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Eh! parlez, dépêchez, vite, promptement, tôt,

Sans rêver. Veut-on dire? (III, Ec. d. f. 402.)

D. J. Qu'on ne laisse entrer personne (V, 186, D. Juan, IV, VII).
D. J. Qu'on lui donne du vin (V, 187, D. Juan, IV, vIII).
Allons, qu'on m'ôte tout ceci (IX, 284, Mal. im. I, 1).

Hola! ho! quelqu'un! qu'on m'ouvre promptement! (VI, 586, G. D. III, vi. ) TOINETTE en médecinj. Donnez-moi votre pouls. Allons donc, que l'on batte comme il faut. Ahy, je vous ferai bien aller comme vous devez (IX, 420, Mal. im. III, x).

Emploi dans une même phrase de Ox et d'autres pronoms ayant un sens indefini; pronoms réfléchis, adjectifs possessifs se rapportant à ON : Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers (V, Mis. 56). (L'antique sculpture) Nous corrige par l'art la nature qu'on traite (IX, Val-de-Gr. 112).

(Pourquoi voulez-vous)... qu'on s'aille former un monstre... [et 1243.) De l'affront que nous fait son manquement de foi? (III, Éc. d. f. 1242 L'on court grand risque de s'abuser lorsque l'on compte sur le bien qu'un autre vous garde (VI, 71, Méd. m. l. II, 1).

Quel avantage a-t-on qu'un homme vous caresse...

Et vous fasse de vous un éloge éclatant...? (V, Mis. 49 et 51).

Au moins, en pareil cas, est-ce un bonheur bien doux

Quand on sait qu'on n'a point d'avantage sur vous (I, Dép. a. 621).

Quand nous savons que d'autres n'ont point d'avantage sur nous. Cf. VI, Mẻlic. 546.

Il y a plaisir... à travailler pour des personnes... qui sachent... par de chatouillantes approbations vous régaler de votre travail. Oui, la récompense la plus agréable qu'on puisse recevoir des choses que l'on fait, c'est... de les voir caressées d'un applaudissement qui vous honore (VIII, 47, 48, Bourg. g. I, 1),

Quand on meurt sous sa conduite, vos héritiers n'ont rien à vous reprocher (VII, 262, Pourc. I, v). Voy. VIJ, 452, Am. magn. IV, iv; IX, F. sav. 20-24.

Et l'on en vient souvent à s'accuser tous deux (IX, F. sav. 1753).

Expressions et pronoms employés dans un sens indéfini :

Certains impertinents de laquais, qui viennent provoquer les gens, et les faire aviser de boire lorsqu'on n'y songe pas (VII, 122, Av. III, 1). On n'attend même pas qu'on en demande [du tabac], et l'on court audevant du souhait des gens (V, 80, D. Juan, I, 1).

(Sied-il)... d'abuser ainsi par vos efforts pressants

Du foible que pour vous vous voyez qu'ont les gens (IV, Tart. 1476).

Les gens sert ici, comme ailleurs on, à désigner celle qui parle. Voyez d'autres exemples analogues à GENS.

(Je disois) Qu'il faut qu'un galant homme ait toujours grand empire Sur les démangeaisons qui nous prennent d'écrire (V, Mis, 346).

... Se dépouiller... entre les mains d'un homme qui ne nous touche de rien (V, 313, Am. méd. I, v).

Parce qu'un homme s'avise de nous épouser, il faut d'abord que toutes choses soient finies pour nous, et que nous rompions tout commerce avec les vivants... (VI, 549, G. D. II, 11).

Je ne suis pas la première... qui n'ait pas fait difficulté de se donner la mort pour perdre ceux qui ont la cruauté de nous pousser à la dernière extrémité (VI, 584, G. D. III, vi).

Le mari, à ce qu'ils disent, est un jaloux (VI, 511, G. D. I, 11).

La quantité des sottes visites qu'il vous faut essuyer... est cause... que je prends plaisir d'être seule (III, 312, Crit. 1).

