L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 7 à 8 |
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L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 6 Affichage du livre entier - 1768 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 3 à 4 Affichage du livre entier - 1786 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 1 Affichage du livre entier - 1783 |
Expressions et termes fréquents
A N N ainſi aſſez auroit auſſi avoit beſoin Bothnel c'eſt cauſe ceſſe Chivot choſe Comédie Comte de Murray connoiſſance Conſeil Daunou Deſpréaux diſcours Eliſabeth enfans enſuite eſpèce eſprit eſt eſt vrai étoient étoit faiſoit foible Françoiſe génie Goldoni goût grace Henri Stuart hommes juſqu'à juſte juſtice l'Abbé L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'Auteur l'eſprit l'Hiſtoire laiſſa lorſque luxe Mably Marie mœurs Moliere Monſieur Murray n'eſt n'étoit néceſſaire néceſſité Obſervations ouvrage paroît paſſage paſſer perſonne peuple Philoſophes phyſique plaiſir pluſieurs Poëſie Poëte préſence preſque Prince R A I R raiſon Reine d'Ecoſſe reſte richeſſes Rouſſeau s'eſt ſang ſans ſans doute ſçait ſçavoir ſcène ſciences ſe ſont ſe trouve ſeconde ſecours ſein ſemble ſens ſenſibilité ſenſible ſentiment ſera ſeroit ſervir ſes ſeul ſeule ſiécle ſix ſociété ſoient ſoins ſoit ſon ſont ſort ſorte ſous ſouvent ſtyle ſuccès ſuis ſuite ſujet ſur ſur-tout talens Tartuffe tion uſage
Fréquemment cités
Page 303 - Apollon , & Neptune» Qui fur ces Rocs fourcilleux , Ont , compagnons de fortune , Bâti ces murs orgueilleux? De leur enceinte fameufe La Sambre , unie à la Meufe , Défend le fatal abord : Et par cent bouches horribles , L'airain fur ces monts terribles Vomit le fer & la mort. Dix mille vaillans Alcides, Les bordant de toutes parts...
Page 265 - Adieu , plaisant pays de France : O ma patrie La plus chérie, Qui as nourri ma jeune enfance ! Adieu , France , adieu nos beaux jours ! La nef qui déjoint nos amours N'a eu de moi que la moitié. Une part te reste : elle est tienne ; Je la fie à ton amitié , Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 208 - Et lui dit, parlant un peu gras , L'ayant pris par le bout du bras (C'est par la main que je veux dire) : Comment vous portez-vous, beau sire?
Page 205 - Le but moral de ce genre d'écrits est de faire voir que tous les objets ont deux faces , de déconcerter la vanité humaine, en présentant les plus grandes choses et les plus sérieuses d'un côté ridicule et bas , et en prouvant à l'opinion qu'elle tient souvent à des formes.
Page 357 - La vraie manière d'apprendre une langue quelconque, vivante ou morte, par le moyen de la langue Française,
Page 169 - C'est, dit-il , fermer les yeux à la lumière que de ne pas voir que l'institution de la société est le résultat d'une nécessité physique.
Page 316 - Votre grand cœur , fans doute , attend après mes pleurs , » Pour aller , dans fes bras , jouir de mes douleurs ; « Chargé de tant d'honneur , il veut qu'on le revoie...
Page 293 - Dieux dans fon bonheur peuvent -ils l'égaler ? Je fens de veine en veine une fubtile flamme , Courir par tout mon corps, fitôt que je te vois : Et dans les doux tranfports , où s'égare mon ame, Je ne faurois trouver de langue , ni de voix.
Page 303 - L'airain sur ces monts terribles Vomit le fer et la mort. Dix mille vaillants Alcides , Les bordant de toutes parts , D'éclairs au loin homicides Font pétiller leurs remparts...