L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 7 à 81787 |
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Page 139
... Sans doute ; mais puifque les infirmités humaines femblent aug- menter chaque jour , il eft confolant du moins de voir la Médecine redou bler de zèle & de lumières . Je fuis , & c . LETTRE IX . Abrégé des Caufes célèbres ; M. و Gayoi de ...
... Sans doute ; mais puifque les infirmités humaines femblent aug- menter chaque jour , il eft confolant du moins de voir la Médecine redou bler de zèle & de lumières . Je fuis , & c . LETTRE IX . Abrégé des Caufes célèbres ; M. و Gayoi de ...
Page 268
... caractère , Ne trouve en fa grandeur de plaifir qu'à bien faire ; Qu'à daigner partager à l'homme fon égal , Les favent's dont pour lui 1. c.el fut libérala Sans doute Frédéric fentoit tout tela ; mais peut - 268 L'ANNÉE LITTÉRAIRE .
... caractère , Ne trouve en fa grandeur de plaifir qu'à bien faire ; Qu'à daigner partager à l'homme fon égal , Les favent's dont pour lui 1. c.el fut libérala Sans doute Frédéric fentoit tout tela ; mais peut - 268 L'ANNÉE LITTÉRAIRE .
Page 269
Sans doute Frédéric fentoit tout tela ; mais peut - on croire qu'il fût bien pénétré de l'efprit pacifique qui femble avoir dicté ce qui fuit : Bellone ! jusqu'à quand ta rage frénétique , Veut - elle défoler nos peuples malheureux ? Er ...
Sans doute Frédéric fentoit tout tela ; mais peut - on croire qu'il fût bien pénétré de l'efprit pacifique qui femble avoir dicté ce qui fuit : Bellone ! jusqu'à quand ta rage frénétique , Veut - elle défoler nos peuples malheureux ? Er ...
Page 283
C'eft lui que pour modèle , on offre à ma patrie ! Sans doute . ARISTE . ALCESTE , ( avec le plus vif enthoufiafme . ) Je vous fuis . Avec le genre humain , Si vous me dites vrai , je me réconcilie . Par M. No GENT , Receveur des Fermes ...
C'eft lui que pour modèle , on offre à ma patrie ! Sans doute . ARISTE . ALCESTE , ( avec le plus vif enthoufiafme . ) Je vous fuis . Avec le genre humain , Si vous me dites vrai , je me réconcilie . Par M. No GENT , Receveur des Fermes ...
Page 310
Namur devant tes murailles , Jadis la Grèce eût vingt ans Sans fruit vu les funérailles De fes plus fiers combattans ... doute point , c'est lui - même , Tout brille en lui , tout eft Roi , & c . A l'article Eloquence , découverte im ...
Namur devant tes murailles , Jadis la Grèce eût vingt ans Sans fruit vu les funérailles De fes plus fiers combattans ... doute point , c'est lui - même , Tout brille en lui , tout eft Roi , & c . A l'article Eloquence , découverte im ...
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L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 6 Affichage du livre entier - 1768 |
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Expressions et termes fréquents
accufations affez Agathocle ainfi auffi auroit avoient avoit Banau beau befoin Bothnel Bufte c'eft c'eſt c'étoit caufe ceffe Chivot chofe Comédie Comte Comte de Murray Confeil confidérable connoiffance défirer Dieu difcours diftingués efprit Elifabeth enfans enfuite eſt étoient étoit faifant fans doute fçait fçavans fçavant fcène feconde femble fenfible fens fentiment feroit fervir feul fiècle fieur fociété foible foient foit folides font fous fouvent François ftrophe ftyle fuccès fuis fuivi fujet fur-tout génie Goldoni Gourcy goût Henri Stuart hommes intéreffant jufqu'à jufte Juvigny L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'Auteur l'efprit l'Hiftoire laiffa LETTRE lorfque luxe Marcion Marie Marie Stuart modeftie mœurs Moliere Monfieur Murray n'eft n'eſt obfervations Orgon ouvrage paffer paffions paroît penfe perfonne peuple Philofophes phyfique Pièce plaifir plufieurs Poëfie Poëte préfent prefque Prince public puiffe raifon refpect refte Reine d'Ecoffe richeffes Rouffeau rue des Mathurins s'eft talens Tartuffe tion ufage vertus כל
Fréquemment cités
Page 303 - Apollon , & Neptune» Qui fur ces Rocs fourcilleux , Ont , compagnons de fortune , Bâti ces murs orgueilleux? De leur enceinte fameufe La Sambre , unie à la Meufe , Défend le fatal abord : Et par cent bouches horribles , L'airain fur ces monts terribles Vomit le fer & la mort. Dix mille vaillans Alcides, Les bordant de toutes parts...
Page 265 - Adieu , plaisant pays de France : O ma patrie La plus chérie, Qui as nourri ma jeune enfance ! Adieu , France , adieu nos beaux jours ! La nef qui déjoint nos amours N'a eu de moi que la moitié. Une part te reste : elle est tienne ; Je la fie à ton amitié , Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 208 - Et lui dit, parlant un peu gras , L'ayant pris par le bout du bras (C'est par la main que je veux dire) : Comment vous portez-vous, beau sire?
Page 205 - Le but moral de ce genre d'écrits est de faire voir que tous les objets ont deux faces , de déconcerter la vanité humaine, en présentant les plus grandes choses et les plus sérieuses d'un côté ridicule et bas , et en prouvant à l'opinion qu'elle tient souvent à des formes.
Page 357 - La vraie manière d'apprendre une langue quelconque, vivante ou morte, par le moyen de la langue Française,
Page 169 - C'est, dit-il , fermer les yeux à la lumière que de ne pas voir que l'institution de la société est le résultat d'une nécessité physique.
Page 316 - Votre grand cœur , fans doute , attend après mes pleurs , » Pour aller , dans fes bras , jouir de mes douleurs ; « Chargé de tant d'honneur , il veut qu'on le revoie...
Page 293 - Dieux dans fon bonheur peuvent -ils l'égaler ? Je fens de veine en veine une fubtile flamme , Courir par tout mon corps, fitôt que je te vois : Et dans les doux tranfports , où s'égare mon ame, Je ne faurois trouver de langue , ni de voix.
Page 303 - L'airain sur ces monts terribles Vomit le fer et la mort. Dix mille vaillants Alcides , Les bordant de toutes parts , D'éclairs au loin homicides Font pétiller leurs remparts...