Ils ne sauroient servir, mais ils peuvent vous nuire;

Et jamais... (On ne doit se brouiller avec ces grands brailleurs) (Mis. 546). Il n'est pas respectueux d'appeler les gens par leur nom, et... à ceux qui sont au-dessus de nous il faut dire « Monsieur » tout court (VI, 518, G. D. I, IV).

De mille doux frissons vous vous sentez saisir (IX, F. sav. 811).

Au diantre tout valet qui vous est sur les bras (III, Fách. 150).

C'est quelque consolation de se voir préférer un homme qui vous est égal (qui est votre égal] (VII, 462, Âm. magn. V, iv).

D. Pronoms IL et LE neutres.

1° Emploi de IL neutre.

Il est, synonyme de il y a voyez à ÉTRE; voyez aussi à ce verbe les expressions il est jour, il est temps, il est jeune, il est carême prenant.

Voy. aux VERBES IMPERSONNELS, et, au Lexique, PLAIRE (il ne me plaît pas), IMPORTER (il n'importe), SUFFIRE (il suffit, suffit), SEMBLER; BESOIN (il est besoin, besoin est).

Voy. aussi plus loin à PLEONASME (XX, B).

Ce qu'il dit, que fait-il à la chose? (IX, 412, Mal, im. III, vi.)

Sur de pareilles matières, ce qui n'est qu'une bagatelle devient fort criminel lorsqu'il est defendu (VI, 271, Sic. xv.)

MASC. Tout ce que je fais a l'air cavalier; cela ne sent point le pédant.
MAGD. Il en est éloigné de plus de deux mille lieues (II, 86, Préc. 1x).
Et cela ne va pas à si peu de chose, qu'il ne moute bien... à trois mille
francs (VII, 112, Av. II, v; cf. VI, Amph. 447).

Que me coûteroit-il, si je le pouvois faire? (III, Éc. d. f. 1585.)
ARN. Et vous avez le front de le dire à moi-même!

AGN. Et pourquoi, s'il est vrai, ne le dirois-je pas? (III, Éc. d. f. 1522.)
Car que d'un noble amour une âme bien saisie

En pousse les transports jusqu'à la jalousie,

Que de doutes fréquents ses vœux soient traversés,

Il est fort naturel, et je l'approuve assez (II, D. Garc. 395).

ÉR. Enfin, quand j'aime bien, j'aime fort que l'on m'aime.
VAL. Il est très naturel (I, Dép. a, 206 : note).

Si vous ne voulez pas être désabusé,

Il faut ne vous rien dire, il est assez aisé (V, Mis. 1120).

IPHI. Je ne vous recommande point mes intérêts. TIMOCL. Je ne vous dis point de parler pour moi. SOSTR. Seigneurs, il seroit inutile (VII, 403, Am, magn. I, III). Cf. IMPOSSIBLE (au Lexique et aux additions du Lexique), LOISIBLE.

Амрн. Jusques aux Enfers, j'irai suivre tes pas.

...

JUP. Il ne sera pas nécessaire (VI, Amph. 1730).

Quo que je puisse dire, il doit m'être permis (IV, Tart. 1371).

Mais puisqu'il m'est permis, je vais à votre père... (IX, F. sav. 203). Il est certain (IX, 427, Mal, ım. III, x1).

Il est aussi vrai l'un que l'autre (VII, 310, Pourc. II, vm).

Cela est, c'est aussi vrai l'un que l'autre. Il faut dire de cela, je dis de cela : aussi vrai l'un que l'autre.

Mais supposé, comme il est vrai, que les exercices de la piété souffrent des intervalles... (IV, 383, Tart. Préf.). Cf. VRAI, ASSURÉ, SÛR, Véri

TABLE.

Il n'est pas que vous ne sachiez quelques nouvelles de cette affaire (VII, 181, Av. V, II). Voy. Il n'en est RIEN.

