J'étudiais les mousses, leurs couleurs ravivées par la pluie, et qui sous le soleil se changeaient en un velours sec et brun à reflets capricieux. Enfin les poétiques et fugitifs effets du jour, les tristesses du brouillard , les soudains pétillements... La peau de chagrin - Page 102de Honoré de Balzac - 1888 - 308 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Honoré de Balzac - 1838 - 418 pages
...les poétiques et fugitifs effets du jour, les tristesses du brouillard, les soudains pétillemens du soleil, le silence et les magies de la nuit, les...l'aurore , les fumées de chaque cheminée , tous les accidens de cette singulière nature m'étaient devenus familiers et me divertissaient. J'aimais ma... | |
| Honoré de Balzac - 1839 - 380 pages
...quelques végétations éphémères , pauvres herbes bientôt emportées par un orage ! J'étudiais les mousses , leurs couleurs ravivées par la pluie...cheminée, tous les accidents de cette singulière nature m'étaient devenus familiers et me divertissaient. J'aimais ma prison , elle était volontaire. Ces... | |
| Honoré de Balzac - 1845 - 510 pages
...quelques végétations éphémères, pauvres herbes bientôt emportées par un orage ! J'étudiais les mousses, leurs couleurs ravivées par la pluie,...cheminée , tous les accidents de cette singulière nature m'étaient devenus familiers et me divertissaient. J'aimais ma prison, elle était volontaire. Ces... | |
| Honoré de Balzac - 1852 - 656 pages
...quelques végétations éphémères, pauvres herbes bientôt emportées par un orage ! J'éludiais les mousses, leurs couleurs ravivées par la pluie,...cheminée, tous les accidents de cette singulière nature m'étaient devenus familier» et me divertissaient. J'aimais ma prison, elle était volontaire. Ces... | |
| Honoré de Balzac - 1855 - 518 pages
...emportées par un orage ! J'étudiais les mousses , leurs couleurs ravivées par la pluie, et qui sons le soleil se changeaient en un velours sec et brun...cheminée , tous les accidents de cette singulière nature m'étaient devenus familiers et me divertissaient. J'aimais ma prison, elle était volontaire. Ces... | |
| Honoré de Balzac - 1869 - 664 pages
...les poétiques et fugitifs effets du jour, les tristesses du brouillard, les soudains petillements du soleil, le silence et les magies de la nuit, les...elle était volontaire. Ces savanes de Paris formées paf des toits nivelés comme une plaine, mais qui couvraient des abîmes peuplés, allaient à mon... | |
| Honoré de Balzac - 1874 - 510 pages
...les poétiques •ct fugitifs effets du jour, les tristesses du brouillard, les soudaine petillements du soleil, le silence et les magies de la nuit, les...cheminée , tous les accidents de cette singulière nature m'étaient devenus familiers et mo divertissaient. J'aimais ma prison, elle était volontaire. Ces... | |
| Honoré de Balzac - 1877 - 512 pages
...capricieux. Enfin les poétiques et fugitifs effets du jour, les tristesses du brouillard, les soudain' pétillements du soleil, le silence et les magies...cheminée, tous les accidents de cette singulière nature m'fiaient devenus familiers et me divertissaient. J'aimais ma prison, elle était volontaire. Ces savanes... | |
| Honoré de Balzac - 1879 - 670 pages
...les poétiques et fugitifs effets du jour, les tristesses du brouillard, les soudains petillements du soleil, le silence et les magies de la nuit, les...cette singulière nature, devenus familiers pour moi, tne divertissaient. J'aimais ma prison, elle était volontaire. Ces savanes de Paris formées par des... | |
| Honoré de Balzac - 1891 - 360 pages
...les poétiques et fugitifs effets du jour, les tristesses du brouillard, les soudains petillements du soleil, le silence et les magies de la nuit, les mystères de l'aurore, les famées de chaque cheminée, tous les accidents de cette singulière nature, devenus familiers pour... | |
| |