Histoire du ciel considéré selon les idées des poëtes, des philosophes et de Moïse. Où l'on fait voir : 1° l'origine du ciel poëtique, 2° la méprise des philosophes sur la fabrique du ciel & de la terre, 3° la conformité de l'expérience avec la seule physique de Moïse, Volume 1

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chez la Veuve Estienne, 1739 - 460 pages
 

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Page 1 - Œuvres , s'il nous plaifoit lui accorder nos Lettres de Privilège pour ce néceflaires : A CES CAUSES , voulant favorablement traiter l'Expofant , nous lui avons permis & permettons par ces Préfentes , de faire imprimer ledit Ouvrage autant de fois que bon lui femblera , & de le vendre...
Page 127 - Et c'est d'eux que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux; Et, par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées i.
Page 1 - ... quelque prétexte que ce puifle être, fans la permiflion expreîlè & par écrit dudit Expofant, ou de ceux qui auront droit de lui , à peine de confifcation des exemplaires contrefaits , de trois mille livres d'amende contre chacun des contrevenans , dont un tiers à Nous , un tiers à l'Hôtel- Dieu de Paris , & l'autre tiers audit...
Page 124 - M. l'abbé Pluche, dans son Histoire du ciel, a inventé un nouveau système sur l'origine de l'idolâtrie. Il prétend que ce n'est point l'admiration du soleil qui a fait adorer le soleil à la place de son auteur. Jamais, dit-il, ce spectacle de l'univers n'a corrompu les hommes ; jamais il ne les a détournés de la pensée d'un être moteur de tout, et de la reconnaissance qu'ils doivent à une providence toujours féconde en nouvelles libéralités; il les y rappelle, loin de les en détourner....
Page xviii - En établissant ce parallèle de la physique sacrée avec la profane, le religieux écrivain voulait apprendre à « connaître plus exactement la portée de la science humaine, et la ramener à sa mesure, comme aussi à son véritable objet, par l'étude des choses de pratique, et par le retranchement de tout ce qui nous égare, ou de ce qui nous passe*.
Page 344 - cette fingularité , qui n'étoit rien , & ne méritoit pas . „ plus d'attention que ces taches blanches , qu'on voit „ au front des chevaux & ailleurs; ils la prirent pour „ le caraftere d'Ofiris & d'ifis , empreint fur l'animal

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