... Il en iroit bien mieux,

Si tout se gouvernoit par ses ordres pieux (IV, Tart. 67). ... Que le diable m'emporte

Si je fais raillerie, et s'il n'est 'de la sorte! (Dép. a. 950; cf. 1008). S'il n'en est ainsi.

Mais, hélas! c'en est fait, il n'est plus de saison (Dép. a. 827). Il n'est plus temps.

S'il est en ma puissance (II, Éc. d. m. 267).

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Il se peut faire (IV, 48, Mar. f. v). Il se pourroit (IV, 49, Mar. f. v). Cf. Cela se pourroit bien (I, Dép. a. 15). Voy. Cela et Celui-là, aux PRONOMS DEMONSTRATIFS.

2° Non-emploi du pronom IL neutre ou de Cɛ.

Voy. aussi plus loin le chapitre du VERBE (Verbe impersonnel).

Ce jargon n'est pas fort nécessaire, me semble (I, Dép. a. 680). D'où vient... que je suis maître dans ma famille pour faire ce que bon me semble? (IX, 393, Mal. im. III, 111.)

D'où vient-il... pour faire ce qu'il me semble bon de faire?

M DE PHIL. Vos deux lèvres s'allongent comme si vous faisiez la moue : d'où vient que [et il vient de là que] si vous la voulez faire à quelqu'un,... vous ne lui sauriez dire que: U (VIII, 86, Bourg. g. II, iv; même ellipse aux vers 1253 et 1269 du Dép. a.).

Comme si de rien n'eût été (VI, 52, Méd. m. l. I, rv).

Et n'étoit que ses mains sont un peu trop pesantes,

J'en serois fort satisfait (VI, Amph. 788). Si ce n'était que...

Et quels avantages, Madame, puisque Madame y a...? (VÍ, 519, G. D. I, rv.) LA COMT. Faites-le venir.... BOBINET. Soit fait, Madame, ainsi que vous le commandez (VIII, 585, Escarb. v1).

Passe [soit!] (I, Ét. 1502). Que cela passe. Cf. SUFFIT.

Voy. au Lexique: N'en déplaise à...; bien vous prend de...; ne voilà pas... et aussi ne voilà-t-il pas ?

3° Emploi de LÊ neutre et de La dans un sens indéterminé.

Comme, à dire vrai, je n'oserois me croire

Bien propre à lui donner [à cette fermeté d'àme] tout l'éclat de sa gloire, Je le laisse à quelque autre (F. sav. 1559). Je laisse la chose, ce soin.... LEL. Je pensois faire bien. Masc. Oui, c'étoit fort l'entendre (I, Ét. 191). Entendre la chose, y être entendu, s'y bien prendre. Voy. ENTENDRE. C'est moi... dont le patron le sait (I, Dép. a. 947). C'est de moi que le patron tient la chose. Voy. encore: II, Éc. d. m. 849; III, Éc. d. f. 189; III, Fách. 486.

FROS. A ces énigmes-là je ne puis rien comprendre.

Asc. Je vais vous l'expliquer (I, Dép. a. 424).

... Il vous veut porter au mariage

Et comme il le prétend, c'est un mauvais langage (I, Dép. a. 396 : note.
GROS-REN. Pour montrer qu'ici-bas, ainsi qu'on l'interprète,

La tête d'une femme est comme la girouette... (qui...) (I, Dép. a. 1265).
Parlerai-je, Monsieur, selon ma conscience,

Ou comme auprès des grands on le voit usité? (VI, Amph. 710.)

THIBAUT. Son foie, son ventre, ou sa rate, comme vous voudrais l'appeler (VI, 101, Méd. m. l. III, 11).

Masc. Je travaille à mettre en madrigaux toute l'histoire romaine.... MAGD. Ah! Certes, cela sera du dernier beau. J'en retiens un exemplaire,... si vous le faites imprimer (II, 84, Préc. 1x).

MASC. Je vais vous montrer une furieuse plaie. MAGD. Il n'est pas nécessaire nous le croyons sans y regarder (II, 104, Préc. x1).

Si vous n'êtes point touché de votre intérêt, soyez-le au moins de mes prières (V, 182, D. Juan, IV, v1).

