Oeuvres complètes, Volume 2 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 98
Page 6
... vous êtes assurée , Et la honte n'est rien quand elle est ignorée . ALZONDE . Vous parlez en esclave : un cœur né pour régner D'un joug même ignoré ne peut trop s'éloigner ; Ne dût - on jamais voir la chaîne qui l'attache 6 ÉDOUARD III .
... vous êtes assurée , Et la honte n'est rien quand elle est ignorée . ALZONDE . Vous parlez en esclave : un cœur né pour régner D'un joug même ignoré ne peut trop s'éloigner ; Ne dût - on jamais voir la chaîne qui l'attache 6 ÉDOUARD III .
Page 12
... rien . Appui des malheureux , Vorcestre est mon soutien ; Il permettra sans peine , exempt de défiance , Que je retourne enfin aux lieux de ma naissance . Je viens pour ce départ demander son aveu , Et je croyais déjà le trouver en ce ...
... rien . Appui des malheureux , Vorcestre est mon soutien ; Il permettra sans peine , exempt de défiance , Que je retourne enfin aux lieux de ma naissance . Je viens pour ce départ demander son aveu , Et je croyais déjà le trouver en ce ...
Page 25
... rien par eux - mêmes : Ce n'est point dans des noms que réside l'honneur , Et nos devoirs remplis font seuls notre grandeur . Mais de vos sentiments je connais la noblesse ; Maître de vous , seigneur , vainqueur d'une faiblesse , Vous n ...
... rien par eux - mêmes : Ce n'est point dans des noms que réside l'honneur , Et nos devoirs remplis font seuls notre grandeur . Mais de vos sentiments je connais la noblesse ; Maître de vous , seigneur , vainqueur d'une faiblesse , Vous n ...
Page 26
Jean Baptiste L. Gresset. Et rien dans ces moments n'est sacré que l'état . Qui vous en dirait moins dans ce péril extrême Trahirait la patrie , et l'honneur , et vous - même . ÉDOUARD . Votre zèle m'est cher ; mais un injuste effroi ...
Jean Baptiste L. Gresset. Et rien dans ces moments n'est sacré que l'état . Qui vous en dirait moins dans ce péril extrême Trahirait la patrie , et l'honneur , et vous - même . ÉDOUARD . Votre zèle m'est cher ; mais un injuste effroi ...
Page 34
... rien ! une sombre tristesse ... VORCESTRE . Laissez aux faibles cœurs une molle tendresse : Les destins sont changés , ma fille , et d'autres temps Veulent d'autres discours et d'autres sentiments . Connaissez - vous le sang dont vous ...
... rien ! une sombre tristesse ... VORCESTRE . Laissez aux faibles cœurs une molle tendresse : Les destins sont changés , ma fille , et d'autres temps Veulent d'autres discours et d'autres sentiments . Connaissez - vous le sang dont vous ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
affreux aime allez ALZONDE amant AMÉLIE amour ARISTE ARONDEL bas à Valère bonheur bonne compagnie cache cher Chloé ciel CLÉON cœur conseils craint crime crois cruel destin déteste dites-vous dois douleur DUMONT Écossais ÉDOUARD ÉDOUARD III enfin ennuyeux esprit êtes EUGÉNIE FLORISE franchise freluquets FRONTIN fuir fureur gens GÉRONTE GLASTON goût grace haine HAMILTON héros heureux homme hymen ISMÈNE J'accuse j'ai j'aime j'aurais j'en jamais jour l'aime l'ame l'amitié l'amour l'Écosse l'esprit l'honneur l'univers laisse lieux LISETTE Londre long-temps m'aime m'en m'ennuie madame maître malheur MATHURINE méchant moi-même monde monsieur mort n'ai noirceur nom d'Aglaé parbleu parler peine pense père Phryné plaire plaisir plaisirs qu'un raison reste rien ROSALIE s'il sais Salisbury SCÈNE IV SCÈNE VII secret seigneur sentiments serait seul SIDNEI soins sort soupçon tendresse traître triste trône vais VALÈRE vertu veut veux vœux voilà vois VOLFAX VORCESTRE vrai yeux
Fréquemment cités
Page 280 - Et réalisez-vous cet être imaginaire, Ce petit préjugé qui ne va qu'au vulgaire? Pour moi, je n'y crois pas : soit dit sans intérêt, Tout le monde est méchant, et personne ne l'est ; On reçoit et l'on rend ; on est à peu près quitte : Parlez-vous des propos ? comme il n'est ni mérite, Ni goût, ni jugement qui ne soit contredit, Que rien n'est vrai sur rien ; qu'importe ce qu'on dit...
