Histoire de Dannemarc, Volume 6 |
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Expressions et termes fréquents
affaires affez ainfi alliés armée auffi avoient avoit ayant bientôt bonne chargé chefs chofes CHRE Chrétien comte conduite Copenhague côté cour couronne d'autres Dannemarc Danois demander députés dernier devoit donner doute effet enfin ennemis états étoient étoit eût évêques faifoit fans favorable fecours fénat fénateurs fent feroit feul fidélité fiége fils Fionie firent flotte foit font force fort forte fous FREDE Fréderic fuite fuivant fujet fût généraux guerre Guftave hommes INTER intérêts Jean jour l'empereur l'un laiffer lieu Lubeck Lubeckois lui-même mains maître ment mettre mort n'avoit n'en nobleffe nommé Norvège nouveau nouvelle obligé ordre paffer paix Palatin peine pendant perfonne peuple place porter pouvoit prefque premier prêter prince projets province qu'à qu'un refte REGNE religion rendit rendre rent rien rois royaume s'étoit s'il Suède TIEN TIEN III tion traité troupes trouva vaiffeaux Vigen ville villes voyant
Fréquemment cités
Page 400 - E. le temps dont nous parlons le traité rEVill. fiunion ou de communion , qui devoit continuer à faire un feul état de ces états , & un feul prince de tous ces princes. Mais ni les états , ni les princes n'ont jamais eu le pouvoir de changer l'eflence des chofes , & ce qui eft divifé ne peut être en, même temps uni. Toutes les difficultés n'étoient pas levées par le partage. Il en reftoit une très-embarraffante qui regardoit l'inveftiture de la portion que chacun de ces princes acquéroit...
Page 334 - Christian III , le fils aîné de Frédéric de Holstein, ayant été reconnu par le sénat de Copenhague, publia le décret suivant : « Le royaume de Norwége étant tel« lement déchu de sa puissance et de » ses revenus, que ses habitants ne sont « plus en état d'entretenir un roi . ce « royaume étant cependant obligé « d'être uni à perpétuité à la couronne « de Danemark , et la plupart de ses se« nateurs, et en particulier l'arcbevèn que, qui est la première personne de « l'Etat,...
Page 76 - Frédéric ne laissa pas de sentir, par ces dispositions des esprits, la nécessité de redoubler de vigilance. Pour resserrer les nœuds de son alliance avec Gustave, il l'invita à régler définitivement les prétentions qu'ils avaient encore à la charge l'un de l'autre (2). Sur les bords...
Page 298 - Christian , à ne jamais porter les armes contre les sujets et alliés de ce prince, et à ne leur nuire en aucune autre manière; que les troupes étrangères qui se trouvaient dans la ville auraient la liberté de se retirer avec armes et bagages, à condition de ne pas servir de quatre mois contre Christian et ses alliés ; que les autres personnes qui voudraient se retirer avec les gens de guerre en auraient également la faculté , avec cette réserve cependant...