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des consultations et des ordonnances (IX, 298, Mal. im. I, v: note). Afin d'être tout à portée des....

Je serai à méme pour vous caresser comme je voudrai (IV, 27, Mar. f. 11). Même (de) :

M D'ARMES. Touchez-moi l'épée de quarte, et achevez de même [et poussez de même, en quarte]... Touchez-moi l'épée de tierce, et achevez de méme (VIII, 72 et 73, Bour. g. II, 11).

C'est un transport si grand, qu'il n'en est point de même (II, Éc. d. m. Jamais il ne s'est vu de surprise de méme (IV, Tart. 1393).

(823).

Voy. la note au dernier vers cité et le Dictionnaire de Littré à MÊME, 16o, fin.

:

Elle a raison à sot compliment il faut une réponse de méme (VII, 146,
Av. III, vii).

Mais croyez que je suis de même que toujours (II, Éc. d. m. 1066).
ÉR. Quand j'aime bien, j'aime fort que l'on m'aime.

VAL. Il est très naturel, et j'en suis bien de même (I, Dép. a. 206).
Mais de moi ce n'est pas de même (VI, Amph. 23).

Si vous êtes si prompt, Monsieur, il n'en est pas de même de moi (IX, 369, Mal. im. II, vi).

Cet endroit est de même celui du Gascon... (VIII, 496, Scap. III, 11, j. de sc. note). Est comme celui....

ÉR. Et puisque l'on témoigne une froideur extrême

A conserver les gens, je veux faire de même.

:

GR.-RENÉ. Et moi de même aussi soyons tous deux fàchés (I, Dép. a. 1226, 1227).

D. PED. lui donnant sur la joue.... HALI, lui en faisant de même (VI, 244, Sic. 1v, jeux de scène).

En faire de même : II, Éc. d. m. 1037; III, Éc. d. f. 440; VI, Mélic. 193 note.

Isabelle a ma foi; j'ai de même la sienne (II, Éc. d. m. 1020; cf. I, Dép. a. 859; II, D. Garc, 521).

Si je vous embrasse pour vous en témoigner ma joie, je l'embrasse de même pour lui en témoigner aussi (VI, 78, Méd. m. l. II, 11).

(Ce que je vous ai dit) Je l'ai dit comme fille, et vous le devez prendre Tout de même (I, Dép. a. 500).

Comme si c'était réellement une fille qui vous l'eût dit, et non un garçon. Ne plus ne moins que la statue de Memnon rendoit un son harmonieux, lorsqu'elle venoit à être éclairée des rayons du soleil: tout de même me sens-je animé d'un doux transport à l'apparition du soleil de vos beautés (IX, 351, Mal. im. II, v).

SGAN. Est-il possible que vous ne croyiez point... au Ciel? D. J. Laissons cela. SGAN. C'est à dire que non, Et à l'Enfer? D. J. Eh! SG. Tout de méme. Et au diable...? (V, 139, D. Juan, III, 1.)

Va vite, et reviens de méme (VI, 574, G. D. III, iv).

Tu prétends... que les choses aillent toujours de méme? (VI, 39, Méd. m. l. I, 1; cf. VI, 98.)

Et de même qu'à vous je ne lui suis pas chère,

Pour préférer à tout une simple bergère (VI, Mélic. 447).

Je ne lui suis pas chère (à votre père) comme à vous, à ce point qu'il voulût préférer....

Si sa bouche dit vrai, nous avons même sort,

Et de méme que moi, Monsieur, vous êtes double (VI, Amph. 977). Les Bergers et Bergères de son côté [du côté de Dorilas] font de méme que les autres (IX, 266, I" Prol. du Mal, im.).

(Cessons)... de nous tourmenter [de nous agiter] de même qu'un lutin (I, Ét. 1149).

LEX. DE M.

G

A.

XI
VERBE

Verbes forgés par plaisanterie. Formes de certains verbes. JACQUEL. Je vous dis et vous douze que tous ces médecins n'y feront rian (VI, 70, Méd. m. 1. II, 1 note).

MASC. Je me dessuisse donc et redeviens moi-même (I, Ét. 1824).
SOSIE. ... L'on me des-Sosie enfin

Comme on vous dés-Amphitryonne (VI, Amph. 1860 et 1861 note). Cf.
Désenamouré, Désattrister, Dépromettre, Dédonner.

