| 1823 - 548 pages
...sœur se courrouça fort à elle , et luy deffendit de me rien dire. Ma sœur luy dit qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que sans doute, s'ils decouvroient quelque chose, ils se vengeroient de moy. La Reyne ma mere répond que, s'il plaisoit... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 558 pages
...sœur se courrouça fort à elle , et luy deffendit de me rien dire. Ma sœur luy dit qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que sans doute, s'ils decouvroient quelque chose, ils se vengeroient de moy. La Reyne ma mere répond que, s'il plaisoit... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 550 pages
...quelque chose.... 9 Je voyois bien qu'ils se contestoient , et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher. Ma sœur fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir... | |
| John Lingard - 1826 - 156 pages
...sœur se courrouça fort à elle, et luy defendit de me rien dire. Ma sœur luy dit, qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que sans doute s'ils découvroient quelque chose, ils se vengeraient de moy. La Reine ma mere répond, que, s'il plaisoit... | |
| John Lingard - 1827 - 704 pages
...soeur se courrouca fort a elle, et luy defendit de me rien dire. Ma soeur luy dit, qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que sans doute s'ils d^couvroint quelque chose, ils se vengeroient de moy. l& Reine ma mere rcpoiid, que, s'il plaisoit... | |
| Pierre-Louis Roederer - 1830 - 520 pages
...La royne ma mère s'en aperçut et, appelant ma sœur, se courrouça fort à elle et lui deffendit de me rien dire. Ma sœur lui dit: Qu'il n'y avait...s'ils découvraient quelque chose ils se vengeraient de moi. La royne ma mère répond : Que s'il plaisait à Dieu, je n'aurais point de mal; mais quoique... | |
| comte Pierre Louis Roederer - 1830 - 500 pages
...La royne ma mère s'en aperçut et , appelant ma sœur, se courrouça fort à elle et lui deflendit de me rien dire. Ma sœur lui dit : Qu'il n'y avait...s'ils découvraient quelque chose ils se vengeraient de moi. La royne ma mère répond : Que s'il plaisait à Dieu , je n'aurais point de mal ; mais quoique... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1835 - 582 pages
...voyois bien qu'ils se coûtes toient , et n'enten« dois pas leurs paroles ; elle me commanda en« core rudement que je m'en allasse coucher. « Ma sœur, fondant en larmes , me dit bon soir, « sans oser me dire autre chose ; et moi je m'en « allai , toute transie et éperdue ,... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1838 - 630 pages
...soupçonner quelque chose.... Je voyois bien qu'ils se contcstoient , et n'entendois par leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher. Ma sœur fondant en larmes me dit bon soir , sans m'oser dire autre chose ; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir... | |
| Margarete (Frankreich, Königin), François Guessard - 1842 - 536 pages
...qui empeschast l'effect. Je voyois bien qu'ils se contestoient et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher. Ma sœur fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire aultre chose; et moy je m'en vois toute transie, esperdue, sans me pouvoir... | |
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