Chrestomathie Française, Volume 1 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 71
Page v
... 'existerait pas ; et s'il était permis de détourner de son application immédiate une déclaration divine , on pourrait dire que , dans le monde de l'intelligence , « toutes choses * << ont été faites par la parole , et que.
... 'existerait pas ; et s'il était permis de détourner de son application immédiate une déclaration divine , on pourrait dire que , dans le monde de l'intelligence , « toutes choses * << ont été faites par la parole , et que.
Page 4
... s'il venait à savoir devant qui il parlait . Je vois bien , disait le prince au courtisan , que la nature n'est pas moins belle dans les plus basses conditions que dans les plus hautes . Jamais enfant de roi n'a paru mieux né3 que celui ...
... s'il venait à savoir devant qui il parlait . Je vois bien , disait le prince au courtisan , que la nature n'est pas moins belle dans les plus basses conditions que dans les plus hautes . Jamais enfant de roi n'a paru mieux né3 que celui ...
Page 28
... s'il m'eût attaqué dans ma force ! . . mais encore à présent , ce n'est que par surprise . Que ferai - je ? . . . Rends , mon fils : sois sem- blable à ton père , semblable à toi - même . Que dis - tu ? ... Tu ne dis rien rocher sauvage ...
... s'il m'eût attaqué dans ma force ! . . mais encore à présent , ce n'est que par surprise . Que ferai - je ? . . . Rends , mon fils : sois sem- blable à ton père , semblable à toi - même . Que dis - tu ? ... Tu ne dis rien rocher sauvage ...
Page 29
... s'il en reste encore quelqu'un d'assez juste pour avoir pitié de moi , punissez , punissez Ulysse ; alors je me croirai guéri . 8 Pendant que je parlais ainsi , votre père , tranquille , me regar- dait avec un air de compassion , comme ...
... s'il en reste encore quelqu'un d'assez juste pour avoir pitié de moi , punissez , punissez Ulysse ; alors je me croirai guéri . 8 Pendant que je parlais ainsi , votre père , tranquille , me regar- dait avec un air de compassion , comme ...
Page 30
... s'il te reste encore quelque sentiment , n'es - tu pas indigné " ? Cet arc n'est plus dans les mains de ton fidèle ami ; il est dans les mains im- pures et trompeuses d'Ulysse 5. Oiseaux de proie , bêtes farouches , ne fuyez plus cette ...
... s'il te reste encore quelque sentiment , n'es - tu pas indigné " ? Cet arc n'est plus dans les mains de ton fidèle ami ; il est dans les mains im- pures et trompeuses d'Ulysse 5. Oiseaux de proie , bêtes farouches , ne fuyez plus cette ...
Autres éditions - Tout afficher
Chrestomathie française: ou Choix de morceaux tirés des meilleurs ..., Volume 1 Alexandre Rodolphe Vinet Affichage du livre entier - 1871 |
Expressions et termes fréquents
aime arbres assez ASSUÉRUS ATHALIE avaient avez beau c'était Callisthène Carnut Cérès chants Châteaubriand cher chercher cheval chose ciel cieux cœur corps coup courage Cyrus d'autres DÉRICOUR devant Dieu dieux dire dit-il donner doux DUC D'YORK Édimbourg ÉDOUARD enfants ennemis Épaminondas Esther êtes faisait Fénelon fille fils fleurs frère Gallicisme gens Glaucon GLOCESTER gloire Grèce GRICHARD guerre heureux hommes j'ai j'étais jamais jeune jour JOURDAIN Jupiter l'armée Lacédémone laisse langue larmes LEFFILÉ Loïs LOLIVE madame de Ventadour main maître malheureux Mardochée mère mille monde monsieur montagnes mort mourir n'avait Néoptolème nuit oiseaux parler passer patrie pauvre peine pensée père peuple pied plaisir pleurs porte pouvait prince qu'un raison Régulus reste rien sais Seigneur semble sentiments serait seul soin soldats soleil sort subjonctif Subst terre tête Tirtée tomber Troglodytes troupes trouve Ulysse vaisseau vallée venir verbe veux voilà vois voix voulait Voyez Whitehall yeux
Fréquemment cités
Page 425 - Seigneur, je n'ai jamais contemplé qu'avec crainte l'auguste majesté sur votre front empreinte : jugez combien ce front irrité contre moi dans mon âme troublée a dû jeter d'effroi. Sur ce trône sacré, qu'environné la foudre, j'ai cru vous voir tout prêt à me réduire en poudre.
Page 338 - II est velouté comme nous, Marqueté, longue queue, une humble contenance, Un modeste regard, et pourtant l'œil luisant. Je le crois fort sympathisant Avec messieurs les rats; car il a des oreilles En figure aux nôtres pareilles. Je l'allois aborder , quand d'un son plein d'éclat L'autre m'a fait prendre la fuite.
Page 428 - L'Éternel est son nom, le monde est son ouvrage; II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois. Des plus fermes États la chute épouvantable, Quand il veut, n'est qu'un jeu de sa main redoutable...
Page 344 - D'expier son forfait. On le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Page 341 - Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai: j'étais là; telle chose m'avint': Vous y croirez être vous-même.
Page 427 - Oui, vos moindres discours ont des grâces secrètes : Une noble pudeur à tout ce que vous faites Donne un prix que n'ont point ni la pourpre ni l'or.
Page 336 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU. LE chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure...
Page 256 - ... affreuse que celle des forêts ; car les arbres sont encore des êtres pour l'homme qui se voit seul ; plus isolé, plus dénué, plus perdu dans ces lieux vides et sans bornes, il voit partout l'espace comme son tombeau, la lumière du jour plus triste que l'ombre de la nuit ne renaît que pour éclairer sa nudité, son impuissance, et pour lui présenter l'horreur de sa situation, en reculant à ses yeux les barrières du vide, en étendant autour de lui...
Page 343 - Plus d'amour; partant, plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 316 - Nicole, était si étendu ; qui était le centre de tant de choses : que d'affaires, que de desseins, que de projets, que de secrets, que d'intérêts à démêler, que de guerres commencées, que d'intrigues, que de beaux coups d'échecs à faire et à conduire...