| 1829 - 640 pages
...sur la poitrine, parlant peu, bas, remuant à peine, madame d'Houdetot assistait en quelque sorte à la conversation, sans la diriger, sans l'exciter,...de société ou de spectacle, au moindre incident, au moindre mot spirituel, un intérêt vif et curieux : mélange piquant et original de vieillesse... | |
| François Guizot - 1859 - 536 pages
...sur la poitrine, parlant peu, bas, remuant à peine, madame d'Houdetot assistait en quelque sorte à la conversation, sans la diriger, sans l'exciter,...de société ou de spectacle, au moindre incident, au moindre mot spirituel, un intérêt vif et curieux ; mélange piquant et original de vieillesse... | |
| François Guizot - 1859 - 540 pages
...sur la poitrine, parlant peu, bas, remuant à peine, madame d'Houdetot assistait en quelque gortc à la conversation, sans la diriger, sans l'exciter,...ce qui se disait, aux discussions littéraires, aux nouvelle» de société ou de spectacle, au moindre incident, au moindre mot spirituel, un intérêt... | |
| François Guizot - 1859 - 534 pages
...sur la poitrine, parlant peu, bas, remuant à peine, madame d'IIoudetot assistait en quelque sorte à la conversation, sans la diriger, sans l'exciter,...maîtresse de maison, bonne, facile, mais prenant h tout ce qui se disait, aux discussions littéraires, aux nouvelles de société ou de spectacle,... | |
| Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1863 - 538 pages
...inclinée sur la poitrine, parlant peu. bas, remuant à peine d'Houdetot assistait en quelque sorle à la conversation, sans la diriger, sans l'exciter,...gênante, point maîtresse de maison, bonne, facile, niais prenant à tout ce qui se disait, ,iux discussii>ns liti' r. lires, aux nouvelles de M>< irli'... | |
| Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1865 - 518 pages
...madame d'Houdclot «pistait i'il quelque sorte à la conversation, sans la diriger, >ans l'enc'ler, point gênante, point maîtresse de maison, bonne, facile, mais prenant à tout ce qui •,• disait, aux discussions littéraires, aux nouvelles de société ou de spectacle, au moindre... | |
| 1868 - 500 pages
...sur la poitrine, parlant peu, bas, remuant à peine, Madame d'Houdetot assistait en quelque sorte à la conversation, sans la diriger, sans l'exciter,...discussions littéraires, aux nouvelles de société ou de spectable, au moindre incident et au moindre mot spirituel, un intérêt vif et curieux : mélange... | |
| Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun - 1869 - 394 pages
...sur la poitrine, parlant peu, bas, remuant à peine, madame d'Houdetot assistait en quelque sorte à la conversation, sans la diriger, sans l'exciter,...de société ou de spectacle, au moindre incident, au moindre mot spirituel, un intérêt vif et curieux; mélange piquant et original de vieillesse et... | |
| Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun - 1869 - 766 pages
...s:ir la poitrine, parlant peu, bas, remuant & peine, madame d'Houdetot assistait en quoique sorte à la conversation, sans la diriger, sans l'exciter, point gênante, point maîtresse de maison, bonne, f.tcile, mais prenant à tout ce qui se disait, aux discussions littéraires, aux nouvelles de société... | |
| François Guizot - 1872 - 574 pages
...sur la poitrine, parlant peu, bas, remuant à peine, madame d'Houdetot assistait en quelque sorte à la conversation, sans la diriger, sans l'exciter,...tout ce qui se disait, aux discussions littéraires, aui nouvelles de société ou de spectacle, au moindre incident, au moindre mot spirituel, un intérêt... | |
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