L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 7 à 81787 |
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... étoient trop né- gligées les maîtres étoient étrangers dans leur propre patrie . Lorfque la noble fimplicité du goût commença de s'altérer , lorfque le bel efprit s'in- troduifit à la faveur du luxe & de la corruption des mœurs , les ...
... étoient trop né- gligées les maîtres étoient étrangers dans leur propre patrie . Lorfque la noble fimplicité du goût commença de s'altérer , lorfque le bel efprit s'in- troduifit à la faveur du luxe & de la corruption des mœurs , les ...
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... 'admiration , M. Chivot nous fit entendre Orphée déplorant l'ab- fence de ce jeune Héros , & annon- çant fes glorieufes deftinées . Ces deux piéces écrites en vers grecs , n'étoient intelligibles. Bvj ANNÉE 1787 . 35.
... 'admiration , M. Chivot nous fit entendre Orphée déplorant l'ab- fence de ce jeune Héros , & annon- çant fes glorieufes deftinées . Ces deux piéces écrites en vers grecs , n'étoient intelligibles. Bvj ANNÉE 1787 . 35.
Page 36
Ces deux piéces écrites en vers grecs , n'étoient intelligibles que pour un petit nombre de fçavans ; une traduction françoife qui les accom pagnoit , rendoit les femmes même , juges de l'efprit , de la fineffe & de l'agrément des ...
Ces deux piéces écrites en vers grecs , n'étoient intelligibles que pour un petit nombre de fçavans ; une traduction françoife qui les accom pagnoit , rendoit les femmes même , juges de l'efprit , de la fineffe & de l'agrément des ...
Page 38
... étoient pas fon principal mérite . Ce qu'il y avoit en lui de plus étonnant , « c'étoit » une facilité pour l'étude des langues , qui tenoit du prodige . Une faga- cité fingulière à faifir le rapport » des idées , & des expreffions qui ...
... étoient pas fon principal mérite . Ce qu'il y avoit en lui de plus étonnant , « c'étoit » une facilité pour l'étude des langues , qui tenoit du prodige . Une faga- cité fingulière à faifir le rapport » des idées , & des expreffions qui ...
Page 42
... étoient fignalés dans le cours » de leurs études . La conformité de leurs » goûts & de leurs mœurs , fortifia de jour en jour l'eftime qu'ils avoient conçue l'un pour l'autre , & les larmes que donna » ce Magiftrat vertueux à la mort de ...
... étoient fignalés dans le cours » de leurs études . La conformité de leurs » goûts & de leurs mœurs , fortifia de jour en jour l'eftime qu'ils avoient conçue l'un pour l'autre , & les larmes que donna » ce Magiftrat vertueux à la mort de ...
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Expressions et termes fréquents
accufations affez Agathocle ainfi auffi auroit avoient avoit Banau beau befoin Bothnel Bufte c'eft c'eſt c'étoit caufe ceffe Chivot chofe Comédie Comte Comte de Murray Confeil confidérable connoiffance défirer Dieu difcours diftingués efprit Elifabeth enfans enfuite eſt étoient étoit faifant fans doute fçait fçavans fçavant fcène feconde femble fenfible fens fentiment feroit fervir feul fiècle fieur fociété foible foient foit folides font fous fouvent François ftrophe ftyle fuccès fuis fuivi fujet fur-tout génie Goldoni Gourcy goût Henri Stuart hommes intéreffant jufqu'à jufte Juvigny L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'Auteur l'efprit l'Hiftoire laiffa LETTRE lorfque luxe Marcion Marie Marie Stuart modeftie mœurs Moliere Monfieur Murray n'eft n'eſt obfervations Orgon ouvrage paffer paffions paroît penfe perfonne peuple Philofophes phyfique Pièce plaifir plufieurs Poëfie Poëte préfent prefque Prince public puiffe raifon refpect refte Reine d'Ecoffe richeffes Rouffeau rue des Mathurins s'eft talens Tartuffe tion ufage vertus כל
Fréquemment cités
Page 303 - Apollon , & Neptune» Qui fur ces Rocs fourcilleux , Ont , compagnons de fortune , Bâti ces murs orgueilleux? De leur enceinte fameufe La Sambre , unie à la Meufe , Défend le fatal abord : Et par cent bouches horribles , L'airain fur ces monts terribles Vomit le fer & la mort. Dix mille vaillans Alcides, Les bordant de toutes parts...
Page 265 - Adieu , plaisant pays de France : O ma patrie La plus chérie, Qui as nourri ma jeune enfance ! Adieu , France , adieu nos beaux jours ! La nef qui déjoint nos amours N'a eu de moi que la moitié. Une part te reste : elle est tienne ; Je la fie à ton amitié , Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 208 - Et lui dit, parlant un peu gras , L'ayant pris par le bout du bras (C'est par la main que je veux dire) : Comment vous portez-vous, beau sire?
Page 205 - Le but moral de ce genre d'écrits est de faire voir que tous les objets ont deux faces , de déconcerter la vanité humaine, en présentant les plus grandes choses et les plus sérieuses d'un côté ridicule et bas , et en prouvant à l'opinion qu'elle tient souvent à des formes.
Page 357 - La vraie manière d'apprendre une langue quelconque, vivante ou morte, par le moyen de la langue Française,
Page 169 - C'est, dit-il , fermer les yeux à la lumière que de ne pas voir que l'institution de la société est le résultat d'une nécessité physique.
Page 316 - Votre grand cœur , fans doute , attend après mes pleurs , » Pour aller , dans fes bras , jouir de mes douleurs ; « Chargé de tant d'honneur , il veut qu'on le revoie...
Page 293 - Dieux dans fon bonheur peuvent -ils l'égaler ? Je fens de veine en veine une fubtile flamme , Courir par tout mon corps, fitôt que je te vois : Et dans les doux tranfports , où s'égare mon ame, Je ne faurois trouver de langue , ni de voix.
Page 303 - L'airain sur ces monts terribles Vomit le fer et la mort. Dix mille vaillants Alcides , Les bordant de toutes parts , D'éclairs au loin homicides Font pétiller leurs remparts...