DOR.... Non, vous serez, ma foi! tartuffiée (IV, Tart. 674 : note).
Oui-da, très volontiers, je l'épousterai bien (Ì, Ét. 1577 note).
(Malgré la tempête) Que votre usurpateur oit gronder sur sa tête (II,
D. Garc. 192: note). Voy. au Lexique pour Oyez, oyions, oyois, être ouis.
Exclus, ancienne forme, au lieu d'exclu: voy. au Lexique, t. I, p. 451.

Je puis est toujours préféré à je peux; une paysanne même dit : « Je ne me pis refondre » (V, 112, D. Juan, II, 1). Cf. Lexique du Corneille, t. II, p. 210. LUBIN. On m'a enchargé de prendre garde que personne ne me vit (VI, *Fuyez-vous-en (I, 70, Méd. vol. xIII). [511, G. D. I, I note). LUCAS. Votte fille s'en est enfuie avec son Liandre (VI, 116, Méd. m. l. III, VIII). Voy. à FUIR: il s'en est fui; cf. d'ailleurs s'enfuir. (Vois) Quels inconvénients auroient pu s'en ensuivre! (VI, Amph. 1165.) Cf. S'ENSUIVRE et voy. à Bas (en enhaut, en enbas). Quoi qu'il avienne (II, Éc. d. m. 1019; VI, Amph. 1841). S'il advient (I, Dép. a. 663). Advenant (I, Ét. 1289: éd. orig. de 1663; avenant dans toutes les autres éd.). Voy. ADVERSITÉ, AVERSITÉ et AVERSAIRE. PHILAM. Ah! SOLLICITUDE à mon oreille est rude:

...

Il put étrangement son ancienneté (IX, F. sav. 553 note).

Put est la 3 personne du présent de l'indicatif du vieux verbe puir, qui a été employé concurremment avec le verbe puer, et dont quelques formes ont été usitées jusque dans le dix-huitième siècle.

[Les]. défauts qu'on lui treuve (V, Mis. 226: note).

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Je treuve le mariage une chose tout à fait choquante (II, 68, Préc. iv; cf. II, 106, Préc. x1; II, D. Garc. 1820; II, Éc. d. m. 487 et II, 396, 1. 12, Éc. d. m., Lettre d'Isabelle).

Cf. dans l'Étourdi: Treuver (v. 952, dans les éd. de 1663, 66, 73; v. 90, dans les éd. de 1666 et 1673). Treuve (indicatif, v. 958, dans les éd. de 1663, 66, 73; v. 1832, dans l'éd, de 1663). Treuverez (v. 780, dans l'éd. de 1663). Treuve (impératif, v. 73, dans les éd. de 1663, 66, 73). Treuvé (v. 79, dans les éd. de 1663, 66, 73). Toutes les éditions ont trouvent et trouvant aux vers 998 et 95. Dans le Dépit amoureux Je treuve (v. 844); qui treuve (v. 202); treuvent (v. 422); treuver (v. 1169); je trouve (v. 231); se trouvent (v. 466 et 968). Que dois-je faire? dis, veuille me conseiller (I, Ét. 709).

...

Veuillez être obéi (IX, F. sav. 1596: note). Ayez la ferme volonté de vous faire obéir.

Baailler voy. t. I, p. 201, la note au v. 1438 de l'Étourdi.

Sur la prononciation, recommandée par Molière, de la syllabe finale er des infinitifs de la première conjugaison, voy. t. II, p. 162, note 2.

On trouvera au Lexique :

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GARD (Dieu vous),

ANOBLIR, ANNOBLIR et EN- DESSEINER [dessiner, cf. MORIGINER et MORIGE

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DESSEIN],

S'ENTRE-AIMER, S'ENTRE-
BAISER, S'ENTRE-DON-

NER.

FLEURER [flairer, cf.
FLEUREUR,]

NER.

Ramentevoir.
RUER (jeter) une pierre.
TUTOYER et TUTAYER,
VUIDER (cf. VUIDE).

Et mes pas en ce lieu, s'il faut que je le die,

Ne croyoient pas trouver si bonne compagnie (II, D. Garc. 968).
Ah! souffrez que je die.... (I, Dép. a. 1730).

