Traité de mécanique céleste, Volume 3Crapelet, 1825 |
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Traité de mécanique céleste, Volume 3 Pierre Simon marquis de Laplace,Pierre-Simon Laplace Affichage du livre entier - 1802 |
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Traité de mécanique céleste /par P.S. Laplace ... ; tome premier ..., Volume 3 Pierre Simon Laplace (Marquís de) Affichage du livre entier - 1802 |
Expressions et termes fréquents
46 du second années juliennes anom aura Burg c'mv calcul coefficient conclu considérer cosinus d³b da² da³ demi-grand axe dépendante de l'angle dépendantes du carré déterminer différentielle diviseur donne dt dt dy ddP e.cos égale élémens ensuite époque astronomique fonction force perturbatrice formules galité inclinaisons des orbites indépendantes des excentricités inéga inégalités de Jupiter Inégalités dépendantes inégalités du mouvement l'action l'écliptique l'équation l'excentricité l'expression l'orbe terrestre latitude longitude du noeud lunaire lune m'Va masse Mercure moyen mouvement moyenne distance moyens mouvemens n'ayant égard n't+ noeud ascendant nutation observations parallaxe périgée périhélie planètes produits des excentricités quantité rayon vecteur relativement résulte Saturne second livre sensible sinus soleil suivans supposant tables de Mason termes dépendans terre théorie très-peu-près Uranus valeurs variations séculaires Vénus
Fréquemment cités
Page viii - ... théorème remarquable, savoir, qu'en vertu de leur action mutuelle, la longitude moyenne du premier, vu du centre de Jupiter, moins trois fois celle du second, plus deux fois celle du troisième, est exactement et constamment égale à deux angles droits, en sorte qu'ils ne peuvent jamais être à la fois éclipsés. Il nous reste à considérer particulièrement les perturbations du mouvement des planètes et des comètes autour du soleil, de la lune autour de la terre, et des satellites autour...
Page viii - Par cela seul que ces mouvements sont dirigés dans le même sens et dans des plans peu différents, les orbes des planètes et des satellites doivent toujours être à peu près circulaires et peu inclinés les uns aux autres. Ainsi la variation de l'obliquité de l'écliptique à l'équateur, renfermée constamment dans d'étroites limites, ne produira jamais un printemps perpétuel sur la Terre.
Page vii - ... au moyen d'une analyse singulière, aux expressions générales de leurs mouvements , de leurs figures et des oscillations des fluides qui les recouvrent; expressions d'où l'on a vu découler tous les phénomènes observés du flux et du reflux de la mer, de la variation des degrés et de la pesanteur à la surface terrestre, de la précession des équinoxes, de la libration de la Lune, de la figure et de la rotation des anneaux de Saturne, et de leur permanence dans le plan de son équateur....
Page viii - Il semble que la nature ait tout disposé dans le ciel pour assurer la durée du système planétaire par des vues semblables à celles, qu'elle nous paraît suivre si admirablement sur la terre pour la conservation des individus et la perpétuité des espèces.
Page viii - ... aux autres. Ainsi la variation de l'obliquité de l'écliptique à l'équateur, renfermée constamment dans d'étroites limites, ne produira jamais un printemps perpétuel sur la Terre. Nous avons prouvé que l'attraction du sphéroïde terrestre, ramenant sans cesse vers son centre l'hémisphère que la Lune nous présente , transporte au mouvement de rotation de ce satellite les grandes variations séculaires de son mouvement de révolution, et dérobe pour toujours l'autre hémisphère à...
Page vii - ... phénomènes observés du flux et du reflux de la mer, de la variation des degrés et de la pesanteur à la surface terrestre, de la précession des equinoxes, de la libration de la lune, de la figure et de la rotation des anneaux de Saturne, et de leur permanence dans le plan de son équateur. Nous en avons déduit les principales inégalités des planètes, et spécialement celles de Jupiter et de Saturne, dont la période embrasse plus de neuf cents années, et qui, n'offrant aux observateurs...
Page viii - Au milieu de tous ces changements, nous avons reconnu la constance des moyens mouvements et des distances moyennes des corps de ce système, que la nature semble avoir disposé primitivement pour une éternelle durée, par les mêmes vues qu'elle nous paraît suivre si admirablement sur la Terre, pour la conservation des individus et la perpétuité des espèces. Par cela seul que ces mouvements sont dirigés dans le même sens et dans des plans peu différents, les orbes des planètes et des satellites...
Page 29 - En effet, a3 = — -» et, de plus, 5n' est à fort peu près égal à zn, ce qui donne ^- = -— De là il suit que la valeur de a'N(0) est la même, soit que l'on considère l'action de m' sur m, soit que l'on considère l'action de m sur m'.