n'ont jamais changé un seul cœur, ni redressé un seul penchant. Elle

trême-onction, et a adressé à son chapitre des mots touchans en lui recommandant ses établissemens diocésains. Le respectable inalade montroit un calme et une résignation inaltérables." Le lendemain matin des prières furent ordonnées dans toutes les églises et le saint Sacrement fut exposé. On ne croyoit pas que le pré-bane du nègre, Que lui dira-t-elle ? Elle lat put survivre à cette crise, pût M. Jacques-François Besson, né à Mieugy, le 12 septembre 1756, fut long-temps curé de la paroisse Saint-lui parlera sans doute du prix de la liNizier à Lyon. Nommé à l'évêché de berté; elle lui en étalera les douceurs : ets Marseille en 1817, il refusa. Depuis matérielle, comme cette ame grossière à il fut appelé à la grande aumônerie laquelle elle s'adressera, elle ne lui par comme grand vicaire, et fut nominé lera, après tout, que de la terre, et tous peu apre, ade au siége de Metz, vacant jours de la terre. Elle ne lui dissimulerat par la mort de M. Jauffret. Il fut sa-pas. du reste, sa pensée désolante sur la cré à Lyon, le 23 février 1824. Ad- religion. Mais si l'esclave, venant à Jup ministrateur habile et prélat plein de montrer ses membres sillonnés par le zèle, il gouverna son diocèse avec fouet d'un maître inhumain, lui exprimel une rare sagesse. Nous espérons qu'on la rage qui dévore son ame et lui dévoiles nous transmettra quelque ue notice ou les projets de vengeance que nourrit son quelque éloge sur le vénérable évêesprit, par quelles paroles, par quelle int que. dustrie la philosophie parviendra-t-elle à éteindre ce volcan de colère et de haine prêt à vomir ses flammes vengeresses? Par, quels enchantemens secrets: pourrat-elle enchaîner un bras prêt à frapper 2 Toutes ses leçons les plus éloquentes se ront vaines. Un esclave qui n'attend, ne craint ou n'espère rien après la vie, qui ne voit devant lui ni un Dieu juge ni un micide sur quelques phrases plus ou Dieu vengear, ne jettera pas l'arme ho

On doit à M. Besson des Instructions sur la confrérie du Sacré-Cœur, dont nous avon re compte dans ce Journal, tome xn, numéro du 16 octobre 1819.

moins sonores.

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Nous avons déjà dit que le gouvernement avoit senti la nécessité d'augmenter le nombre des missionnaires dans les colonies, afin de travailler à l'instruction religieuse des nègres et de les préparer à recevoir avec moins d'inconvéniens le bienfait de leur affranchissement. Le ini-iles nistre de la justice et des cultes a adressé sur ce sujet aux évêques une circulaire, datée du 3 décembre. Il leur demande 36 prêtres pour les besoins des colonies, M. l'évêque du Puy, nommé à l'archevêché de Lyon, a adressé le 27 décembre à son clergé une lettre pastorale rela tive au nême objet. Le prélat, en annonçant le projet de l'affranchisse ment des esclaves, insiste sur le be

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Députera-t-on vers les noirs de nos ces propagateurs infatigables de nos livres saints? Eh bien qu'ils chargent leurs vaisseaux de ces Bibles dont l'Indien se moque et que le Chinois dédaigne Qu'ils s'élancen, vers nos colonies, et qu'ils couvrent de nos Ecritures sacrées les plages de nos possessions lointaines. Quel triomphe pourront-ils, se promettre de cette profusion typographique, surdes passions que la crainte a comprimées. mais qui n'attendent que la rupture de la digue pour se déborder, et engloutir

les biens et la vie de ceux qui ne se sont lui en resteroit-il plus pour aller ranimer pas toujours assez rappelés les devoirs des ames abruties par l'esclavage, et qui d'un maître chrétien envers ses servi-sont sur nos iles, comme ces ossemens teurs? Est-ce la lecture attentive des pro- arides que voyoit un prophète? A Dieu phètes qui arrêtera le torrent? Mais si ne plaise que la sève apostolique soit tal'Ethiopien, dont parlent les Actes des rie parmi nous! Nous ne serons occupés Apôtres, lisoit Isaïe sans pouvoir le com- qu'à tempérer votre ardeur; nous ne seprendre, parce qu'il n'avoit point d'in-rons embarrassés que de choisir, au miterprète qui lui en donnât l'intelligence, les esclaves le comprendroient-ils mieux sans ce secours? Et s'ils sont livrés à leurs propres explications, ne se sentiront-ils pas inspirés, peut-être, à entendre nos Ecritures dans un sens favorable à leurs pas sions violentes? Qui` sait si, parce que le peuple hébreu avoit reçu de Dieu l'ordre

lieu de ce grand nombre d'ouvriers qui se présentera pour aller travailler à la vigne du père de famille..