Il faut que je vous die un impromptu que je fis hier (II, 84, Préc. 1x).
Veux-tu que je te die? une atteinte secrette... (I, Dép. a. 1).

Que veux-tu que je die? Une telle aventure... (I, Dép. a. 1081).

On voit que dise eût pu tout aussi bien que die entrer dans ces deux vers. Voulez-vous que je vous die? Si j'avois été en votre place... (III, 426 Impr. v). Sur le « quoi qu'on die » de Cotin-Trissotin dans les F. sav., voy. tome IX, p. 127, note 1.

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Ne m'en dédites pas (IV, Tart. 1031).

Une nouvelle [comédie] que je serai bien aise que nous voyions ensemble (II, 91, Préc. Ix: note). Ici voyions est la forme de l'édition originale. Mais c'est l'écriture voyez au lieu de voyiez au subjonctif qui a été employée dans les plus anciens textes du Bourg. g. (acte II, sc. 1, t. VIII. p. 69 et 71: cf. la note 1 de la p. 69).

Il a été remarqué t. VII, p. 66, note 7, que l'omission de l'i au subjonctif, après des mouillées, et surtout après un autre i, est fréquente dans les anciennes impressions. Il est ainsi bien possible que, t. VII, p. 66 (Avare, I, 11), « Je dis que vous fouillez bien partout » ait été écrit au lieu de « Je dis que vous fouilliez... ». Meme t. VII, p. 80, n. 5 (Avare, I, Iv), il est dit que l'éd. originale et plusieurs anciennes portent « Je veux que vous vous mariez » au lieu de a Je veux que vous vous mariiez », et, p. 268, n. 4 (Pourc. I, vii), que l'éd. originale et d'autres anciennes portent « Je n'entends pas que vous fassiez de la dépense, et que vous envoyez rien acheter pour moi ». On trouve encore : Sans que nous essayons » (II, D. Garc. 749, dans l'éd. première de 1682) et Est-il possible que vous ne croyez point du tout au Ciel?» (V, 139, D. Juan, III, 1, dans les éd. anciennes.)

MASC. Non, Monsieur, je raillois. ÉR. Ah! vous raillez, infâme!
MASC. Non, je ne raillois point (I, Dép. a. 278).

[cité.

Raillez a probablement été écrit au lieu de railliez voyez la note au vers L'éclat n'en rejallit sur vous qu'à votre déshonneur (V, 176, D. Juan, IV, Iv, texte de l'éd. de 1682). Voyez au sujet de cette ancienne écriture les Lexiques du Malherbe, du Corneille et du Racine.

Ils croyent que tout cède à leur perruque blonde (II, Éc. d. m. 1047).
L'e de crie a été compté au vers 224 de l'Ét.

Allez vite, qu'il ne nous voye ensemble (VII, 320, Pourc. III, 1).
Que je vous voye (VIII, 441, Scap. II, 11).

Afin qu'on voye bien que vous êtes à moi (VIII, 98, Bourg. g. III, 1; cf. VIII, 109, Bourg. g. III, 11).

Il faut que pour tantôt tu nettoyes... (VIII, 100, Bourg. g. III, 11).

... De savoir que je n'aye à craindre que pour moi (VIII, Psy. 511).

Voy. encore VIII, 478, Scap. II, vir; VIII, 442, Scap. II, п; VIII, 429, Scap. I, Iv; VIII, Psy. 694; IX, F. sav. 515, 1003, 1536.

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ARG. Il faudra encore que je n'aye pas le plaisir de la quereller....
TOIN. ... Il faut bien que, de mon côté, j'aye le plaisir de pleurer
(IX, 287, Mal. im. I, 11; cf. IX, 308, 381. 416, 418 et 430).
N'aye point de peur (IX, 433, Mal. im. III, xiv; cf. VII, 239, Pourc.
I, 1).

(Il faut) que tu ailles dire à ce Turc qu'il me renvoye mon fils (VIII, 478, Scap. II, vII).

Nous renvoyerons à Limoges Monsieur de Pourceauguac (VII, 242, Pourc. Nous l'envoyerons aux bains (VII, 266, Pourc. I, vi).

J'envoyerai (VIII, 594, Escarb. viii).

