Oeuvres complètes, Volume 2 |
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Page 6
... pouvez vous montrer à leur vue . Vous auriez à rougir si vos fiers ravisseurs , Voyant Alzonde en vous , voyaient tous vos malheurs ; Mais du secret encor vous êtes assurée , Et la honte n'est rien quand elle est ignorée . ALZONDE ...
... pouvez vous montrer à leur vue . Vous auriez à rougir si vos fiers ravisseurs , Voyant Alzonde en vous , voyaient tous vos malheurs ; Mais du secret encor vous êtes assurée , Et la honte n'est rien quand elle est ignorée . ALZONDE ...
Page 14
... pouvez changer la triste destinée . Je me dois aux climats où j'ai reçu le jour . Par vos soins honorée et libre en cette cour , Je sais qu'à plus d'un titre elle a droit de me plaire ; Mais , quels que soient les biens d'une terre ...
... pouvez changer la triste destinée . Je me dois aux climats où j'ai reçu le jour . Par vos soins honorée et libre en cette cour , Je sais qu'à plus d'un titre elle a droit de me plaire ; Mais , quels que soient les biens d'une terre ...
Page 24
... pouvez , procurez à l'empire Ce repos , ce bonheur où l'Angleterre aspire . Non moins zélé sujet que sage citoyen , Bannissez la discorde ; il en est un moyen . On demande la paix ; je voulais la victoire ; Mais au bonheur public j'en ...
... pouvez , procurez à l'empire Ce repos , ce bonheur où l'Angleterre aspire . Non moins zélé sujet que sage citoyen , Bannissez la discorde ; il en est un moyen . On demande la paix ; je voulais la victoire ; Mais au bonheur public j'en ...
Page 35
... pouvez par l'effort d'une vertu sublime Dans nos fastes brillants précéder les héros : Quelque degré d'honneur qu'atteignent leurs travaux , Au - delà de leur sort la gloire vous appelle ; Le ciel a fait pour vous une vertu nouvelle ...
... pouvez par l'effort d'une vertu sublime Dans nos fastes brillants précéder les héros : Quelque degré d'honneur qu'atteignent leurs travaux , Au - delà de leur sort la gloire vous appelle ; Le ciel a fait pour vous une vertu nouvelle ...
Page 49
... pouvez prévenir de plus grandes douleurs . Accablé de remords , de tristesse et de crainte , Mais comptant sur vos soins , je parle sans contrainte Vous me voyez rempli du désespoir amer D'affliger , d'alarmer ce que j'ai de plus cher ...
... pouvez prévenir de plus grandes douleurs . Accablé de remords , de tristesse et de crainte , Mais comptant sur vos soins , je parle sans contrainte Vous me voyez rempli du désespoir amer D'affliger , d'alarmer ce que j'ai de plus cher ...
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Expressions et termes fréquents
affreux aime allez ALZONDE amant AMÉLIE amour ARISTE ARONDEL bas à Valère bonheur bonne compagnie cache cher Chloé ciel CLÉON cœur conseils craint crime crois cruel destin déteste dites-vous dois douleur DUMONT Écossais ÉDOUARD ÉDOUARD III enfin ennuyeux esprit êtes EUGÉNIE FLORISE franchise freluquets FRONTIN fuir fureur gens GÉRONTE GLASTON goût grace haine HAMILTON héros heureux homme hymen ISMÈNE J'accuse j'ai j'aime j'aurais j'en jamais jour l'aime l'ame l'amitié l'amour l'Écosse l'esprit l'honneur l'univers laisse lieux LISETTE Londre long-temps m'aime m'en m'ennuie madame maître malheur MATHURINE méchant moi-même monde monsieur mort n'ai noirceur nom d'Aglaé parbleu parler peine pense père Phryné plaire plaisir plaisirs qu'un raison reste rien ROSALIE s'il sais Salisbury SCÈNE IV SCÈNE VII secret seigneur sentiments serait seul SIDNEI soins sort soupçon tendresse traître triste trône vais VALÈRE vertu veut veux vœux voilà vois VOLFAX VORCESTRE vrai yeux
Fréquemment cités
Page 280 - Et réalisez-vous cet être imaginaire, Ce petit préjugé qui ne va qu'au vulgaire? Pour moi, je n'y crois pas : soit dit sans intérêt, Tout le monde est méchant, et personne ne l'est ; On reçoit et l'on rend ; on est à peu près quitte : Parlez-vous des propos ? comme il n'est ni mérite, Ni goût, ni jugement qui ne soit contredit, Que rien n'est vrai sur rien ; qu'importe ce qu'on dit...
