Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ... surnommé Égalité, Volume 2 |
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Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans, surnommé égalité Galart de Montjoie Affichage du livre entier - 1831 |
Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ..., Volume 2 Galart de Montjoie Affichage du livre entier - 1796 |
Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ..., Volume 2 Galart de Montjoie Affichage du livre entier - 1796 |
Expressions et termes fréquents
alloit antropophages armée arrêtés arriver assassins auroit avoient avoit Bailly blée nationale boulangers brigands camarades château Châtelet cocarde comité des subsistances comte d'Artois comte d'Estaing comte de Lally comte de Mirabeau comte de Montmorin conjurés connoissance conspiration coup croyoit d'Orléans avoit demande députés devoit disoit donner duc d'Orléans égorger ensuite étoient étoit eût faction faisoient faisoit famille royale Favras Fayette femmes force François fusil fût garde nationale gardes-du-corps gardes-françoises grenadiers heures homme jour journée l'affemblée l'assemblée nationale l'hôtel-de-ville léans loix Louis XVI malheureux mande Marat marquis de Favras ment Messieurs mille ministres monarque Moraire mort motion Mounier n'avoit n'étoient n'étoit nation Necker Octobre officiers Orléanistes pain Palais-Royal Passy personne peuple Pinet porte pourroit pouvoient pouvoit prendre prince régiment de Flandres reine révolution rien s'écria salle sang séance seroit seul soldats sorte tems tête tion troupe trouvoit venoient venoit Versailles Voilà vouloit voyoit
Fréquemment cités
Page 69 - ... de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté. Serait-il donc nécessaire de vous rassurer sur des bruits aussi coupables, démentis d'avance par mon caractère connu ? Eh bien ! c'est moi qui ne suis qu'un avec ma nation, c'est moi qui me fie à vous!
Page 200 - ... ce n'est pas qu'ils me présentent tous indistinctement l'idée de la perfection ; mais je crois qu'il est louable en moi de ne pas différer d'avoir égard au vœu présent des députés de la nation et aux circonstances alarmantes qui nous invitent si fortement à vouloir, par-dessus tout, le prompt rétablissement de la paix, de l'ordre et de la confiance.
Page 70 - ... est un sûr garant; et, comptant sur l'amour et la fidélité de mes sujets, j'ai donné ordre aux troupes de s'éloigner de Paris et de Versailles. Je vous autorise et vous invite même à faire connaître mes dispositions à la capitale.
Page 198 - Messieurs, de nouvelles lois constitutives ne peuvent être bien jugées que dans leur ensemble ; tout se tient dans un si grand et si important ouvrage. Cependant je trouve naturel que dans un...
Page 194 - Nous ne pouvons tourner nos baïonnettes contre des femmes qui nous demandent du pain. Le comité des subsistances malverse ou est incapable d'administrer son département; dans les deux cas, il faut le changer. Le peuple est malheureux : la source du mal est à Versailles. Il faut aller chercher le...
Page 199 - Ainsi, dans la confiance que les premiers articles constitutionnels que vous m'avez fait présenter, unis à la suite de votre travail, rempliront le vœu de mes peuples et assureront le bonheur et la prospérité du royaume, j'accorde, selon votre désir, mon accession à ces articles ; mais à une condition positive et dont je ne me départirai jamais, c'est que, par le résultat général de vos délibérations, le pouvoir exécutif ait son entier effet entre les mains du monarque.
Page 199 - Une suite de faits et d'observations dont le tableau sera mis sous vos yeux, vous fera connaître que dans l'ordre actuel des choses, je ne puis protéger efficacement ni le recouvrement des impositions légales, ni la libre circulation des subsistances, ni la sûreté individuelle des citoyens*. Je veux cependant remplir ces devoirs essentiels de la royauté. Le bonheur de mes sujets, la...
Page 222 - J'avais désiré d'être environné des représentants de la nation dans les circonstances où je me trouve, et je vous avais fait dire que je voulais recevoir devant vous le marquis de La Fayette, afin de profiter de vos conseils; mais il est venu avant vous, et je n'ai plus rien à vous dire, sinon que je n'ai pas eu l'intention de partir, et que je ne m'éloignerai jamais de l'Assemblée nationale.
Page 299 - Il en faut un autre enthousiasme ; et qui plus que la reine a le pouvoir de le faire naître ? La voilà dans ce Paris qui le reçoit si vite et qui le communique de même. La route a été terrible ; elle doit être oubliée. Ce grand théâtre est digne de votre majesté : il peut résulter de grands biens du malheur passé...
Page 200 - Je ne m'explique point sur votre déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Elle contient de très-bonnes maximes propres à guider vos travaux ; mais des principes susceptibles d'applications et même d'interprétations différentes , ne peuvent être justement appréciés, et n'ont besoin de l'être qu'au moment où leur véritable sens est fixé par les lois auxquelles ils doivent servir de première base.