Je l'envoierai querir (IX, 319, Mal. im. I, vIII).

Il vous envoiera en l'autre monde (IX, 396, Mal. im. III, 111).
Envoierez-vous encor...? (II, Éc. d. m. 545.)

[I, 1).

Ma foi, je l'envoierois au diable avec sa fraise (II, Éc. d. m. 33).
Tout beau! si pour heurter tu fais la moindre instance,

Je t'envoierai d'ici des messagers fâcheux (VI, Amph. 1519).

Je l'envoierois promener avec ses goguenarderies (VI, 75, Méd. m. l. II, 11). Les marquis... tantôt se lèveront, et tantôt s'assoiront (III, 417, Impr. Iv). Je m'emploirois (I, Ét. 447).

Toi-même avouras... (I, Et. 845).

Je ne sais où (VI, 264, Sic. x1).

Les éditions du dix-septième siècle (se conformant ici à la règle du temps la plus généralement adoptée, qui n'admettait pas l's à sai 41o pers.) ont écrit je ne sai où voyez la note 3 à la page indiquée et la note jointe à l'exemple suivant.

Je vois assez clair (VIII, 166, Bourg. g. IV, 11).

La note 3 à la page indiquée constate qu'il y a voi (voy) ici dans l'éd. originale et dans presque tous les anciens textes, bien qu'ils aient vois plus haut (p. 160, 164, 165), devant d'autres voyelles qu'a. On peut ajouter que dans tous les anciens textes de l'Avare on lit, avec l's devant a « Je vois à sa mine...» (t. VII, p. 181, acte V, sc. 1). Ni l'orthographe de je sai, ni celle de je voi n'était absolument fixée. Les verbes scavoir et voir, décidera encore formellement l'Académie en 1704 (dans une de ses Observations sur Vaugelas, éd. Chassang, t. I, p. 229), ne prennent point d's à la 1 pers. du prés. de l'indic.; il faut dire je sçay et je voy. » On écrivait aussi voi à l'impératif. Dans les vers toutefois, devant une voyelle, l's s'ajoutait par licence:

A présent que je sais et son bien et sa race... (Corneille, t. V, Menteur, 1574). Quoi? tu me fuis, ingrate, et je te vois ici...? (VII, 428, Am. magn. III® interm., sc. v).

Dans la prose aussi l'addition de l's devant une voyelle était fréquente; elle s'y rencontre même devant une consonne, mais assez rarement. Les premiers imprimeurs des pièces de Molière, et le poète lui-même peut-être, ont encore parfois, n'ayant pas à suivre un usage plus constant qu'à l'égard de je sai et de je voi, laissé sans s, à la 10 pers. sing. du prés. de l'indic. et à la 2 pers. sing. de l'impér., d'autres verbes, pour la plupart desquels, dans la vieille langue, l'absence de désinence à ces personnes était de règle. Mais dans la présente édition (comme en avertit, tome II, p. 404, une note au vers 653 de l'Éc. d. m.) ces formes anciennes, je di, je croi, etc., ont été, de même que je sai et je voi, conservées seulement lorque la rime l'exigeait.

Je voi rimant avec moi : VI, Mélic. 44; IX, F. sav. 1579. — Je croi rimant avec moi : VI, Mélic. 55; avec foi : IX, F. sav. 113.

LEAN. Va-t'en jusqu'à la poste, et voi

Je ne sais quel paquet qui doit venir pour moi (I, Ét. 989).

...

...

Qu'a de surprenant le discours que je fai? (IX, F. sav. 374.)

La, la, revien (VI, Amph. 1434 : note).

Pauvre petit bouchon,

Tu ne languiras pas longtemps, je t'en répond (II, Éc. d. m. 770).

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Que j'ai vu de mes yeux un crime si hardi (IV, Tart. 1671; cf. I, Ét. 190, II, Éc. d. m. 653).

Cela s'en va sans dire (II, Éc. d. m. 931).

Jarni! je vas dire à sa tante tout ce ménage-ci (V, 124, D. Juan, II, 111). Je vas à la débandade.... Je m'en vas boire chopaine (V, 105, 113, D. Juan, II, 1).

Je m'en vais (I, Ét. 1046; IX, 380, Mal. im. II, vii). Voy. d'autres exemples de ces diverses formes à ALLER.

