Un jour, il me dit en confidence qu'il n'avait pas encore achevé la lecture des tragédies de son père, mais que cela viendrait. Il regardait la tragédie française comme la farce la plus complète qu'ait pu inventer l'esprit humain. Les deux masques: tragédie, comédie - Page 547de Paul de Saint-Victor - 1894Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Louis-Sébastien Mercier - 1853 - 440 pages
...mœurs en comparaison des mœurs régnantes. Nos principes littéraires s'accordaient encore. Un jour, il me dit en confidence qu'il n'avait pas encore achevé...lecture des tragédies de son père, mais que cela viendrai!. Il regardait la tragédie française comme la farce la plus complète qu'ait pu inventer... | |
| Charles Monselet - 1857 - 348 pages
...connaître : il les aimait un peu plus qu'il ne les estimait. Nos principes littéraires étaient d'accord : il me dit en confidence qu'il n'avait pas encore achevé la lecture des pièces de son père, mais que cela viendrait. Du reste, il regardait la tragédie française comme... | |
| Charles Monselet - 1861 - 690 pages
...connaître : il les aimait un peu plus qu'il ne les estimait. Nos principes littéraires étaient d'accord : il me dit en confidence qu'il n'avait pas encore achevé la lecture des pièces de son père, mais que cela viendrait. Du reste, il regardait la tragédie française comme... | |
| Charles Monselet - 1861 - 676 pages
...n'avait pas encore achevé la lecture des pièces de son père,• mais que cela viendrait. Du reste, il regardait la tragédie française comme la farce la plus complète qu'ait pu inventerie genre humain. » On comprend que l'autre du Sopha dut bien vite devenir l'homme de Mercier,... | |
| Charles Monselet - 1861 - 666 pages
...: il les aimait un peu plus qu'il" ne les estimait. Nos principes littéraires étaient d'accord : il me dit en confidence qu'il n'avait pas encore achevé la lecture des pièces de son père, mais que cela viendrait. Du reste, il regardait la tragédie française comme... | |
| Hippolyte Lucas - 1862 - 360 pages
...faisait Crébillon fils sur les tragédies de son père, et sur la tragédie en général. » Un jour il me dit en confidence qu'il n'avait pas encore achevé...tragédie française comme la farce la plus complète qu'ail pu inventer l'esprit humain. Il riait aux larmes de certaines productions théâtrales et du... | |
| Charles Monselet - 1864 - 416 pages
...connaître : il les aimait un peu plus qu'il ne les estimait. Nos principes littéraires étaient d'accord : il me dit en confidence qu'il n'avait pas encore achevé la lecture des pièces de son père, mais que cela viendrait. Du reste, il regardait la tragédie française comme... | |
| Jules Gay - 1872 - 482 pages
...connaître ; il les aimait un peu plus qu'il ne les estimait. Nos principes littéraires étaient d'accord: il me dit en confidence qu'il n'avait pas encore achevé la lecture des pièces de son père, mais que cela viendrait. Du reste, il regardait la tragédie française comme... | |
| Jules Gay - 1872 - 488 pages
...n avait pas encore achevé la lecture des pièces de son père, mais que cela viendrait. Du reste, il regardait la tragédie française comme la farce la plus complète qu'ait pu inventer le genre humain. » On comprend qu'une certaine intimité s'établit r-ientôt entre ces deux jeunes... | |
| Louis Loire - 1876 - 252 pages
...l'époque des bonnes mœurs en comparaison des mœurs régnantes... « Un jour, il me dit enconfidence qu'il n'avait pas encore achevé la lecture des tragédies de son père, mais que cela viendrait. « II regardait la tragédie française comme la force la plus complète qu'ait pu inventer fesprit... | |
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