 Alors, monsieur, permettez!... Et je me mis à courir après mon mougick, qui, croyant que je voulais achever de l'assommer, se mit à courir de son côté, de sorte que, comme la crainte est naturellement plus agile que la reconnaissance, je ne l'eusse...  Revue de Paris - Page 235publié par - 1840Affichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Alexandre Dumas - 1840 - 524 pages
...C'est-à-dire alors, monsieur, que sans cet homme... — Vous n'auriez plus de nez, continua l'officier en se frottant le sien. — Alors, monsieur, permettez!......le chemin. Lorsque j'arrivai, je le trouvai parlant avec une grande volubilité, afin de faire comprendre qu'il n'était coupable que de trop de philanthropie;... | |
 | Antonin Roche - 1854 - 704 pages
...C'est-à-dire alors, monsieur, que sans cet homme... — Vous n'auriez plus de nez, continua l'officier en se frottant le sien. « Alors, monsieur, permettez......chemin. Lorsque j'arrivai , je le trouvai parlant avec une grande volubilité, afm de faire comprendre qu'il n'était coupable que de trop de philanthropie... | |
 | Franz Ahn - 1863 - 142 pages
...en se frottant le sien. — Alors, monsieur, permettez ... Et je me mis à courir après mon homme, qui, croyant que je voulais achever de l'assommer,...le chemin. Lorsque j'arrivai, je le trouvai parlant avec une grande volubilité, afin de faire comprendre21 qu'il n'etait coupable que de trop de philanthropie;... | |
 | French literature - 1864 - 446 pages
...liane Erose Composition," note 15 of cage des yeux, ' looking right in my faon.* 79 orer to p. 80). que je voulais achever de l'assommer, se mit à courir...le chemin. Lorsque j'arrivai, je le trouvai parlant avec une grande volubilité, afin de faire comprendre qu'il n'était coupable que de trop de philanthropie;... | |
 | Antonin Roche - 1867 - 584 pages
...mon mougick, qui, croyant •que je voulais achever de l'assommer, se mit à courir de son cêté, de sorte que, comme la crainte est naturellement plus...le chemin. Lorsque j'arrivai, je le trouvai parlant avec une grande volubilité, afin de faire comprendre qu'il n'était coupable que de trop de philanthropie;... | |
 | Paul Guesdon - 1867 - 352 pages
...achever de l'assommer, se mit à courir de son côté, de sorte que, comme la crainte est naturellement je ne l'eusse probablement jamais rattrapé, si quelques...ne l'eussent pris pour un voleur, et ne lui eussent barre le chemin. Lorsque j'arrivai, je le trouvai parlant avec une grande volubilité, afin de faire... | |
 | William Ireland Knapp - 1869 - 518 pages
...de son côté, de sorte que, comme la crainte est naturellement plus agile que la reconnaissance,je ne l'eusse probablement jamais rattrapé si quelques...le chemin. Lorsque j'arrivai, je le trouvai parlant avec une grande volubilité, afin de faire comprendre qu'il n'était coupable que de trop de philanthropie... | |
 | C. A. Chardenal - 1870 - 284 pages
.... ." Et je me mis à courir après mon mougick, qui, croyant que je voulais achever de l'assommer3, se mit à courir de son côté, de sorte que, comme...l'eussent pris pour un voleur, et ne lui eussent barré h chemin.4 Lorsque j'arrivai, je le trouvai parlant avec une grande volubilité, afin de faire comprendre... | |
 | H Wilhelm Ehrlich - 1871 - 356 pages
...frottant le sien." — " Alors, monsieur, permettez. . ." Et je me mis à courir après mon homme, qui, croyant que je voulais achever de l'assommer,...le chemin. Lorsque j'arrivai, je le trouvai parlant avec une grande volubilité, afin de faire comprendre2 qu'il n'était coupable que de trop de philanthropie;... | |
 | George Eugène Fasnacht - 1880 - 286 pages
...courir après mon homme qui, croyant que je voulais achever de l'assommer, se mit à courir de son 30 côté, de sorte que, comme la crainte est naturellement...ne lui eussent barré le chemin. Lorsque j'arrivai, 40 à mon nez. L'invitation était inutile : pendant tout le reste de ma course je ne le perdis pas... | |
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