s'approcha du mort, replaça l'os du bras et oignit tout le corps d'un onguent qu'il avait sur lui. Bientôt les chairs se colorèrent, le sang parut circuler, les yeux s'ouvrirent, les membres s'agitèrent et l'enfant revint à la vie. Ce miracle Contes de l'Ille-et-Vilaine - Page 115 de Adolphe Orain - 1901 - 303 pages Affichage du livre entier -
|