(Je suis sa femme...) Je la suis, dis-je sans qu'il le pense (I, Dép. a. 419). Pour « je la suis » et quelques exemples analogues, voy. plus loin à ACCORD (XVI, B).

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LEX. DE M.

D

Et personne, Monsieur, qui se veuille bouger
Pour retenir des gens qui se vont égorger;

Pour moi, je le veux bien; mais... (Ï, Dép. a. 1641).

Je veux bien qu'ils s'égorgent.

Ah! que vous serez bien marié! Dépêchez-vous de l'être (IV, 25, Mar. f. 1).

Je ne l'aimerois pas, si je ne croyois l'être (V, Mis. 237). Si je ne croyais être aimé.

Si vous le voulez prendre aux usages du mot,

L'alliance est plus grande entre pédant et sot (IX, F. sav. 1299: note). OR. Mais, mon petit Monsieur, prenez-le un peu moins haut.

ALC. Ma foi, mon grand Monsieur, je le prends comme il faut (V, Mis. 433, 434). Voy. PRENDRE.

Détrompez-vous, de grâce, et portez-le moins haut (V, Mis. 1729: note). Porter moins haut le chef, la tête voyez la note au vers cité.

Je le donnerois à bien d'autres qu'à moi

De se voir sans chagrin au point ou je me voi (II, Sgan. 367). Cf. Je le donne en six COUPS à....

Voy. au Lexique : SEMBLER (il vous semble, il me le semble); CÉDER (céder à..., le céder à...); à vous le TRANCHER net...; l'EMPORTER Sur...; le DISPUTER à...; pour le faire COURT; je le QUITTE [j'y renonce].

La médecine l'a échappé belle (VI, 119, Méd. m. l. III, x1; voyez la note au v. 1266 des F. sav.).

Fût-ce mon propre frère, il me la payeroit (I, Ét. 1042).

Il me la payera (VIII, 506, Scap. III, vi: note).

Vous rêvez bien, Léandre, et me la baillez bonne (I, Ét. 1064).

« Sortons, ce m'a-t-il dit... >>

Et sortis de ce lieu, me la donnant plus sèche :

« Marquis, allons au Cours faire voir ma galèche » (III, Fách. 75: note).

4° Non-emploi de Le neutre.

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La traiter comme elle mérite (VI, 271, Sic. xv).

Ne savez-vous pas bien pourquoi je le ménage,

Et que dans mon procès, ainsi qu'il m'a promis, (Il peut...) (V, Mis. 491). La fourbe sera fine,

...

S'il faut qu'elle succède ainsi que j'imagine (I, Ét. 292).

(Elle ne se doit parer) Qu'autant que peut desirer

Le mari qui la possède (III, Éc. d. f. 755).

(Deux chiens) Qui, s'ils eussent osé, vous eussent fait querelle (I, Ét. 1531). Certes, voulez-vous que je dise? vous prenez un mauvais parti (VI, 248. Sic. vi; cf. IX, F. sav. 555).

Plût au Ciel que je fusse capable de souffrir, comme il dit, les galanteries de quelqu'un (VI, 532, G. D. I, vi).

... Hé! que ne disiez-vous? (I, Ét. 1794.)

Je veux,... comme je vous ai dit, faire mon testament (IX, 311, Mal. im. 1, vi). Cf. II, Éc. d. m. 429; III, Éc. d. f. 1274; IX, F. sav. 484.

608, 1219.

... A le bien prendre, au fond, elle [la cour] n'est pas si bête

Que vous autres Messieurs vous vous mettez en tête (IX, F. sav. 1341: PHILAM. Vous devez, en raisonnable époux,

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Être pour moi contre elle, et prendre mon courroux.
CHRYS. Aussi fais-je (IX, F. sav. 443). Aussi le fais-je.
Toi-même penses-tu qu'on puisse, comme il fait,

[note).

