Bibliothéque portative des écrivains françois, ou choix des meilleurs morceaux extraits de leurs ouvrages, en vers. Par m. Moysant, Volume 3,Livres 3 à 4François Moysant 1803 |
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... doux nenni avec un doux sourire . #SA 9. Là où savez sans vous ne puis aller .鹰 292-447 Watch 18 40091 Aussi notre grand législateur du Parnasse le défend - il dans ces vers dont l'harmonie imitative est si frappante .. Gardez qu'une ...
... doux nenni avec un doux sourire . #SA 9. Là où savez sans vous ne puis aller .鹰 292-447 Watch 18 40091 Aussi notre grand législateur du Parnasse le défend - il dans ces vers dont l'harmonie imitative est si frappante .. Gardez qu'une ...
Page xvii
... doux et délicat , il perd en François le nom d'é- pigramme pour prendre celui de madrigal . Cette réponse de Pradon à quelqu'un qui lui avoit écrit une lettre pleine d'esprit , en est un charmant . 3000 ma Vous n'écrivez que pour écrire ...
... doux et délicat , il perd en François le nom d'é- pigramme pour prendre celui de madrigal . Cette réponse de Pradon à quelqu'un qui lui avoit écrit une lettre pleine d'esprit , en est un charmant . 3000 ma Vous n'écrivez que pour écrire ...
Page 11
... doux transports , Et dont les divins génies De tes doctes symphonies Ont formé tous les accords ? Animé par leurs exemples Soutenu par leurs leçons , Tu fis retentir nos témples De tes célestes chansons Sur la montagne Thébaine Ta lyre ...
... doux transports , Et dont les divins génies De tes doctes symphonies Ont formé tous les accords ? Animé par leurs exemples Soutenu par leurs leçons , Tu fis retentir nos témples De tes célestes chansons Sur la montagne Thébaine Ta lyre ...
Page 12
... doux , Qu'aux bords même du Méandre Le cygne en seroit jaloux ; Et quoiqu'en vain ils allument L'encens dont ils se parfument Dans leurs chants étudiés ; Souvent de ceux qu'ils admirent , Lâches flatteurs , ils attirent Les éloges ...
... doux , Qu'aux bords même du Méandre Le cygne en seroit jaloux ; Et quoiqu'en vain ils allument L'encens dont ils se parfument Dans leurs chants étudiés ; Souvent de ceux qu'ils admirent , Lâches flatteurs , ils attirent Les éloges ...
Page 16
... doux que le ciel vous renvoie N'est point le calme oisif d'une indolente joie Où s'endort la vertu des plus fameux guerriers : Le démon des combats siffle encor sur vos têtes ; Et de justes conquêtes Vous offrent à cueillir de plus ...
... doux que le ciel vous renvoie N'est point le calme oisif d'une indolente joie Où s'endort la vertu des plus fameux guerriers : Le démon des combats siffle encor sur vos têtes ; Et de justes conquêtes Vous offrent à cueillir de plus ...
Expressions et termes fréquents
ACOMAT AGAMEMNON aimable aime ALCESTE âme amour Apollon ARNOLPHE ATRÉE avoit BALIVEAU beau beauté belle bonheur BURRHUS C'étoit CENONE chanter charmes cher CHICANEAU ciel cieux Cinna cœur COMTESSE connois connoître courroux CRISPIN cruel Cythère dieu dieux discours donne douceur doux encens enfans enfin esprit êtes étoient étoit Fable fleurs FLORIMOND foible fortune fureur gens GERONTE gloire goût Hélas héros heureux homme Ismène j'ai j'en jamais jour Jupiter l'académie Françoise l'amour l'esprit l'univers laisse LISETTE LISIMON lois long-temps Macare madame MAHOMET main maître malheureux maux MERCURE Molière monde monsieur mort mortels neuf sœurs ORGON ORONTE OSMIN ouvrages paix parle paroître passe père PHEDRE PHILINTE philosophie plaire plaisir plaisirs pleurs poésie poëte qu'un raison RHADAMISTE rien rime rois Rome sage sais sang seigneur SERTORIUS seul soins sort SOSIE Sylla talens temple tendre THYESTE TRISSOTIN triste VADIUS VALERE vertu veux Voilà vois voit voix Voltaire yeux
Fréquemment cités
Page xvi - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois.
Page 205 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 43 - En courroux, comme vous, on ne me voit point être; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font; Et je crois qu'à la Cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe, autant que votre bile.
Page 42 - J'entre en une humeur noire, en un chagrin profond, Quand je vois vivre entre eux, les hommes comme ils font ; Je ne trouve partout, que lâche flatterie, Qu'injustice, intérêt, trahison, fourberie; Je n'y puis plus tenir, j'enrage, et mon dessein Est de rompre en visière à tout le genre humain.
Page 112 - Vous ne démentez point une race funeste; Oui, vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste : Bourreau de votre fille, il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mère un horrible festin.
Page 112 - N'a pas, en le traçant, arrêté votre main ? Pourquoi feindre à nos yeux une fausse tristesse ? Pensez-vous par des pleurs prouver votre tendresse ? Où sont-ils ces combats que vous avez rendus ? Quels flots de sang pour elle avez-vous répandus ? Quel débris parle ici de votre résistance ? Quel champ couvert de morts me condamne au silence ? Voilà par quels témoins il fallait me prouver, Cruel, que votre amour a voulu la sauver.
Page 205 - Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 52 - Ces gens qui, par une âme à l'intérêt soumise, Font de dévotion métier et marchandise, Et veulent acheter crédit et dignités A prix de faux clins d'yeux et...
Page 43 - Cette grande roideur des vertus des vieux âges Heurte trop notre siècle et les communs usages ; Elle veut aux mortels trop de perfection : Il faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie, à nulle autre seconde, De vouloir se mêler de corriger le monde...
Page 169 - Un clerc, pour quinze sous, sans craindre le holà, Peut aller au parterre attaquer Attila ; Et, si le roi des Huns ne lui charme l'oreille, Traiter de visigoths tous les vers de Corneille.