Enfin, le sage prélat donne des au ministère des colonies; nous ne conseils aux ecclésiastiques appelés citerons que la fin de ce morceau plein de charité : ok, maj

* Si cette mission qui est proposée à votre zèle doit voir comme toutes les missions ses fatigues et ses persécutions, elle aura aussi ses consolations et ses espérances. Vous Vous envia la gloire de vo frères qui ont été porter le nom de JésusChrist sur les plages les plus reculées, instruire les sauvages du Nouveau-Monde, et courir après l'infidèle sur les montagnes qu'auroit voulu évangéliser l'apôtre des Indes. Vous ne remplirez pas un minis tère moins utile, parce qu'il sera plus, obscur. Vous propagerez parmi les escla

d'exterminer des nations infâmes, les noirs de nos colonies ne se croiront pas le droit de ne faire aucune grâce à ceux qu'ils ont regardés long-temps comme des ennemis? Et parce qu'il fut prescrit aux Israélites d'emporter les vases empruntés aux Egyptiens, qui saitsi les nouveaux af franchis one croiront pas obéir à un mouvement divin, en ravissant les biens d'un maître détesté? Il seroit difficile de prévoir jusqu'où pourroit aller l'inspiration, à laquelle le dernier des esclaves peut prétendre, aussi bien que celui qui aura remis une Bible pour toute consolation, pour tout frein, pour toute espé-ves, la foi que d'autres vont porter aux

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N'aurons-nous pas l'honneur, dans

antropophages de l'Océanic, Vous ne serez pas moins apôtres qu'eux vous ne serez pas moins martyrs. Vous aurez de plus la consolation de travailler à répandre la civilisation chrétienne et à assurer l'ave

ce diocèse si croyant, de fournir de sain-nir de nos colonies; et tout en vous renles recrues pour former cette cohorte fermant dans vos saintes et modestes d'apôtres? Certes, nous avons plus que fonctions, vous servirez à la fois les inté: dans d'autres contrées le droit d'y prérêts de la religion et ceux de notre France. tendre, puisque parmi nous les rangs de la milice sacerdotale n'offrent point ces vides qui affligent tant de pontifes; puis que nous complons des compatriotes et des frères parmi ces intrépides missionnaires qui évangélisent les sauvages du Nouveau-Monde, combattent pour le nom du Seigneur et sur les bords du Gange et sur les montagnes de la Chine. Notre clergé auroit-il épuisé sa vie, et ne

Vous donc qui montez à l'autel, et vous qui vous disposez par l'étude à centrer dans le sanctuaire, si la voix de Dieu vous appelle à préparer, par les œuvres et la parole, l'émancipation des esclaves, suivez le mouvement de l'Esprit saint, et ne craignez de notre part ni entraves, ni refus. Cette vocation est trop sublime à nos yeux pour la contrarier.

Le prélat finit en avertissant les

prêtres et les jeunes ecclésiastiques l'ont achetée pour 15,000 dollars qui voudroient se consacrer à l'ius- le terrain compris. Cette église truction des noirs, de se présentera 84 pieds de long, 62 de large, au supérieur du grand séminaire du Puy, qui les présentera au supérieur du séminaire du Saint-Esprit, à Paris.

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et 32 de hauteur. Elle est construite en pierres brutes. Il devoit y avoir une tour qui n'a pas été éle vée. Il y a dans l'église 138 bancs, et, Nous croyons devoir prévenir nos 66 dans la galerie. Elle a un bel or+, lecteurs, dit le Réparateur de Lyon, gue. Elle a été dédiée par M. l'évêcontre un genre de surprise dont, que sous l'invocation de saint Jean., plusieurs personnes ont eu déjà Le Catholic Register de New-York, of à se plaindre. Des fre la gravure de l'église. Colporteurs se présentent à domicile avec la Vie, Les catholiques de Saratoga, dans de Jésus, par le docteur Strauss, le même diocèse, ont acheté le bâœuvre impie et mise à l'Index. Ce timent appelé le lycée pour en faire livre est offert comme un ou- une église. Ce bâtiment a 67 pieds, vrage de piété, et on s'y laisse de long sur 36 de large; le terrain a prendre d'autant plus facilement, 132 pieds de long sur 50 de large. que le titre de Vie de Jésus donne une Une partie du prix de la vente est entière confiance aux acheteurs, à déjà payée. Un homme honorable, qui l'on se garde bien de dire quel-M. Costigan, a montré beaucoup de les sont les abominables doctrines de l'auteur

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Une nouvelle église catholique a été ouverte cet été à Albany, dans, l'état de New-York, aux Etats-Unis. Elle a été bénite le 7 juillet par M. Dubois, évêque de New-York, assisté de M. son coadjuteur, de M. Varela, son grand-vicaire; de MM. Schneller, pasteur à Albany; Quin, à Troy; Moran, à Newark, et Kelly, pasteur de la congrégation même. Le gouverneur de l'état et plusieurs des notables de la ville as sistoient à la cérémonie, et ont entendu avec intérêt la prédication de M. le coadjuteur Hughes.