Mais n'en gardé-je pas...? (IV, Tart. 625.)

L'orthographe la plus usitee du temps confondait cette première personne du présent employée interrogativement avec celle du passé" (gardai-je).

Et quoique avec ardeur je veuille vous hair,

Trouvé-je un cœur en moi tout prêt à m'obéir? (V, Mis. 1750; dans les anciennes éditions trouvai-je).

Révé-je, trouvé-je, parlé-je : la désinence é-je se trouve ainsi, non la désinence vieillie ai-je, aux vers 430, 440 et 441 des plus anciennes éditions d'Amphitryon; voyez la note au vers 430.

Malgré leur dureté les formes suivantes ne sont pas évitées :

Aussi ne veux-je pas que..... (VIII, Psy. 938).

De quelle émotion inconnue sens-je mon cœur atteint...? (IV, 205, Pr. d'É. IV, vi; cf. VI, Amph. 432.)

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Voy. à RÉGIME (Verbes dont une partie du régime est à suppléer), et plus loin, aux VERBES (H, 9°, c: Infinitifs dont le sujet n'est pas exprimé). Mais n'appréhende plus, je reprends mes esprits (I, Ét. 1446).

...

Laissez faire dis-je, et n'appréhendez pas (IX, F. sav. 413).

Asc. Contez-moi bien tout....

FROS. Vous en saurez assez le détail; laissez faire (I, Dép. a. 1581).

Voyez venir, attendez. Cf. LAISSER.

Je connois des gens...

Qui, comme ils le font voir, aiment jusques à battre (III, Fách. 456). THOM. DIAF. Baiserai-je? (IX, 350, Mal. im. II, v.)

Vous en pourriez citer [des exemples] qui ne concluroient guère (IX, F. sav. 1289). Qui ne seraient guère concluants.

Ici de tous côtés on découvre aisément (I, Dép. a. 346: note).

LE NOT. Ils... s'imaginent que c'est un grand crime que de disposer [de son bien en fraude de la loi (IX, 314, Mal. im. I, vII).

... L'espoir où je fonde (III, Fách, 655 : note).

Laisse-moi gouverner (I, Ét. 1372).

... Jamais l'air d'un visage,

Si ce qu'il dit est vrai, n'imposa davantage (Ét. 992). Ne fut plus trompeur. ... J'incommode peut-être (I, Ét. 135).

Mais avec cela je ne répondrois pas de ne point manquer (III, 390, Impr. 1). Manquer de mémoire.

Votre maître de musique est allé aux champs, et voilà une personne qu'il envoie à sa place pour vous montrer (IX, 343, Mal. im. II, 11; cf. VIII, 55, Bourg. g. I, 11).

Que les jeunes enfants remontrent aux vieillards (I, Dép. a. 770).

...

Pour vous ôter tout lieu de soupçonner (II, D. Garc. 1042).

Ce Monsieur l'étranger a besoin de repaitre (I, Ét. 1440). De manger. Femme qui compose en sait plus qu'il ne faut (III, Éc. d. f. 94). Et le poil et l'habit déguisoient grandement (I, Ét. 1362).

Dieu fera pour les siens (I, Dép. a. 973).

M. DIAF. Il vous ordonne sans doute de manger force rôti. ARG. Non, rien que du bouilli. M. DIAF. Eh! oui.... Il vous ordonne fort prudemment (IX, 376, Mal. im. II, vi).

Un homme... mouchant, toussant, crachant toujours (IX, 429, Mal. im. Sonner, resonner [du cor]: voy. à ces mots.

Voy. à DÉPÊCHER, à ACHEVER.

C.

Emploi des verbes auxiliaires.

1° Emploi de l'auxiliaire Avoir.

[III, XII).

Et j'ai pour vous trouver rentré par l'autre porte (III, Fách. 248). ERASTE, après avoir un peu demeuré sans parler (III, Fách, avant le v. 273, j. de sc.). Cf. IV, 20, Mar. f. 1; V, Mis. 313.

J'ai monté pour vous dire... (V, Mis. 253).

Un monde près de nous a passé tout du long (IX, F. sav. 1267).

2° Emploi de l'auxiliaire Être.

(Un monde) Est chu tout au travers de notre tourbillon (IX, F. sav. 1268).

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