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" J'ai posé mon front dans mes mains Et sangloté comme une femme; Partout où j'ai, comme un mouton Qui laisse sa laine au buisson, Senti se dénuer mon âme; Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu mourir, Partout où j'ai touché la terre,... "
Nouvelles études et notes littéraires sur quelques écrivains du XIXe siècle - Page 140
de Jean Vaudon - 1902 - 397 pages
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Revue des deux mondes, Volume 4

1835 - 788 pages
...femme ; Partout où j'ai , comme un mouton Qui laisse sa laine au buisson , Senti se dénuer mon ame ; Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu...terre , Sur ma route est venu s'asseoir Un malheureux vôtu de noir Qui me ressemblait comme un frère. Qui donc es-tu , toi que dans cette vie Je vois toujours...
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Poésies complètes: Contes d'Espagne et d'Italie ; Poésies diverses ; Un ...

Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...; Partout où j'ai , comme un mouton Qui laisse sa laine au buisson , Sentit se dénuer mon âme ; Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu...mauvais Destin ! Ton doux sourire a trop de patience, En te voyant , j'aime la Providence. Ta douleur même est sœur de ma souffrance; Elle ressemble à...
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Poésies complètes de Alfred de Musset

Alfred de Musset - 1849 - 428 pages
...femme; Partout où j'ai, comme un mouton Qui laisse sa laine au buisson , Senti se dénuer mon âme ; Partout où j'ai voulu dormir , Partout où j'ai voulu...Qui me ressemblait comme un frère. Qui donc es-tu , loi que dans cette vie Je vois toujours sur mon chemin? Je ne puis croire , à ta mélancolie , Que...
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Poésies nouvelles de Alfred de Musset: 1836-1852--

Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...femme ; Partout où j'ai, comme un mouton Qui laisse sa laine au buisson, Senti se donner mon âme; Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu...! Ton doux sourire a trop de patience, Tes larmes ont trop de pitié. En te voyant, j'aime la Providence. Ta douleur même est sœur de ma souffrance;...
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Les poëtes français: Morceaux choisis dans les meilleurs poëtes du XIXe siècle

A. Roche - 1853 - 720 pages
...J'ai voulu partir, et chercher Les vestiges d'une espérance ; Partout où j'ai voulu dormir, Paitout où j'ai voulu mourir, Partout où j'ai touché la...vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Utilité de la douleur. Le coup dont tu te plains t'a préservé peut-être, Enfant ; car c'est par...
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Revue contemporaine, Volume 14 ;Volume 32

1857 - 924 pages
...vie. Quel est ce compagnon de douleur ? De quel nom appeler cet « étranger vêtu de noir qui lui ressemblait comme un frère?» Qui donc es-tu, toi...! Ton doux sourire a trop de patience, Tes larmes ont trop de pitié. En te voyant, j'aime la Providence. Ta douleur même est sœur de ma souffrance...
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Poésies nouvelles de Alfred de Musset, 1836-1852

Alfred de Musset - 1857 - 300 pages
...femme, Partout où j'ai, comme un mouton, Qui laisse sa laine au buisson, Senti se dénuer mon âme; Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu...noir, Qui me ressemblait comme un frère. Qui donc es- tu, toi que dans cette vie Je vois toujours sur mon chemin? Je ne puis croire, à ta mélancolie,...
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Poésies nouvelles

Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...laisse sa laine au buisson, Senti se dénuer mon âme ; Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'.ii voulu mourir, Partout où j'ai touché la terre, Sur...Destin. Ton doux sourire a trop de patience, Tes larmes ont trop de pitié. En te voyant, j'aime la Providence. Ta douleur mCme est sœur de ma souffrance...
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Poésies nouvelles de Alfred de Musset, 1836-1852

Alfred de Musset - 1860 - 300 pages
...femme ; Partout où j'ai, comme un mouton, Qui laisse sa laine au buisson, Senti se déntier mon âme; Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu...Partout où j'ai touché la terre, Sur ma route est venu s'asseoi r Un malheureux vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Qui donc es-tu, toi que...
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Stemmen voor waarheid en vrede, Volume 36

1899 - 1236 pages
...de Musset: „Partout, on j ai voalu dormir, Partout, oü j'ai voulu mourir Partout, oü j'ai touche la terre , — Sur ma route est venu s'asseoir Un malheureux, vêtu de noir, Qui me regardait comme un frère." Partout ... O, wat heb ik dit dikwijls ook op reis ondervonden ! Ik zou...
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