... de la libéralité et toutes sortes de vertus; mais que, d'un autre côté, les femmes, qui étaient l'ornement du monde et étaient faites pour être servies et adorées, ne dévoient souffrir que leurs respects. Journal des sçavans - Page 686publié par - 1857Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 444 pages
...apprise des Maures. Elle étoit persuadée que les hommes pouvoient sans crime avoir des sentimens tendres pour les femmes ; que le désir de leur plaire...plus belles actions, leur donnoit de l'esprit et leur inspiroît de la libéralité , et toutes sortes de vertus : mais que , d'un autre côté , les femmes... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1838 - 656 pages
...apprise des Maures. Elle étoit persuadée que les hommes pouvoient sans crime avoir des sentiniens tendres pour les femmes; que le désir de leur plaire...plus belles actions, leur donnoit de l'esprit et leur inspirait de la libéralité , et toutes sortes de vertus : mais que, d'un autre côté, les femmes... | |
| Victor Cousin - 1853 - 512 pages
...galanterie que les Espagnols avaient apprise des Maures. Elle était persuadée que les hommes pouvaient sans crime avoir des sentiments tendres pour les femmes, que le désir de leur plaire les portait aux plus grandes et aux plus belles actions, leur donnait de l'esprit et leur inspirait de... | |
| Claude Henri Victor Cousin - 1853 - 596 pages
...galanterie que les Espagnols avaient apprise des Maures. Elle était persuadée que les hommes pouvaient sans crime avoir des sentiments tendres pour les femmes, que le désir de leur plaire les portait aux plus grandes et aux plus belles actions, leur donnait de l'esprit et leur inspirait de... | |
| Claude Henri Victor Cousin - 1854 - 630 pages
...les portait aux plus grandes et aux plus belles actions , leur donnait de l'esprit et leur inspirait de la libéralité et toutes sortes de vertus ; mais que , d'un autre côté, les femmes, qui étaient l'ornement du monde et étaient faites pour être servies et adorées , ne devaient souffrir... | |
| Victor Cousin - 1854 - 524 pages
...galanterie que les Espagnols avaient apprise des Maures. Elle était persuadée que les hommes pouvaient sans crime avoir des sentiments tendres pour les femmes, que le désir de leur 1. Tome I er , page 13. plaire les portait aux plus grandes et aux plus belles actions, leur donnait... | |
| 1855 - 682 pages
...galanterie que les Espagnols avaient apprise des Maures. Elle était persuadée que les hommes pouvaient, sans crime, avoir des sentiments tendres pour les femmes, que le désir de leur plaire les portait aux grandes et aux plus belles actions, leur donnait de l'esprit, et leur inspirait de la libéralité... | |
| Victor Cousin - 1855 - 582 pages
...l'ouvrage que nous lui avons consacré. apprise des Maures. Elle était persuadée que les hommes pouvaient sans crime avoir des sentiments tendres pour les femmes, que le désir de leur plaire les portail aux plus grandes et aux plus belles actions , leur donnait de l'esprit et leur inspirait de... | |
| Victor Cousin - 1855 - 574 pages
...nous lui avous cousacré. apprise des Maures. Elle élait persuadée que les hommes pouvaient saus crime avoir des sentiments tendres pour les femmes, que le désir de lenr plaire les portait aux plus grandes et aux plus belles actious , lenr donnait de l'esprit et lenr... | |
| Victor Cousin - 1858 - 566 pages
...persuadée que les hommes pouvoient sans crime avoir des sentiments tendres pour les femmes, que le desir de leur plaire les portoit aux plus grandes et aux...vertus ; mais que, d'un autre côté, les femmes, qui étaient l'ornement du monde et étoient faites pour être servies et adorées, ne devoient souffrir... | |
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