Page 269 - J'ai vu d'autres méchants d'un grave caractère , Gens laconiques, froids, à qui rien ne peut plaire: Examinez'les bien , un ton sentencieux Cache leur nullité sous un air dédaigneux.
Page 169 - Ne nuisent pas beaucoup chez les honnêtes gens. Je parle de ce goût de troubler, de détruire, Du talent de brouiller, et du plaisir de nuire ; Semer l'aigreur, la haine et la division , Faire du mal enfin , voilà votre Cléon ; Voilà le beau portrait qu'on m'a fait de son...
Page 235 - Vous ne m'offensez pas : mais je dois m'affliger Du ton dont vous parlez d'une mère estimable, Qui vous croit de l'esprit, un caractère aimable ; Qui veut votre bonheur : voilà ses seuls défauts. Si votre cœur au fond ressemble à vos propos...
Page 203 - En m'éloignant d'un monde à qui je rends justice. Tout ce qu'on est forcé d'y voir et d'endurer Passe bien l'agrément qu'on peut y rencontrer : Trouver à chaque pas des gens insupportables, Des flatteurs , des valets , des plaisants...
Page 282 - L'ami de la maison ; si vous voulez le bien ; Allons trouver Géronte, et qu'il ne cache rien. Sa défiance ici tous deux nous déshonore : Je lui révélerai des choses qu'il ignore ; Vous serez notre juge : allons, secondez-moi, I'-t soyons tous trois sûrs de notre bonne foi.
Page 205 - L'idée est excellente , et la vengeance est sûre. Je vous prierai d'y joindre avec quelque aventure Une madame Orphise, à qui j'en dois d'ailleurs, Et qui mérite bien quelques bonnes noirceurs; Quoiqu'elle soit affreuse , elle se croit jolie , Et de l'humilier, j'ai la plus grande envie. Je voudrais que déjà votre ouvrage fût fait.
Page 181 - Comment donc ? LISETTE. Mais, madame, au ton dont il s'explique, A son air, où l'on voit dans un rire ironique L'estime de lui-même et le mépris d'autrui, Comment peut-on savoir ce qu'on tient avec lui? Jamais ce qu'il vous dit n'est ce qu'il veut vous dire. Pour moi, j'aime les gens dont l'âme peut se lire, Qui disent bonnement oui pour oui, non pour non. FLORISE. Autant que je puis voir, vous n'aimez pas Cléon. LISETTE. Madame, je serai peut-être trop sincère. Mais il a pleinement le don...
Page 222 - Ah ! tu saurais trop bien qu'on ne peut s'y méprendre ; Que rien ne lui ressemble, et que ce sont des traits Qu'avec d'autres , Lisette, on ne confond jamais. Le doux saisissement d'une joie imprévue, Tous les plaisirs du cœur m'ont remplie à sa vue : J'ai voulu l'appeler, je l'aurais dû , je crois ; Mes transports m'ont ôté l'usage de la voix , II était déjà loin...
Page 296 - J'instruirai l'univers de sa mauvaise foi, Sans me cacher; je veux qu'il sache que c'est moi : Un rapport clandestin n'est pas d'un honnête homme; Quand j'accuse quelqu'un , je le dois , et me nomme.