 | Louis Pierre Anquetil - 1771 - 354 pages
...Marguerite , fe jette dejfus mon lit. Moi f fentant cet homme qui me tenait , je me jette à la ruelle j & lui après moi , me tenant toujours à travers du corps. Je ne cognoijfois point cet homme , & ne fiivois s'il venvit là- pour m'offenfer ^ ou Ji les archers en... | |
 | Henriette Amey - 1830 - 528 pages
...garantir, se « jette dessus mon lit; moi, sentant cet homme qui me « tient, je me jette à la ruelle et lui après moi, me tenant « toujours à travers du corps. Je ne savois si les archers en « vouloient à lui ou à moi; car nous criions tous deux, et « étions aussi... | |
 | Jacques-Benjamin Saint-Victor - 1830 - 690 pages
...garantir se jeta dans mon lit. Moi , sentant ces hommes qui me * tenoient , je me jette à la ruelle , et lui après moi , me tenant » toujours à travers du corps. Je ne connoissois point cet homme< quer de se livrer un peuple depuis long-temps animé d'une haine implacable... | |
 | Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1835 - 582 pages
...rantir, se jeta dans mon lit; moi, sentant ces « hommes qui me tenoient, je me jette à la ruelle, « et lui après moi, me tenant toujours à travers « du corps. Je ne connoissois point cet homme , « et ne savois s'il venoit là pour m'offenser, ou si « les archers... | |
 | Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1835 - 584 pages
...rantir, se jeta dans mon lit; moi, sentant ces « hommes qui me tenoient, je me jette à la ruelle, ce et lui après moi, me tenant toujours à travers « du corps. Je ne connoissois point cet homme , « et ne savois s'il venoit là pour m'offenser, ou si « les archers... | |
 | Philippe Le Bas - 1840 - 664 pages
...garantir, se jeta dans mon lit; moi, sentant ces nommes qui me tcnoient, je me jette à la ruelle, et lui après moi, me tenant toujours à travers du corps. Je ne connaissais point cet homme, et je ne savois s'il venoit là pour m'offenser, ou si les archers en... | |
 | Eustache Marie P.M.A. Courtin - 1848 - 408 pages
...garantir, se jeta dans mon lit; moi , sentant ces hommes qui me tenoient , je me jette à la ruelle, et lui après moi, me tenant toujours à travers du corps. Je ne connoissois point cet homme , et je ne savois s'il venoit là pour m'offenser, ou si les archers en... | |
 | 1853 - 906 pages
...garantir, se jeta dessus mon lit. Moi sentant ces hommes qui me tenaient, je me jette à la ruelle, et lui après moi, me tenant toujours à travers du corps. Je ne connaissais point cet homme et ne savais s'il était venu là pour m'offenser, ou si les archers en... | |
 | Jules Michelet - 1856 - 506 pages
...lui. Il se jeta dessus mon lit. Moi, sentant ces hommes qui me tenoient, je me jette à la ruelle, et lui après moi, me tenant toujours à travers du corps. Je ne connoissois 29 point cet homme, et ne savois s'il venoit là pour m'offenser, ou si les archers en... | |
 | Jules Michelet - 1856 - 508 pages
...lui. Il se jeta dessus mon lit. Moi, sentant ces hommes qui me tenoicnt, je me jette à la ruelle, et lui après moi, me tenant toujours à travers du corps. Je ne conuoissois point cet homme, et ne savois s'il venoit là pour m'offenser, ou si les archers en vouloient... | |
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... à lui ou à moi. Nous criions tous deux et étions aussi effrayés l'un que l'autre. Enfin Dieu voulut que M. de Nançay, capitaine des gardes, y... 