Voir chérir un rival d'un esprit satisfait (I, Dép. a. 39). Voy. VI, Mélic. 425. Je m'intéresse, comme je dois, à ne vous point laisser faire de folie (IX, 304, Mal. im. I, v).

(L'écriteau.) Comme je conjecture au moins, ne sauroit être... (Ét. 1788).

Comme je crois (II, Sgan. 621; II, Éc. d. m. 945); comme j'espère (III,
Éc. d. f. 959); comme je prévois (III, Rem. au R. 42).

Valère, je crois bien, n'est pas de toi chéri (Sgan. 51; cf. Dép. a. 1069).
C'est à eux à guérir s'ils peuvent (IX, 359, Mal. im. II, v).
Infirme et malade comme je suis... (IX, 298, Mal. im. I, v).

ISID. Quoi, jaloux de ces choses-là? D. PÈD. Qui, jaloux de ces choseslà, mais jaloux comme un tigre, et, si voulez, comme un diable (VI, 248, Sic. VI).

Je ne mettrai pas ma fille dans un convent, si je veux? (IX, 302, Mal. im. I, v.)

Voyez au chapitre de la CONSTRUCTION pour la place des pronoms régimes dans la phrase.

VI

ADJECTIFS ET PRONOMS POSSESSIFS

1° Emplois divers.

A. Adjectifs possessifs.

(Les oiseaux) Recommencent leurs chants (VI, 240, Sic. 1). Tel est le texte de l'original; mais le livret du ballet a la vieille orthographe leur, sans s. Voy. le Lexique du Retz, p. xxx111.

En faisant l'anagramme de Votredite Majesté (III, 85, Fách. Placet de Voy. au Lexique : MAMIE, MAMOUR. [Caritidès).

Vos parrains et marraines (II, 67, Préc. Iv).

Chacun, à ses périls et fortune, peut croire tout ce qu'il lui plaît (IX, 401, Mal. im. III, ш).

Mais la fresque est pressante, et veut, sans complaisance,

Qu'un peintre s'accommode à son impatience [à elle],

La traite à sa manière [à elle], et d'un travail soudain

Saisisse le moment qu'elle donne à sa main [à lui] (Val-de-Gr. 255-257). Peut-on savoir de vous cet objet si charmant

Dont la beauté, Myrtil, vous a fait son amant? (VI, Mélic. 306.)

ARG. Vous ne croyez donc point à la médecine? BÉR. Non,... et je ne vois pas que, pour son salut, il soit nécessaire d'y croire (IX, 396, Mal. im. III, 11).

Qu'on soit, pour son salut, forcé d'y croire.

« Sur un carrosse de couleur amarante, donné à une dame de ses amies » (IX, 130, F. sav. titre de l'épigramme de Trissotin).

Mes soins en tout ceci n'ont que votre intérêt (II, D. Garc. 739). N'ont d'autre intérêt que le vôtre.

... Séparant le bon d'avec son apparence (IX, Val-de-Gr. 295).

...

Et moi je le demande [un franc aveu]:

C'est son éclat surtout qu'ici j'ose exiger (V, Mis. 1639).

Mais quand vous avez fait ce charmant « quoi qu'on die »,

Avez-vous compris, vous, toute son énergie? (IX, F. sav. 795.)

Tout ceux qui étoient là doivent venir à sa première représentation [de ma pièce (III, 341, Crit. 1V).

Regarde, Amphitryon, quel est ton imposteur (VI, Amph, 1890: note). Quel est celui qui t'a volé ta ressemblance.

Mes Fâcheux à la fin se sont-ils écartés? (III, Fách. 293.)

ADR. J'ai, par le moyen d'une jeune esclave, un stratagème pour tirer cette belle Grecque des mains de son jaloux (VI, 258, Sic. ix). ADR. Je ne doute pas que mon jaloux fâcheux ne soit toujours présent (VI, 258, Sic. Ix).

Je puis à mon brutal trouver des châtiments (I, Ét. 750).

G. Dandin, parlant de sa femme, dit ma coquine (VI, 571), mon effrontée (VI, 565).

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