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La nouvelle église avoit été bátie en 1828 par les protestans épiscopaux d'Albany; elle coûta 22,000 dollars, et fut achevée en août 1829, et dédiée sous le titre de saint Paul par l'évêque protestant Hobart. Des circonstances qu'il est inutile de faire connoître ici, ont mis les protestans dans le cas de vendre l'édifice, et comme les catholiques n'avoient pas d'église suffisamment grande dans la partie sud deblab ville, ils

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zèle pour procurer aux catholiques du lieu une église qui leur étoit nécessaire, 597

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POLITIQUE, MÉLANGES, C.

Un homme d'état qui a été ministre sous le régime de juillet, passe pour avoir prédit, au sujet de M. PArchevêque de Paris, que, s'il fut un grand embarras de son vivant, il seroit encore un plus grand embarras après sa mort. Ce n'est pas pour diminuer le mérite de ce mot judicieux, mais la vérité qu'il exprimoit n'étoit pas difficile à découvrir.

L'embarras dont il s'agit 'n'est pas de trouver dans l'épiscopat français des caractères et des vertus capables de suppor ter au besoin les épreuves par lesquelles M. de Quelen a passé les dix dernières années de sa vie. D'autres que lui pos sèdent la prudence, la sagesse et la résiu traverser les gnation nécessaires pour écueils dont il a eu à se préserver sur une mer si orageuse et si mauvaise. Mais ce qui doit intimider le plus ses successeurs, c'est l'état moral d'une grande cité qui es le foyer de tous les désordres civils et po litiques; c'est sa renommée d'anarchie et de perturbation sociale; c'est la difficulté

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Voilà ce qui est fait pour frapper de découragement les plus sages et les plus zélés past curs. L'exemple des tribulations el des souffrances du dernier Archevêque de Paris n'est certainement pas ce qui inquiète ses successeurs; ils savent trop ce qu'il y a gagné en illustration person nelle devant les hommes, et en mérites précieux devant Dieu. Mais l'idée de travailler une terre aussi ingrate, aussi ap. pauvrie par le philosophisme et l'irréli gion; cette idée est effectivement cause que M. de Quelen est un embarras encore plus grand après sa mort que de son vivant.

PARIS, 6 JANVIER,

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La discussion du projet d'adresse a été ouverte aujourd'hui à la chambre des pairs. Après la discussion générale, on a entamé la discussion sur les paragraphes. Ceux relatifs à l'Orient et à l'Espagne ont soulevé de longs débats.

Le procès de la seconde catégorie

des accusés des 12 et 13 mai commencera le 13. à la a cour des pairs,

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Demain il y aura séance publique à la chambre des députés pour la lecture du projet d'adresse.

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à son gouvernement, aux deux chambres, aux saints prélats; au pieux clergé métropolitain, aux administrations, en parti culier à celle de la marine et des colonies, à plusieurs honorables corpora tions, aux places de commerce, à nos consuls ou ministres au dehors, enfin à la France tout entière qui a entendu la chute de vos villes, et q qui à ouvert son cœur pour vous secourir. Que les expressions de notre gratitude arrivent aussi à nos alliés, à nos amis des colonies voisi nes, au gouvernement et à la législature de la Barbade; aux deux communions religieuses de la Trinidad, à la population, aux autorités, aux troupes de la Guadeloupe et de la Guyane française. Dans toutes ces contrées, en effet, l'on s'est occupé de vos souffrances avec cet empres nt qui double le prix du biensement qui

fait

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Après avoir parlé des bonnes intentions actuelles de la France pour ses colonies, qui se sont manifestées malgré les efforts d'une partie de la presse qui se trouve le gouverneur a ajouté: « Le temps est encore sous l'empire d'autres influences, passé où l'on sacrifioit, il y a près d'un demi-siècle, une partie de l'empire francais à ce qu'on appeloit un principe; comme si le plus sacré des principes n'étoit pas d'abord d'éviter aux sociétés de C'est par erreur que le Moniteur grands maux, même en contemplation a annoncé que, par ordonnance du 21 d'un bien désiré.... La France veut au décembre, M. Desvarannes, maître des jourd'hui marcher avec prudence, en s'érequêtes, avoit été envoyé de la sous-clairant des résultats de l'expérience. La préfecture d'Autun à celle de Lou France, cette nation de guerriers, a le nohans. ob colda 1396 ble sentiment de de la dignité humaine; On a des correspondances de la mais elle veut en même temps, elle veut Martinique du 16 novembre. Le gouver- en réalité, dans ses colonies comme chez neur, le contre-amiral de Moges, a pro- elle, l'ordre, la religion, le travail, sans noncé un discours sur la situation de ce lesquels il n'y a point de société, saus pays, à l'ouverture de la session du conseil lesquels il n'y auroit ici que des forêts, colonial. Après avoir rappelé le tremble- sauvages et la barbarie. » ment de terre du 11 janvier, M. de Moges. s'est ainsi exprimé En ce jour de so lennité, que mes premières paroles dans cette enceinte s'accordent avec vos sentibution d'un secours de plus de 1,300,000 mens; qu'elles soient des actions de grå- francs a déjà un peu changé, et que l'or ces adressées au roi, à son auguste famille, donnance de dégrèvement et les autres

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On trouve ensuite dans le discours de M. de Moges une peinture assez triste de l'état de la Martinique, mais que la distri

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