Page 269 - J'ai vu d'autres méchants d'un grave caractère , Gens laconiques, froids, à qui rien ne peut plaire: Examinez'les bien , un ton sentencieux Cache leur nullité sous un air dédaigneux.
Page 169 - Ne nuisent pas beaucoup chez les honnêtes gens. Je parle de ce goût de troubler, de détruire, Du talent de brouiller, et du plaisir de nuire ; Semer l'aigreur, la haine et la division , Faire du mal enfin , voilà votre Cléon ; Voilà le beau portrait qu'on m'a fait de son...
Page 235 - Vous ne m'offensez pas : mais je dois m'affliger Du ton dont vous parlez d'une mère estimable, Qui vous croit de l'esprit, un caractère aimable ; Qui veut votre bonheur : voilà ses seuls défauts. Si votre cœur au fond ressemble à vos propos...
Page 203 - En m'éloignant d'un monde à qui je rends justice. Tout ce qu'on est forcé d'y voir et d'endurer Passe bien l'agrément qu'on peut y rencontrer : Trouver à chaque pas des gens insupportables, Des flatteurs , des valets , des plaisants...
Page 282 - L'ami de la maison ; si vous voulez le bien ; Allons trouver Géronte, et qu'il ne cache rien. Sa défiance ici tous deux nous déshonore : Je lui révélerai des choses qu'il ignore ; Vous serez notre juge : allons, secondez-moi, I'-t soyons tous trois sûrs de notre bonne foi.
Page 205 - L'idée est excellente , et la vengeance est sûre. Je vous prierai d'y joindre avec quelque aventure Une madame Orphise, à qui j'en dois d'ailleurs, Et qui mérite bien quelques bonnes noirceurs; Quoiqu'elle soit affreuse , elle se croit jolie , Et de l'humilier, j'ai la plus grande envie. Je voudrais que déjà votre ouvrage fût fait.
Page 181 - Comment donc ? LISETTE. Mais, madame, au ton dont il s'explique, A son air, où l'on voit dans un rire ironique L'estime de lui-même et le mépris d'autrui, Comment peut-on savoir ce qu'on tient avec lui? Jamais ce qu'il vous dit n'est ce qu'il veut vous dire. Pour moi, j'aime les gens dont l'âme peut se lire, Qui disent bonnement oui pour oui, non pour non. FLORISE. Autant que je puis voir, vous n'aimez pas Cléon. LISETTE. Madame, je serai peut-être trop sincère. Mais il a pleinement le don...
Page 222 - Ah ! tu saurais trop bien qu'on ne peut s'y méprendre ; Que rien ne lui ressemble, et que ce sont des traits Qu'avec d'autres , Lisette, on ne confond jamais. Le doux saisissement d'une joie imprévue, Tous les plaisirs du cœur m'ont remplie à sa vue : J'ai voulu l'appeler, je l'aurais dû , je crois ; Mes transports m'ont ôté l'usage de la voix , II était déjà loin...
Page 296 - J'instruirai l'univers de sa mauvaise foi, Sans me cacher; je veux qu'il sache que c'est moi : Un rapport clandestin n'est pas d'un honnête homme; Quand j'accuse quelqu'un , je le dois , et me nomme.